Le 22 novembre 2025, le domicile parisien de l’ancien président François Hollande et de sa compagne Julie Gayet a été cambriolé.
Les malfaiteurs ont réussi à pénétrer dans la résidence sans déclencher d’alarme, soulevant immédiatement des interrogations sur la sécurité des anciens dirigeants.
Alertés, les policiers du 2ᵉ district de police judiciaire se sont rapidement rendus sur place pour ouvrir une enquête pour « vol en bande organisée ».
Dès les premiers éléments, les enquêteurs ont orienté leurs recherches vers des suspects connus pour des actes similaires dans la région parisienne.
Au terme de plusieurs jours d’investigations minutieuses, deux hommes ont été interpellés. Âgés de 29 et 30 ans et nés respectivement en décembre 1994 et février 1995 en Algérie, ils ont été immédiatement placés en garde à vue.
Les autorités judiciaires ont indiqué que ces individus étaient déjà connus des services de police pour des infractions liées au vol et au cambriolage.
Après examen des preuves et confrontation des éléments, le parquet de Paris a ensuite décidé de les mettre en examen le 28 novembre 2025 pour « vol en bande organisée » et de les placer en détention provisoire.
Parmi les objets dérobés figurait une montre de valeur, rapidement retrouvée lors d’une perquisition menée au domicile des suspects. Les forces de l’ordre ont restitué la montre à François Hollande, ce qui a permis de limiter l’impact matériel du cambriolage.
Selon des sources proches de l’ancien président François Hollande, cette restitution a été un soulagement, même si l’événement a provoqué un choc émotionnel considérable.
En mobilisant rapidement moyens techniques et judiciaires, les enquêteurs ont pu identifier et appréhender les suspects en un temps record, ce qui illustre la réactivité des forces de l’ordre face à des actes graves.
Le dossier reste désormais entre les mains de la justice parisienne. La mise en examen des deux hommes confirme que les éléments réunis sont jugés suffisamment sérieux pour engager des poursuites.
Les investigations se poursuivent, notamment pour déterminer si d’autres vols ou complices sont liés à ce cambriolage.
Cette affaire, largement relayée par les médias, continue de susciter des réactions sur la sécurité des personnalités publiques en France.