Le Ghana a décidé de s’inspirer de l’expérience du Bénin de Patrice Talon en ce qui concerne la Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ).
En effet, le Ghana s’est tourné vers le Bénin pour comprendre les clés du succès de la GDIZ, reflet d’une stratégie industrielle ambitieuse portée par Patrice Talon et saluée bien au-delà des frontières béninoises;
Le mardi 5 août 2025, une imposante délégation venue du Ghana a foulé le sol béninois avec pour ambition de découvrir la Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ), et de s’imprégner du modèle .
À la tête de cette mission d’étude, « Julius Debrah, directeur de cabinet du président de la République du Ghana. Il était accompagné de plusieurs figures clés du gouvernement ghanéen : Muntaka Mubarak, ministre de l’Intérieur, Elizabeth Ofosu-Adjare, ministre du Commerce, de l’Industrie et de l’Agriculture, Brogya Genfi, vice-ministre de la Défense, Curage Kweku Makafui Nunekpeku, directeur général de TDC Ghana, Simon Madjie, directeur général du Ghana Investment Promotion Council, sans oublier les représentants de l’initiative 24 Hour Economy »
L’objectif de cette visite ne laisse place à aucun doute : comprendre les fondements du succès de la GDIZ, en voir les installations de leurs propres yeux et tirer les leçons d’un projet devenu référence dans la sous-région. Car la GDIZ n’est pas un simple parc industriel, c’est aujourd’hui le cœur battant d’un Bénin qui a décidé de miser sur la transformation locale, l’investissement productif et l’industrialisation maîtrisée.
« La Zone Industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ) est le fruit d’un Partenariat Public-Privé (PPP) entre la République du Bénin et ARISE IIP. Ce partenariat stratégique vise à concevoir, financer, développer et exploiter un pôle industriel intégré et compétitif, au service de la transformation économique du pays. Dans le cadre de sa première phase de développement, la GDIZ prévoit de mobiliser un investissement de 1,4 milliard de dollars et de permettre la création de plus de 300 000 emplois directs d’ici 2030 », selon le gouvernement béninois.
Sur le terrain, la délégation ghanéenne a pu constater l’efficacité des infrastructures, la diversité des chaînes de production, et la rigueur de la gouvernance. De quoi nourrir la réflexion du Ghana, désireux d’appliquer chez lui des solutions inspirées de cette réussite béninoise.
Cette démarche du Ghana n’est pas isolée. Elle vient confirmer ce que beaucoup d’observateurs reconnaissent désormais : le Bénin a changé de visage. Et c’est sous la conduite de Patrice Talon que cette mutation s’est accélérée. Loin des discours, ce sont les résultats visibles qui parlent pour lui. L’impact économique est réel.
En décidant de suivre les pas du Bénin, le Ghana reconnaît l’influence d’un modèle pensé et construit avec rigueur. Et à travers la GDIZ, c’est le nom de Patrice Talon qui s’inscrit durablement dans l’histoire industrielle du Bénin et, par extension, dans celle de toute la région ouest-africaine.