L’ancien président de la Fédération espagnole, Luis Rubiales, se retrouve dans une situation délicate alors que les procureurs espagnols demandent une peine de 2 ans et demi de prison pour un prétendu b@iser non désiré sur Jenni Hermoso.
L’incident s’est produit après la victoire de l’Espagne en finale de la Coupe du monde féminine contre l’Angleterre, entraînant une cascade de problèmes juridiques pour Rubiales.
Les procureurs demandent une peine de prison pour Rubiales et d’autres
Les procureurs espagnols n’ont pas mâché leurs mots en exigeant une sanction sévère contre Luis Rubiales, sous la forme d’une peine de 2 ans et demi de prison.
L’infraction présumée tourne autour des agissements de l’ancien président de la RFEF après la finale de la Coupe du monde féminine.
Aux côtés de Rubiales, d’autres personnalités clés, dont les directeurs de la RFEF Albert Luque et Ruben Rivera, ainsi que l’ancien sélectionneur de l’équipe féminine espagnole Jorge Vilda, font également face à des répercussions juridiques pour des accusations de coercition liées à l’incident impliquant Jenni Hermoso.
Problèmes juridiques supplémentaires et conséquences financières
Outre le scandale du b@iser, Luis Rubiales fait face à de nombreuses autres contestations judiciaires, notamment un mandat d’arrêt contre lui lié à des allégations de corruption concernant un accord avec l’Arabie saoudite.
En plus d’une éventuelle peine de prison, Rubiales a été condamné à indemniser Hermoso d’un montant total de 100 000 € pour les accusations d’agression s3xuelle et de coercition.
Les mesures juridiques strictes imposent également une ordonnance d’interdiction de contact de quatre ans et une restriction de rayon de 200 mètres autour d’Hermoso pour Rubiales.
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