Dans le dernier rebondissement du tristement célèbre scandale du b@iser entre Jennifer Hermoso et l’ancien président de la Fédération espagnole Luis Rubiales, un tribunal d’instance a décidé d’entendre l’affaire contre l’ancien patron de la FA et d’autres responsables espagnols.
Dans un développement important qui ébranle les fondements du football espagnol, le cas de Luis Rubiales et Jenni Hermoso a retenu l’attention du public et des médias.
Cette affaire concerne de graves allégations contre Rubiales, l’ancien président de la fédération espagnole de football, de la part d’Hermoso, une figure marquante du football féminin.
Le cœur du problème réside dans un incident de baiser non consenti, soulevant des questions cruciales sur le consentement et le traitement des femmes dans le sport.
Contexte de l’affaire
Jenni Hermoso, une figure célèbre du football féminin espagnol, a accusé Luis Rubiales d’un b@iser non consenti.
Cet incident s’est produit à la suite de la victoire de l’Espagne à la Coupe du monde féminine. Le témoignage de la joueuse, donné devant un tribunal de Madrid, a souligné que le b@iser n’était « à aucun moment consensuel » et a allégué qu’il y avait eu des pressions de la part du personnel de Rubiales pour minimiser l’incident.
Procédures judiciaires de Rubiales
Selon Football Espana, Rubiales fait face à de graves accusations, pouvant entraîner une amende ou une peine de prison d’un à 4 ans, conformément à la nouvelle loi espagnole sur le consentement sexuel.
Cette loi ne fait aucune distinction entre le « harcèlement s3xuel » et « l’agression s3xuelle », qualifiant ainsi tout acte s3xuel non consensuel d’agression.
L’affaire est examinée par le juge Francisco de Jorge, qui recueille également les témoignages d’autres joueuses, entraîneurs et responsables de la fédération, vainqueurs de la Coupe du monde.
L’incident a provoqué d’importants troubles dans le football espagnol, conduisant à une condamnation généralisée et à un boycott de l’équipe nationale par les joueurs vainqueurs de la Coupe du monde.
Cette crise a finalement conduit à la démission de Rubiales de son poste. La FIFA a également imposé une interdiction de 3 ans à Rubiales, en vigueur jusqu’après la Coupe du monde masculine 2026.
La lutte d’Hermoso
Hermoso a parlé de l’impact de l’incident, déclarant qu’elle avait reçu des menaces par la suite. Elle a été soutenue par plusieurs coéquipiers et personnalités du monde du football.
La footballeuse, dans sa position courageuse contre Luis Rubiales, a été confrontée à des défis importants suite à l’incident de la Coupe du monde féminine.
Son combat englobe non seulement les conséquences immédiates de l’incident, mais également les implications plus larges que cela a eu sur sa vie personnelle et professionnelle.
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