Le sénateur Ned Nwoko a réagi à la fuite de documents médicaux concernant Regina Daniels. Le couple, en froid depuis quelque temps, s’accuse mutuellement sur les réseaux sociaux.
Après avoir accusé Regina Daniels de dépendance, un rapport médical a fuité en ligne.
Peu après, l’hôpital Serenity Royale a décliné toute responsabilité dans cette fuite, sans toutefois confirmer ni infirmer les troubles mentionnés dans le rapport concernant Regina Daniels.
Dans un communiqué publié le samedi 15 novembre sur sa page Facebook, l’homme d’affaires a confirmé que le rapport médical est bien authentique.
Voici le communiqué :
« Un rapport médical concernant Regina Nwoko circule actuellement en ligne.
Les rapports sont authentiques. Le centre de réhabilitation a simplement précisé qu’il n’a ni publié ni diffusé ces documents, ce qui est normal puisque les institutions médicales doivent protéger la confidentialité de leurs patients. Ils n’ont pas nié être les auteurs de ces rapports ; leur préoccupation porte uniquement sur la fuite.
Le public est encouragé à lire les rapports dans leur intégralité, car ils expliquent la situation de manière claire et directe. Le rapport toxicologique ainsi que celui de l’hôpital Serenity confirment la présence des mêmes substances, toutes à des niveaux représentant de graves risques pour la santé :
- Marijuana
- Cocaïne
- Morphine
- Opiacés à des niveaux extrêmement élevés
- Alcool à un taux dangereusement critique
Le rapport de l’hôpital Nizamiya, daté du 3 octobre, ajoute un détail encore plus préoccupant : elle a été admise inconsciente à la suite d’une overdose. Ces faits sont documentés, cohérents et profondément alarmants.
Les rapports décrivent également les difficultés rencontrées par le centre de réhabilitation, notamment l’ingérence constante de ses frères et sœurs. Ils ont même déclaré ne voir aucun problème à lui donner de l’alcool et du cannabis pendant sa cure, et ils ont continué à favoriser sa consommation. Leurs actions ont rendu un traitement efficace impossible et constituent l’une des principales raisons pour lesquelles elle n’a jamais pu achever sa réhabilitation.
Beaucoup se demandent pourquoi le sénateur insiste tant sur une thérapie. Sa détermination s’explique par une réalité évidente : plusieurs des décisions récentes de Regina ne proviennent pas d’un état d’esprit stable et sain. Elle est vulnérable, sans protection, et entourée de personnes qui profitent d’elle pour leurs intérêts personnels. Son comportement en ligne reflète ses difficultés actuelles, et elle accorde souvent plus de poids aux voix du public qu’aux recommandations des professionnels de santé ou de son mari.
Les tentatives précédentes pour l’aider discrètement n’ont pas abouti. Étant donné la gravité des substances détectées et l’urgence médicale documentée où elle est arrivée inconsciente, il ne s’agit plus d’un problème qui peut être réglé dans la discrétion. À ce stade, la question est la suivante : doit-on attendre que Regina atteigne un point de dommages irréversibles avant de la soutenir, de l’encourager à arrêter la consommation de substances et de l’aider à s’engager dans une réhabilitation ?
Le Distinguished Senator est sincèrement et profondément préoccupé. Son ton, ses actions et sa persévérance reflètent un homme qui souhaite que Regina se rétablisse, qu’elle soit en sécurité, lucide et présente pour ses deux jeunes fils. Tant que ces garçons ne seront pas assez grands pour la guider eux-mêmes, il continuera de faire tout ce qui est de sa responsabilité pour restaurer son bien-être et s’assurer que ses choix futurs soient faits avec clarté.
Le message reste clair.
Les rapports sont authentiques. Les hôpitaux et les centres de réhabilitation n’ont pas orchestré la fuite. Les conclusions parlent d’elles-mêmes. Regina a besoin d’un traitement constant, de soutien et de protection — pas de déni, pas d’ingérence, et encore moins d’encouragement à poursuivre ses dépendances. C’est une mère, et elle mérite la chance de retrouver sa santé et sa stabilité.
Communication Team Lead
Bureau du Distinguished Senator Ned Munir Nwoko