Juliana, une influenceuse congolaise, fait la une de la toile après la fuite de ses s3xt@pes sur la toile. Un scandale qui survient quelques semaines après celui du Cameroun.
En effet, plusieurs vidéos de l’influenceuse ont fuité sur la toile. Dans certaines, elle a été vue toute nµe en train de dévoiler ses courbes à la caméra.
Dans d’autres, elle se m@sturbait, et dans d’autres encore, elle dansait sensuellement devant la caméra, et ceci, toujours dans sa tenue d’Eve.
Pour l’heure, l’on n’en sait pas plus sur les circonstances ayant engendré la publication des s3xt@pes de l’influenceuse congolaise Juliana sur la toile. Mais suite à cela, elle a désactivé son compte TikTok. Nous y reviendrons.
Comme précisé au début, cette affaire survient quelques semaines après le gros scandale qui a eu lieu au Cameroun.
Les vidéos ont commencé à circuler depuis plusieurs jours dans les groupes WhatsApp et Telegram. Les séquences montrent deux femmes en pleins ébats s3xµ-els dans un bureau. La policière identifiée dans l’une des vidéos se prénomme Christelle.
Dans l’une des séquences, l’on pouvait voir la policière en train de c@rresser sa collègue, tout en se déshabillant. Dans d’autres séquences, elle est couchée sur le dos, tandis que sa collègue la c@resse.
Ces vidéos montrant une p@r-t0uze entre ces policières ont provoqué un scandale au Cameroun, ainsi qu’en dehors. Sur la toile, les internautes ont déploré cet acte commis dans un lieu de service.
Après la diffusion des images qui ont choqué la toile, les autorités ont réagi. La Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN) a suspendu les personnes impliquées.
Le commissaire divisionnaire Josué, jusque-là délégué régional pour la région du Centre, figure parmi les premiers sanctionnés.
Les deux femmes policières, dont Christelle Eboa, ont également été suspendues. Il s’agit là d’une réponse rapide, visant à préserver l’image de l’institution.
Par ailleurs, le commissaire Armand A. a été nommé à titre intérimaire pour remplacer Josué. Ce remplacement immédiat montre la volonté de la hiérarchie policière de maintenir la stabilité au sein du commandement régional.
En parallèle, la DGSN a lancé une enquête administrative via sa direction du contrôle interne. Cette instance, chargée d’assurer la discipline au sein du corps, doit établir la chaîne de responsabilité et déterminer l’origine de la fuite. Les sanctions définitives dépendront des conclusions de cette enquête.
Au-delà des mesures administratives, le dossier pourrait connaître des implications judiciaires. En effet, au Cameroun, la loi pénalise l’h0m0s3xµalité.
Si les faits sont considérés comme entrant dans ce cadre, les agents concernés pourraient alors faire face à des poursuites. Mais de son côté, la policière Christelle Eboa s’est retrouvée au cœur de l’actualité après la publication de la s3xt@pe.