Depuis plusieurs jours, un scandale secoue la Guinée équatoriale où plus de 400 vidéos intimes du fils d’un haut dirigeant de la CEMAC, ont fuité et sont devenues virales sur les réseaux sociaux.
L’homme aurait séduit plus de 200 femmes, y compris des épouses de personnalités influentes et de hauts responsables du pays. L’affaire fait grand bruit, suscitant une vive polémique dans tout le pays.
Le coach Varain Engolo réagit et apporte son soutien à Balthasar.
« Quand les sext@pes d’une femme fuitent, elle devient star et influenceuse, et quand il s’agit d’un homme, on le jette en pâture à la vindicte populaire.
Toutes ces femmes sur les vidéos, sont consentantes, et éprouvent même du plaisir.
Et quand on sait que dans le domaine sexu€l, c’est la femme qui fixe les règles du jeu, dans le sens où c’est elle qui décide de donner son corps, alors en quoi est-il fautif ?
D’autant plus que la femme, ne peut pas donner son corps à un homme, sans éprouver une certaine attirance pour lui.
Balthasar est un époux tendre et un père aimant à la maison, mais dehors, il fait du sale, ça, c’est un homme.
Il n’y a aucune vidéo de lui et de son épouse, il a traité ces femmes en conséquence, et en fonction de leurs vices. Elles méritent d’être exposées, j’ai de la peine pour leurs maris et leurs enfants.
Rendez à Balthasar ce qui à Balthasar. Elles ont rendu Cynthia Fianga star aujourd’hui elle voyage en première classe, elle dort au Hilton elle a le dernier IPhone.
Quand c’est Balthasar, on doit le crucifier ?
Nous allons aussi faire de lui une star, c’est notre influenceur d’ailleurs, il a de l’argent et s’il n’en a pas on va cotiser pour lui », a-t-il lâché. Cette sortie du coach a remonté plus d’un dans la section des commentaires.
Certains internautes estiment qu’il n’est pas judicieux de plaisanter avec cette affaire d’autant plus que des rumeurs de maladie sexuellement transmissible circulent sur l’accusé.
En Guinée équatoriale, le gouvernement a interdit les relations s3xuelles sont dans les bureaux.
Des mécanismes de contrôle sont déjà en place et toute personne qui enfreindra à nouveau cette règle sera sanctionnée pour faute et licenciée.