Roger Milla fait des révélations : « La FECAFOOT n’a pas signé le contrat de Marc Brys, la FIFA et la CAF ne l’ont pas… »

Milla meilleur gardien camerounais

Crédit Photo : Koaci

Après sa récente sortie sur Marc Brys, l’ex-international camerounais Roger Milla a remis une nouvelle couche.

Cette fois, il s’est attardé sur l’implication de la FECAFOOT, la CAF et la FIFA dans le recrutement du nouvel entraîneur des Lions Indomptables du Cameroun.

Selon Roger Milla, Marc Brys n’est pas qualifié pour entraîner l’équipe nationale du Cameroun. Ceci, tout simplement parce que la Fédération Camerounaise de Football n’a pas signé son contrat.

Ensuite, il a ajouté que la FIFA et la CAF ne reconnaissent pas ce dernier en tant qu’entraîneur de l’équipe nationale du Cameroun. Et donc, il n’y a pas de raison pour que le Belge soit présenté comme le coach des Lions Indomptables du Cameroun.

« Marc Brys n’est même pas qualifié pour entraîner le Cameroun. La fédération n’a pas signé son contrat. Il n’est pas aux annales de la FIFA ni de la CAF. Mais il est hors la loi au Cameroun.

Je ne sais pas si les gens s’en rendent compte. Il n’a pas le droit d’entraîner. Il n’a aucune signature que ce soit de la Fédération, de la CAF ou de la FIFA », a déclaré la légende camerounaise.

Notons par ailleurs que cette nouvelle sortie de Roger Milla est une suite de la précédente déclaration qu’il avait faite sur l’entraîneur.

Précédemment, il avait déclaré que Marc Brys est cet entraîneur qui manque de respect aux légendes du football camerounais. Et donc, il a tapé du poing sur la table afin que ce dernier mette fin à ces agissements qui n’honorent pas le Cameroun.

« Il est un hors la loi, un entraîneur qui confisque les passeports des joueurs, qui prend les clés du vestiaire est minable.

Il doit arrêter ce qu’il fait, le Cameroun n’est pas un petit pays. Et il doit arrêter ce qu’il fait. Il insulte Rigobert Song, il insulte Samuel Eto’o demain même moi il va insulter.

S’il ne peut pas respecter nos légendes, qu’il dégage », avait-il déclaré. Nous y reviendrons.