Le créateur de Facebook devenu Meta, Mark Zuckerberg en bâtissant un empire technologique englobant WhatsApp, Instagram et d’autres plateformes sociales, a façonné notre manière de communiquer et d’interagir en ligne.
Son appétit pour l’innovation l’a naturellement conduit vers l’intelligence artificielle, un domaine où il multiplie les investissements massifs pour maintenir sa position de leader technologique.
Le projet de Mark Zuckerberg capote à cause des abeilles
Le PDG de Meta vient de vivre une mauvaise faire expérience : son projet de data center alimenté par l’énergie nucléaire a été stoppé net par la présence d’abeilles rares sur le site de construction.
Cette initiative visait à propulser Meta au premier rang de la course à l’intelligence artificielle, en garantissant une alimentation électrique stable et décarbonée pour ses infrastructures informatiques colossales.
Cette déconvenue intervient alors que les autres mastodontes de la Silicon Valley Amazon, Google et Microsoft ont déjà noué des partenariats stratégiques avec des opérateurs nucléaires.
Un enjeu crucial quand on sait qu’une seule requête d’IA consomme dix fois plus d’énergie qu’une recherche Google classique.
Le nucléaire représente une solution séduisante pour ces entreprises technologiques, offrant une production d’électricité continue et fiable, indispensable au fonctionnement des data centers.
L’ironie de la situation n’échappe à personne : alors que Meta cherche à révolutionner l’intelligence artificielle, ce sont des insectes pollinisateurs qui ont mis un terme à ses plans.
Cette péripétie illustre la tension croissante entre progrès technologique et préservation de l’environnement.
Elle met également en lumière le retard des États-Unis dans le développement de leur parc nucléaire, comparé à des pays comme la Chine qui multiplient les constructions de réacteurs.