Harry Kane relance le débat sur les critères du Ballon d’Or en rappelant que les exploits individuels ne suffisent jamais sans trophées collectifs.
L’attaquant anglais affirme avec franchise qu’un joueur peut empiler les buts et briller chaque semaine, mais il doit surtout gagner les grandes compétitions pour espérer décrocher la récompense suprême. Il insiste sur ce point avec une lucidité rare.
Dès le début, Harry Kane adopte un ton direct. Il explique qu’il pourrait inscrire 100 buts en une saison et échouer malgré tout dans la course au Ballon d’Or s’il ne remporte ni la Ligue des champions ni une Coupe du monde.
Il affirme que cette réalité s’impose à tous les attaquants modernes. Très vite, il cite l’exemple d’Erling Haaland pour illustrer que le prestige des trophées prime sur les statistiques. Ainsi, il rappelle que la reconnaissance mondiale suit toujours le succès collectif.
Ensuite, Harry Kane développe une réflexion plus large sur la logique du football actuel. Il souligne que les observateurs placent les buts au premier plan, mais les votants retiennent surtout la capacité d’un joueur à faire gagner son équipe dans les moments décisifs.
Par conséquent, il se montre lucide face aux exigences contemporaines. Il comprend que les grandes compétitions orientent désormais les verdicts.
Par ailleurs, l’attaquant du Bayern Munich estime que la saison présente lui offre une opportunité réelle. Il affirme que son club fait partie des favoris pour la Ligue des champions.
Il met également en avant les ambitions de l’équipe d’Angleterre, qui pourrait lui offrir une vitrine supplémentaire lors des tournois internationaux. Grâce à cette dynamique, il pense disposer d’un contexte favorable pour renforcer sa candidature.
De plus, Harry Kane ne cache pas son envie profonde de remporter enfin le Ballon d’Or. Il reconnaît que ce trophée symbolise l’aboutissement d’un travail constant.
Toutefois, il affirme vouloir y accéder de manière cohérente et méritée. Il répète qu’il doit d’abord aider ses équipes à triompher, car seules les victoires collectives donneront du poids à ses performances individuelles.