La décision d’un juge Italien fait objet d’une vive polémique sur la toile.
En effet, ce dernier a décidé de relaxer un gardien d’école qui est accusé d’avoir tripoter les fesses d’une élève, acte considéré comme une agression sexuelle.
L’homme, âgé de 66 ans, n’a pas été reconnu coupable d’harcèlement sexuelle, parce que son acte n’a duré que 10 secondes.
Selon les faits, Antonio Avola, a plongé sa main dans le pantalon d’une élève de 17 ans, pour tripoter ses fesses.
L’homme a avoué son acte au juge, affirmant qu’il l’avait fait comme « une blague ». Une peine de trois ans et demi pour agression sexuelle avait été même demandée par les procureurs.
Mais la réquisition des procureurs n’a pas été suivie par le juge qui a procédé à son acquittement cette semaine.
La raison évoquée est que la « soudaineté de l’action, sans aucune insistance dans l’action de toucher, relevant presque de l’effleurement, ne permettait pas de caractériser l’intention de libidineuse ou de concupiscente généralement requise par le droit pénal ».
Ainsi donc, les Italiennes mécontentes, partagent depuis quelques heures, des vidéos d’elles-mêmes dans lesquelles elles se frottent les seins pour protester contre la décision du juge.
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