Dans les coulisses du pouvoir au Gabon de Brice Oligui Nguema, un vent de changement souffle sur les coffres de l’État.
La révolution numérique, longtemps promise, a finalement frappé à la porte du fisc, et le résultat est pour le moins saisissant.
DIGITAX, une nouvelle plateforme, a transformé en quelques clics la routine des déclarations d’impôts en une danse de chiffres vertigineux.
Imaginez un instant : 258 milliards de francs CFA récoltés en à peine trois mois. C’est comme si chaque contribuable gabonais s’était soudain rappelé son devoir fiscal.
Les comptables de la Direction générale des impôts, habitués à opérer avec des sommes plus modestes, ont vu leurs projections changer.
Mais il n’y a pas à s’y tromper ; il ne s’agit nullement d’un coup de chance. C’est le fruit d’une stratégie bien préparée, où la technologie se met au service de l’efficacité administrative.
Comment le Gabon a réussi ce coup de force ?
Fini les files d’attente interminables et les formulaires incompréhensibles. Désormais, c’est depuis leur smartphone que les entreprises s’acquittent de leur devoir fiscal, avec la décontraction d’un paiement en ligne pour une paire de chaussures.
Et ce n’est que le début. Les autorités, encouragées par ce succès, rêvent déjà d’étendre cette manne numérique à d’autres domaines.
Il n’est inimaginable de penser que DIGITAX pourrait bientôt toucher le petit commerce, voire les particuliers. Une perspective qui fait briller les yeux des planificateurs économiques, imaginant déjà les milliards s’accumuler comme par magie.
Pour Brice Oligui Nguema, ces recettes inespérées tombent à point nommé pour financer les grands projets. Mais attention, le véritable défi sera de transformer ces milliards virtuels en progrès tangibles pour la population.
En attendant, DIGITAX continue sa progression silencieuse, tissant sa toile numérique sur l’économie gabonaise.