Adulé au Burkina Faso par plus d’un, Ibrahim Traoré est souvent considéré comme celui qui vient sortir le pays du sous-développement.
Pour le gouverneur de la région du Centre-est, le colonel Aboudou Lamizana, n’eûtété les mesures imposantes prises par le président de la transition burkinabè, le capitaine Ibrahim Traoré, le Burkina Faso n’allait plus « peut-être exister ».
Selon les informations rapportées par l’agence d’information du Burkina, le gouverneur Aboudou Lamizana, pense que la république de l’ex Haute-Volta serait certainement reléguée aux oubliettes sans ces décisions fortes prises par le chef de la junte militaire au pouvoir.
« Je vais vous dire du fond du cœur, si le capitaine Ibrahim Traoré n’était pas venu avec des mesures fortes, aujourd’hui, peut-être, on n’allait même plus parler du Burkina Faso », a déclaré samedi, le Colonel Aboudou Lamizana, gouverneur de la région du Centre-est.
Pour rappel, le capitaine Ibrahim Traoré, l’actuel président de la transition du Burkina Faso est arrivé au pouvoir depuis le 30 septembre 2022.
En effet, 30 septembre 2022, il renverse le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba par un coup d’État et prend la tête du Mouvement patriotique pour la sauvegarde et la restauration.
Un coup d’État perpétré suite à plusieurs attaques terroristes meurtrières dans ce pays sahélien.
Âgé seulement de 34 ans à cette époque, il devient le plus jeune chef d’État au monde.
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