Face à la pression et au scandale entourant l’incident du baiser forcé, Luis Rubiales, le président de la fédération espagnole, a pris une décision ferme.
Il a défendu son geste en affirmant :
« C’était un baiser spontané, mutuel, euphorique, consenti. C’est la clé. Oui, c’était consenti. Le désir que je pouvais avoir en donnant ce baiser était le même que celui que je pouvais avoir en embrassant ma fille, il n’y avait pas de domination ici. »
Malgré la pression exercée et les appels à la démission, Luis Rubiales a clairement exprimé sa volonté de rester à la tête de la fédération espagnole.
Il a déclaré : « Je ne vais pas démissionner ! Je ne vais pas démissionner ! » Ses paroles ont été accueillies par des applaudissements lors de l’assemblée générale, où il a refusé de quitter son poste malgré le scandale en cours.
Pour rappel, Luis Rubiales avait embrassé sa joueuse Jennifer Hermoso dans un moment d’euphorie après la victoire, lors de la finale de la Coupe du Monde.
Cet acte a suscité une controverse démesurée et a généré une attention médiatique considérable. En conséquence, la FIFA a lancé une procédure disciplinaire et certains acteurs clés du football espagnol, ainsi que des responsables gouvernementaux, ont appelé à la démission du président.