Le Prince Harry cité dans le procès retentissant contre Sean ‘Diddy’ Combs

prince Harry

Crédit Photo : Point de vue

Le prince Harry a été nommé dans un procès de 30 millions de dollars contre Sean ‘Diddy’ Combs qui accusait le rappeur de trafic s3xuel et d’abus s3xuels, a-t-on révélé.

Le producteur Rodney « Lil Rod » Jones a déposé le mois dernier une plainte de 30 millions de dollars contre le magnat de la musique, 54 ans, affirmant qu’il avait participé à des actes tels que l’inconduite s3xuelle, la pr0stitution et le trafic s3xuel.

Selon les documents, Jones a affirmé que « l’affiliation » du duc de Sussex, 39 ans, et d’autres célébrités ajoutait à la « légitimité » de Diddy.

Perquisition de la maison de l’artiste

Cela survient après la perquisition des demeures de Diddy à Miami et à Los Angeles.

Les maisons ont été perquisitionnées par des agents fédéraux et la Sécurité intérieure lundi dans le cadre d’une enquête possible sur le trafic s3xuel.

Des sources policières ont déclaré que les autorités fédérales étaient intervenues parce qu’elles voulaient saisir les téléphones et les ordinateurs de Diddy. Ils ont également affirmé que d’autres perquisitions seraient menées dans les maisons associées au magnat à New York et à Chicago.

Trois femmes et un homme auraient été interrogés à la suite des perquisitions sur des allégations de trafic sexuel, d’agression s3xuelle, ainsi que de sollicitation et de distribution de stupéfiants et d’armes à feu illégales.

Jones accuse Diddy

Jones, qui a produit des chansons pour « The Love Album : Off the Grid » de Combs en 2023, a accusé le rappeur de l’avoir agressé s3xuellement et affirme qu’il a organisé des fêtes auxquelles participaient des filles mineures et des travailleuses du s3xe, dont certaines auraient pris de la drogue dans leurs boissons.

Le producteur affirme qu’on lui a ordonné de recruter des prostituées pour les soirées et qu’il a dû travailler dans la salle de bain pendant que la star se douchait nue derrière une vitre.

Combs a nié les allégations portées contre lui, les qualifiant « d’écœurantes ». Il a également qualifié les affirmations de M. Jones de « pure fiction ».

Jones affirme avoir subi des « tâtonnements constants, non sollicités et non autorisés » après avoir accepté de travailler avec la star, affirmant que des abus avaient eu lieu au domicile de Combs en Floride, à Los Angeles et à New York et à bord d’un yacht loué.

Le procès désigne le fils de Combs, Justin, sa cheffe de cabinet Kristina Khorram et le PDG d’Universal Music Group, Sir Lucian Grainge, comme défendeurs. Jones a également accusé Motown Records, Love Records et Universal Music Group d’implication en n’ayant prétendument pas surveillé les activités du rappeur.

Le procès, qui est contesté, vise à obtenir des dommages-intérêts pour trafic s3xuel, agressions s3xuelles, agression s3xuelle et harcèlement.

Le nom du prince Harry cité

Les documents judiciaires ne suggèrent pas que le prince Harry a été impliqué dans un acte répréhensible ou une activité criminelle en collaboration avec Diddy.

Le prince Harry n’est ni accusé ni incriminé. Son surnom n’apparaît également qu’une seule fois dans les documents.

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