Le 19 mars 2024, le ministre ivoirien des Finances et du Budget, Adama Coulibaly, et le représentant-résident de l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA) en Côte d’Ivoire, Wakabayashi Motoharu, ont signé un accord de prêt de 10 milliards FCFA.
Ce financement permettra la construction du Terminal céréalier du Port autonome d’Abidjan.
Un terminal céréalier pour booster l’économie ivoirienne
«Le prêt que nous signons aujourd’hui, est un prêt d’environ 10 milliards de FCFA.
Ces ressources vont servir à parachever les travaux et permettre que le Port céréalier puisse être opérationnel et fonctionner de la façon la plus optimale possible », a assuré Adama Coulibaly.
Le Port céréalier d’Abidjan est une structure essentielle pour la Côte d’Ivoire. Les biens vont y arriver afin de permettre aux populations de bénéficier de tout ce qui transitera par ce port.
Le Terminal céréalier permettra de transborder et d’entreposer les céréales telles que le riz, le blé, le maïs et le soja. L’infrastructure comprendra un élévateur à grain pour faciliter le déchargement des navires.
Un port stratégique pour l’Afrique de l’Ouest
Le Port d’Abidjan est un pôle économique majeur pour la Côte d’Ivoire et dessert également plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest. Il génère d’importantes recettes pour le pays et offre de nombreux emplois à la population.
La Côte d’Ivoire, un pays aux multiples atouts
La Côte d’Ivoire est un grand producteur de céréales, notamment de riz, de maïs, etc. L’agriculture est un pilier de l’économie ivoirienne, tout comme la culture de fruits tels que les mangues et les bananes, et de produits de base comme le café et le cacao.
Le pays dispose également d’un important gisement de pétrole, appelé Baleine. Le développement de cette ressource permettra à la Côte d’Ivoire de se hisser parmi les grands exportateurs de pétrole en Afrique.
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