L’Arabie saoudite, seule candidate à l’organisation du mondial 2034 devrait accueillir l’événement dans une ville futuriste de 500 milliards de dollars.
Stades, hôtels, réseaux de transport: le royaume du Golfe a du pain sur la planche pour être prêt à temps pour le coup d’envoi.
Le pays ne possède actuellement que deux stades répondant aux exigences de la FIFA.
Cependant, il a déjà entamé la construction de deux nouveaux complexes et prévoit de lancer la construction et l’agrandissement d’autres terrains.
En effet, sur les 14 stades exigés pour accueillir les 48 équipes du mondial 2034, le pays ne possède actuellement que le King Abdullah Sports City Stadium à Jeddah, et le King Fahd International Stadium en cours de rénovation dans la capitale Ryad.
« Nous avons encore dix ans devant nous durant lesquels l’état des stades va radicalement changer », a affirmé à l’AFP un responsable de la Fédération saoudienne de football.
« C’est un énorme défi, mais nous le surmonterons », a-t-il ajouté sous couvert d’anonymat, n’étant pas autorisé à parler à la presse.
Outre les infrastructures sportives, l’Arabie saoudite devra également développer son réseau de transport et son offre d’hébergement.
Le défi est immense, mais le royaume est déterminé à le relever.
L’organisation de la Coupe du Monde s’inscrit dans le cadre de la Vision 2030 du prince héritier Mohammed ben Salmane, qui vise à diversifier l’économie du pays et à améliorer son image internationale.
Avec AFP
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