José Mourinho a récemment partagé un extrait intrigant de son passé, révélant qu’il avait déjà eu la chance de diriger l’équipe nationale d’Angleterre.
Cette révélation est survenue lors d’une conversation franche sur la chaîne YouTube de Rio Ferdinand, FIVE, suscitant des discussions et des hypothèses parmi les passionnés de football.
Dans une révélation qui a attiré l’attention de beaucoup de personnes, il a révélé qu’avant que Fabio Capello ne prenne les rênes en décembre 2007, on lui avait offert la chance de diriger l’Angleterre.
C’était peu de temps après la campagne décevante de l’Angleterre pour se qualifier pour l’Euro 2008 sous Steve McClaren.
À 44 ans, Mourinho venait tout juste de faire des succès à Chelsea, où il a remporté 2 titres consécutifs de Premier League en 2004-05 et 2005-06, faisant de lui une figure recherchée dans la gestion du football.
« J’aurais pu être l’entraîneur de leur équipe nationale. Je l’avais sur la table. Il a ensuite expliqué sa décision de décliner l’offre, citant une préférence pour la gestion de club plutôt que pour les équipes nationales à ce stade de sa carrière.
Parce que j’ai toujours eu des emplois en équipe nationale comme quelque chose que je n’apprécierais pas. C’était en 2007-2008 et Fabio Capello a obtenu le poste », a déclaré Mourinho, tel que rapporté par l’Athletic.
Mourinho sur les chances de l’Angleterre pour l’Euro 2024
La conversation a également porté sur les perspectives de l’Angleterre lors du prochain Euro 2024. Il a fait l’éloge de la génération actuelle de joueurs anglais, reconnaissant leur potentiel pour décrocher le titre, notant notamment l’impact de l’expérience internationale de Jude Bellingham avec le Real Madrid.
José Mourinho estime que Bellingham apporte un avantage unique à l’équipe, l’attribuant à sa large visibilité et à sa personnalité significative.
« C’est une très bonne génération de joueurs anglais. Ils sont arrivés à la finale de l’Euro 2020, ils peuvent le faire gagner l’Euro 2024.
La mentalité des gars qui sont partis à l’étranger, (Jude) Bellingham par exemple, je crois qu’il y a quelque chose qui le sépare des garçons qui sont nés en Angleterre, ont grandi en Angleterre et jouent en Angleterre.
Il peut ajouter quelque chose de différent, c’est un enfant du monde. Il a une grande, grande personnalité », a-t-il confié.
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