L’Angola ambitionne de concrétiser plusieurs de ses projets dont la construction de lignes de métro grâce à l’Egypte, un pays d’Afrique du Nord.
En effet, l’Egypte a une expérience avérée dans le domaine du transport urbain, en particulier les métros. Cela tombe à pic pour le gouvernement angolais.
Ce dernier œuvre à l’amélioration des infrastructures dans la capitale et les grandes villes du pays.
Le sujet a été au cœur des échanges lors de la table ronde égypto-angolaise organisée ce 30 avril 2025 au Caire, en présence du président angolais João Lourenço.
À cette occasion, le président d’Angola a exprimé sa volonté de renforcer la coopération avec l’Égypte.
Afrique du Nord : l’Angola sollicite l’expertise égyptienne pour la construction de lignes de métro
L’Angola cherche à construire de nouvelles lignes de métro. Le président angolais a souhaité que l’Egypte saisisse les opportunités prometteuses dans les domaines de la construction et de la maintenance des installations.
Lors de la table-ronde, il a promis l’engagement de l’État à fournir toutes les facilités aux investisseurs egyptiens.
L’Egypte dispose de grandes entreprises qui ont déjà realisé ces types d’infrastructures.
L’Angola recherche des investisseurs egyptiens
En dehors des projets liés à la construction, l’Angola recherche des investissements dans d’autres domaines. Selon le président angolais, les secteurs des véhicules électriques et des technologies de l’information font partie de leurs priorités. Il a affirmé que le marché angolais est largement ouvert aux Egyptiens dans ces domaines.
Il a mis en avant les atouts de son pays, dont une infrastructure numérique avancée, un secteur privé dynamique, et la disponibilité d’un satellite national.
En outre, le président angolais a appelé les entreprises égyptiennes à investir dans les secteurs de l’agriculture, du tourisme et de l’exploitation minière en Angola.
Enfin, il a salué le rôle central de l’Égypte dans le soutien au développement du continent africain. Il a aussi souligné l’intérêt croissant des entrepreneurs arabes pour le marché angolais.