Guerre en Ukraine : Donald Trump fait une folle promesse en cas de paix

Donald Trump

Crédit Photo : AFP/POOL/Christopher Furlong

Donald Trump, le président américain est résolument décidé à ramener la paix en Ukraine, trouver une issue durable au conflit israélo-palestinien, et apaiser les tensions entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan.

Derrière cette diplomatie active, Trump avoue une motivation plus intime, teintée d’ironie. Il évoque souvent les critiques qui lui promettent un accueil peu clément dans l’au-delà, suggérant que ses efforts pour la paix pourraient lui valoir une rédemption divine. Une approche qui mêle pragmatisme et autodérision.

Les dernières semaines ont été marquées par des rencontres intensives : un sommet avec Vladimir Poutine en Alaska, suivi d’un entretien avec Volodymyr Zelensky à Washington.

Ces échanges, bien que prometteurs, soulignent l’ampleur des défis à surmonter pour transformer les intentions en résultats concrets.

Pourtant, les faits rappellent brutalement les limites de ces initiatives. À peine une trêve était-elle évoquée que la Russie lançait une nouvelle offensive majeure en Ukraine.

Ce décalage entre les annonces diplomatiques et la brutalité des réalités militaires interroge : ces démarches suffiront-elles à faire plier des adversaires aux positions encore radicalement opposées ?

Dans tous les cas, Trump persiste et signe. « Je veux essayer d’aller au Paradis si possible », a-t-il affirmé à l’occasion d’un passage télévisé chez « Fox & Friends », une émission deFox News, chaîne qui a les faveurs des conservateurs américains et notamment de Donald Trump, qui l’a souvent mise en avant.

« Nous venons de mettre fin en 12 jours à une guerre qui couvait depuis 30 ans« , avait déclaré Trump lors d’une réunion de l’Otan fin juin. Quelques jours auparavant, Israël avait lancé une attaque surprise contre le territoire iranien. L’Amérique avait alors bombardé l’Iran, puis négocié un cessez-le-feu entre Téhéran et Israël.

Mais aucun texte n’engage les belligérants à ne pas reprendre les hostilités. Israël s’est réservé le droit de frapper à nouveau l’Iran. La république islamique a, de son côté, averti, lundi, qu’une nouvelle guerre avec l’État hébreu pourrait éclater « à tout moment ».

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