Au Mali, les nouvelles sont très préoccupantes pour Assimi Goïta et les populations.
En effet, les 13 et 14 septembre 2025, les jihadistes du GNIM (Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans) ont mené plusieurs attaques à l’ouest et au centre du pays. Plusieurs dizaines de camions ont été brûlés, et des positions de l’armée ont été ciblées.
À l’ouest, l’armée malienne a renforcé sa présence sur certains axes routiers, ce qui a poussé les jihadistes à changer de stratégie. Ils ne sont plus apparus aussi fréquemment à installer des barrages sur la route reliant Bamako à Dakar.
Désormais, ils circulent à motos et mènent des embuscades et des assauts spectaculaires contre des convois, semant la peur parmi les populations qui ont assisté, impuissantes, à la destruction des camions citernes transportant du carburant depuis le Sénégal.
Par ailleurs, les attaques ont touché des zones stratégiques comme Kolokani, à une centaine de kilomètres de Bamako, et Kayes, à l’ouest, où transite plus de 70 % des importations maliennes. Dans le centre, près de Konna, les jihadistes ont également attaqué une position militaire le 14 septembre 2025, faisant planer le doute sur le bilan exact des pertes.
Face à ces attaques, les populations vivent des moments d’inquiétude intense qui affectent leur quotidien. Les habitants ont exprimé à la fois la peur et un fragile espoir que des mesures efficaces seraient prises pour protéger leurs routes, leurs biens et leur vie.
Ces événements soulignent combien la situation au Mali reste délicate décisions.
Au Mali, il est alors urgent que l’armée du général Assimi Goïta développe à son tour de nouvelle méthode pour contrer les attaques et protéger les populations.