Joël Francis, le prophète congolais qui s’est marié récemment, vient de faire une sortie étonnante sur la dot.
La dot, cette pratique traditionnelle qui consiste à offrir une somme d’argent ou des biens matériels à la famille de la mariée.
Cette partique est une aberration en République démocratique du Congo, selon le congolais Joël Francis Tatu.
Il appelle à son abandon pur et simple.
Pour le « prophète », la dot est devenue une source de stress pour les familles qui cherchent à la réunir.
Souvent, les parents de la mariée s’endettent pour répondre aux exigences de la famille du marié.
Il estime que c’est une situation qui a souvent des conséquences désastreuses sur le bien-être financier des familles, qui peinent à se relever après le paiement de la dot.
La dot est souvent utilisée comme une excuse pour justifier des mariages forcés ou précoces.
Les parents, sous la pression de la famille du marié, n’hésitent pas à marier leur fille contre son gré en échange d’une forte somme d’argent.
Cette pratique est non seulement illégale, mais aussi contraire aux droits humains fondamentaux.
Joël Francis Tatu ajoute que la dot n’a pas sa place dans la société congolaise moderne.
Il appelle à une réforme de la façon dont les mariages sont célébrés dans le pays.
Pour lui, le mariage doit être une union librement consentie entre deux personnes qui s’aiment, et non une transaction commerciale.