Quelques mois après son mariage, l’artiste Kerozen a décidé d’en dire plus sur cette perle rare avec laquelle il s’est uni jusqu’à ce que la mort les sépare.
Au micro de Tatiana Septo, l’élu de Dieu a donné tous les détails sur la rencontre avec sa femme, sa vie de couple et le nombre d’années passées ensemble avant de se dire oui.
Voici ci-dessous, l’interview avec Kerozen après son mariage :
« Tatiana Septo : ‘Comment as-tu rencontré ta femme ?’.
Kerozen : ‘Je l’ai rencontrée en 2019, aux États-Unis. J’allais à un rendez-vous quand je l’ai aperçue. C’est là que tout a commencé (rires). On a alors appris à se connaître petit à petit. Ce n’était pas automatique, il a fallu du temps. Il y a eu un vrai parcours’.
Tatiana : ‘Un parcours semé d’embûches ?’.
Kerozen : ‘Exactement. Je ne vais pas te mentir, tout n’a pas été rose. Il y a eu des hauts et des bas. Mais on a surmonté ensemble’.
Tatiana : ‘Combien de temps entre la rencontre et le mariage ?’.
Kerozen : ‘De 2019 à 2024, cinq années de vie commune, d’apprentissage, de construction’.
Tatiana : ‘Est-ce qu’elle a changé depuis le mariage ?’.
Kerozen : ‘Non, elle est restée la même. C’est une grâce. Elle est même devenue encore plus douce… Moi, je voulais un mariage simple, entouré d’amis et de grands frères.
Mais Dieu en a voulu autrement. Il l’a rendu pompeux. J’avais envie de me faire plaisir et surtout d’honorer ma femme. Et grâce à Dieu, c’est ce qui s’est passé’.
Tatiana : ‘Et le plus beau moment de ce mariage ?’.
Kerozen : ‘Il y en a eu tellement ! Je ne pourrais pas en choisir un seul. Tout le mariage a été un moment fort. J’étais entouré de mes amis d’enfance, de mes beaux-frères, de mes oncles, de mes tantes venues du village.
Personne ne s’y attendait. Tout le monde était en feu. J’ai même dit à mon père : “Papa, viens, c’est mon jour de gloire”’.
Tatiana : ‘Et ce discours que tu as prononcé pendant le mariage, tu l’avais préparé ?’.
Kerozen : ‘Pas du tout. C’était une inspiration du moment’.
Tatiana : ‘Et en ce qui concerne le financement du mariage ?’.
Kerozen : ‘C’est moi le mari. Chez nous, les Bétés, on est une ethnie fière. Sans prétention, quand on veut faire quelque chose, on le fait.
J’ai voulu faire mon mariage, j’ai voulu honorer ma femme, et je l’ai fait. J’ai aussi reçu beaucoup de cadeaux. Des amis sont venus du Cameroun. J’en profite par ailleurs pour saluer Dr Raoult’« .