L’histoire est tellement folle que l’on se croirait dans le Loup de Wall Street.
En effet, George Santos a été élu au parlement américain avec un CV et une vie complètement fausse.
Courant novembre, l’homme qui fait partie du bord républicain a accédé à la chambre des représentants. Pendant sa campagne, il s’était décrit comme l’incarnation du rêve américain.
Il avait ainsi expliqué venir d’une famille pauvre et avoir réussi à s’en sortir en devenant un financier accompli.
Mais vous l’aurez compris. Il s’agit d’une pure création. Le principal concerné a même reconnu ce 26 décembre avoir « enjolivé » son vécu.
C’est le New York Times qui a permis de démasquer le bougre. Et pour cause, le média américain avait dès le début de gros soupçons sur son histoire.
Ce qui a permis de mettre la puce à l’oreille du journal tient dans sa biographie. Il y avait expliqué avoir travaillé dans 2 entreprises courant 2012.
Le hic, c’est qu’aucune des deux ne l’a reconnu. Durant cette période, il était employé plutôt dans un call center.
Enfin, George Santos avait expliqué qu’il était devenu riche et qu’il possédait 13 propriétés immobilières. En réalité, il est encore locataire.