Le patron de Manchester City, Pep Guardiola, a montré les dents lors de la dernière conférence de presse alors qu’il relevait le gant après les propos osés du défenseur d’Arsenal Gabriel Maghalaes.
Ce qui s’est passé
Arsenal, lors des deux dernières saisons de Premier League, a été un concurrent de taille dans la course au titre. Mais, malheureusement, à chaque fois, c’est Manchester City qui a eu le dernier mot.
Et cette saison encore, les deux équipes sont déjà engagées dans une lutte infernale pour le sacre final ; par conséquent, leur première rencontre en championnat la semaine dernière a été âprement disputée, et il y a eu des moments où les émotions ont débordé.
L’un d’eux s’est produit lorsqu’Erling Haaland a lancé le ballon sur Gabriel après que John Stones a permis à Manchester City d’égaliser en fin de match lors du match nul 2-2.
Après le match, le défenseur central brésilien a été interrogé sur l’incident, et il a jeté le gant en déclarant : « Comme je l’ai dit, la bataille, la guerre, la provocation sont normales dans le football et font partie du jeu. C’est fini maintenant. Maintenant, nous les attendons sur notre terrain ».
Les propos de Guardiola
Le manager de Manchester City a maintenant répondu au nom de son équipe, affirmant qu’ils étaient prêts à partir en guerre.
« Vous voulez une guerre ? Maintenant, nous sommes en guerre », a déclaré Guardiola.
« Gabriel l’a parfaitement dit après le match. Il a dit : c’est une guerre ; nous sommes là pour provoquer l’adversaire, pour le pousser. A la fin, que pouvez-vous faire ? Alors, nous devons le faire, ok, vous me provoquez, ok, je suis là ! », a-t-il ajouté.
Pep a également eu des mots pour le patron d’Arsenal Mikel Arteta, qui a fait allusion au fait d’être au courant des secrets de Manchester City après que son équipe ait été accusée de se livrer à des « arts obscurs » après leur match nul 2-2.
« La prochaine fois, il devra être plus clair sur ce que cela signifie exactement », a dit Guardiola.
« Mikel a dit qu’il était ici depuis quatre ans et que nous savons exactement ce qui s’est passé ici, car cela peut être lié à tout le processus maintenant avec 155 accusations, c’est peut-être à ce sujet, il connaît des informations à ce sujet peut-être.
La prochaine fois, comme dans la bonne relation que j’ai avec lui, j’espère que cette question aura une réponse claire », a poursuivi le manager de Manchester City.