Alors qu’il est de retour au Royaume pour assister à la cérémonie de couronnement du roi Charles III, le prince Harry est confronté à une situation non confortable.
Buckingham Palace refuse d’offrir au duc de Sussex une protection policière 24 heures sur 24. Il n’aurait donc d’autre choix que d’accepter d’être « assigné à résidence » chez lui, au célèbre Frogmore Cottage, sur le domaine du château de Windsor.
Le cas échéant, le fils de Charles III ne recevrait l’autorisation de sortir de sa demeure que pour assister aux événements du couronnement en compagnie des autres membres de la famille royale.
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« Bien sûr, il sera protégé par des policiers lorsqu’il assistera aux principaux événements, mais s’il souhaite faire autre chose, il devra payer pour sa propre sécurité s’il est si inquiet », explique Dai Davies, ancien chef du service de sécurité de la famille royale britannique, dans les colonnes du Mirror.
Parce qu’il a quitté ses fonctions royales, le prince Harry n’a plus droit à aucune protection armée. Une décision que le principal intéressé trouve injuste, selon un article du Sun paru le 19 février dernier.
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Le fils de Charles III avait lancé une procédure de révision judiciaire devant la Haute Cour, proposant de financer lui-même la protection judiciaire qu’il estime nécessaire à sa famille lors de ses déplacements au Royaume-Uni. La police n’est pas une « arme à louer », a-t-on rappelé au mari de Meghan Markle qui prétend ne pas vouloir faire payer au contribuable la facture de ses gardes.