Le footballeur Kylian Mbappé a décidé de porter plainte contre l’influenceur Mohamed Henni pour avoir utilisé son nom dans la description d’un kebab vendu dans son restaurant.
Cette décision a provoqué la colère de l’humoriste, qui dénonce une réaction excessive.
L’origine du conflit réside dans la description d’un sandwich vendu dans le restaurant de Mohamed Henni, un fervent supporter de l’Olympique de Marseille.
Le kebab en question était présenté de la manière suivante : « Pain rond boulanger, aussi rond que le crâne de Mbappé ».
L’avocate de Kylian Mbappé, Delphine Verheyden, a adressé une mise en demeure à Mohamed Henni lui enjoignant de ne plus utiliser le nom du footballeur à des fins commerciales.
Le courrier, daté du 29 février, stipule que l’influenceur n’a pas obtenu l’autorisation de Kylian Mbappé pour utiliser son nom et que cette utilisation « en dérision » porte atteinte à son image.
Mohamed Henni a réagi avec colère à cette mise en demeure. Sur les réseaux sociaux, il s’est déclaré « anéanti » et a accusé Kylian Mbappé de n’avoir « que ça à faire » de son temps. Il a également affirmé qu’il irait « au tribunal » pour un procès.
D’autres joueurs autres que Kylian Mbappé aussi moqués par Mohamed Henni
L’humoriste a également souligné que Kylian Mbappé n’était pas le seul à être moqué dans les présentations de son restaurant.
Un autre sandwich porte le nom de Dimitri Payet, ancien joueur de l’OM, et est décrit comme « une galette aussi chargée que Payet ».
Mohamed Henni a fait remarquer que Payet n’avait pas réagi à cette blague, contrairement à Mbappé.
@hennidamelio T’es pas content ? Procès ! 😭
Cette affaire met en lumière la question de la liberté d’expression et des limites de l’humour. Mohamed Henni estime que sa blague était inoffensive et qu’il n’y avait aucune intention de nuire à Kylian Mbappé.
De son côté, le footballeur a décidé de défendre son image et ses droits en engageant des poursuites judiciaires.
L’issue de cette affaire reste à déterminer. Il sera intéressant de voir comment le tribunal jugera la balance entre la liberté d’expression et le droit à l’image.
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