Le mardi 3 octobre, Hunter Biden a plaidé non coupable, d’une accusation de possession illégale d’armes à feu.
Et ce alors même que son père, le président américain Joe Biden, se prépare à sa réélection l’année prochaine.
Il est arrivé devant un tribunal fédéral dans la ville natale de sa famille, Wilmington, Delaware, et a plaidé non coupable de 3 accusations criminelles découlant de son achat d’un revolver Colt Cobra de calibre 38 en 2018 lorsqu’il a admis qu’il était lourdement blessé, toxicomane et à peine maître de sa vie.
Ce n’est pas le seul problème juridique auquel Hunter est confronté.
Il fait également face à des accusations de la part de politiciens républicains selon lesquelles il s’est livré à des pratiques commerciales corrompues en Chine et en Ukraine, ce qui pourrait détourner la position politique de son père alors qu’il brigue un second mandat en 2024.
Les républicains ont ouvert une enquête de destitution au Congrès sur ce qu’ils prétendent être un complot criminel de la famille Biden.
En réponse au scandale, le président a déclaré à plusieurs reprises qu’il soutenait son fils et qu’il l’aimait pour ses tentatives de se remettre de sa toxicomanie.
L’avocat de Hunter Biden, l’abbé Lowell, avait demandé au juge Christopher Burke d’autoriser Biden, qui vit en Californie, à comparaître par vidéo plutôt qu’en personne, mais la demande a été rejetée.
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