Armement : cette arme fatale de l’Iran met les États-Unis et l’Israël KO

Frappes israéliennes en Iran : la communauté internationale fait une grande  annonce

Crédit Photo : CNEWS

L’Iran a levé le voile sur une nouvelle arme qui risque de nourrir les inquiétudes dans les chancelleries occidentales.

À travers la présentation du missile balistique « Qassem Basir », Téhéran démontre une fois de plus son ambition de consolider sa force de dissuasion, alors que les tensions diplomatiques et militaires restent vives au Moyen-Orient.

Le ministère iranien de la Défense a révélé ce dimanche, à la télévision d’État, les caractéristiques techniques de ce missile de nouvelle génération.

 D’une portée de plus de 1 300 kilomètres, le Qassem Basir se distingue notamment par sa propulsion à combustible solide, mais surtout par l’absence de dépendance au GPS.

À la place, il embarque un système de guidage autonome, basé sur une technologie d’imagerie thermique, le rendant potentiellement plus résilient face aux brouillages ou sabotages électroniques.

Le ministre de la Défense, le général Aziz Nasirzadeh, en a détaillé les performances lors d’un entretien télévisé, soulignant que le missile avait été testé avec succès le 17 avril.

 En Iran l’arme a été baptisée en hommage au général Qassem Soleimani

 L’arme a été baptisée en hommage au général Qassem Soleimani, figure emblématique du corps des Gardiens de la révolution, tué en 2020 par une frappe américaine à Bagdad.

 Un choix de nom lourd de symboles, qui renforce le message politique autant que stratégique.

Au-delà de l’innovation technologique, cette annonce s’inscrit dans un contexte tendu. Les relations entre l’Iran et les USA restent glaciales.

Cela est perceptible autour du dossier nucléaire iranien et de l’influence militaire régionale de Téhéran, notamment via son soutien présumé aux rebelles Houthis au Yémen.

Israël, pour sa part, ne cache pas sa préoccupation face aux progrès balistiques de son rival régional, qu’il considère comme une menace directe pour sa sécurité.

Le développement du Qassem Basir confirme que l’Iran continue de miser sur une doctrine de dissuasion fondée sur la multiplication de ses capacités balistiques.

Contrairement aux missiles conventionnels, celui-ci semble viser un standard plus évolué, voire semi-intelligent, dans sa capacité à frapper des cibles précises sans dépendre des systèmes de positionnement classiques.

Si le missile Qassem Basir devait entrer en production en série, il pourrait modifier les calculs de dissuasion de plusieurs États, notamment ceux engagés dans des alliances militaires avec les USA

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