Neymar Jr, même en dehors du terrain, continue de faire parler de lui. Un fan a décidé de faire parler son cœur en lui offrant une somme de plus de 500 milliards de FCFA.
Il s’agit d’homme d’affaires brésilien de 31 ans, originaire de l’État du Rio Grande do Sul. Célibataire et sans enfant, il a décidé de léguer l’intégralité de sa fortune, estimée à un milliard de dollars, à Neymar Jr.
Dès que sa santé a commencé à se détériorer, il a pris cette décision radicale. Il a choisi de rester anonyme, mais il a validé son testament devant un notaire public pour garantir son authenticité.
Selon les documents officiels, le testament stipule que, sous réserve des dispositions légales, la totalité de ses biens devait revenir à Neymar da Silva Santos Jr.
L’homme a expliqué que ce geste reflétait son admiration profonde pour le joueur. Il s’identifie à Neymar, notamment à travers la relation que ce dernier entretient avec son père. La perte de son propre père a renforcé ce lien symbolique.
De plus, l’homme d’affaires ne souhaitait pas que sa fortune revienne à des membres de sa famille avec qui il entretenait des relations conflictuelles.
Il voulait éviter que ses biens soient récupérés par le gouvernement. Ainsi, désigner Neymar comme héritier semblait être la meilleure solution à ses yeux. Il considérait ce choix comme un moyen de donner un sens à sa fortune tout en honorant son idole.
Cependant, bien que ce geste soit émouvant, il n’a pas de valeur juridique immédiate. La législation brésilienne impose des règles strictes concernant les héritiers réservataires.
Même si Neymar acceptait ce legs, il faudrait passer par un tribunal pour valider le transfert. Le joueur a été informé du geste, mais il n’a pas officiellement accepté l’héritage.
Les médias brésiliens ont largement relayé l’information, mais l’affaire n’a pas entraîné de procédure judiciaire majeure.
En attendant, ce geste attire l’attention et suscite de nombreux commentaires. Les fans du joueur de Santos y voient un témoignage fort de son influence et de l’admiration qu’il suscite. Nous y reviendrons.