Depuis le déclenchement du coup d’État survenu le 26 juillet au Niger, les relations entre ce pays d’Afrique de l’Ouest et la France ont connu des turbulences sans précédent comme le montre le problème d’approvisionnement en uranium.
En effet, cette situation géopolitique soulève la question cruciale de la continuité de l’approvisionnement en uranium nigérien, une ressource essentielle pour l’industrie nucléaire française.
François Asselineau, homme politique de France, a entrepris une analyse approfondie des implications potentielles de l’arrêt éventuel de cette exploitation de l’uranium du Niger
Asselineau a mis en lumière les conséquences majeures qui pourraient découler de la cessation de l’approvisionnement en uranium du Niger vers la France.
L’uranium nigérien représente actuellement environ un sixième des achats totaux de la France dans ce domaine stratégique, une part loin d’être insignifiante.
Dans une déclaration récente, Asselineau a souligné : « Même un sixième n’est pas négligeable quand même ».
Le rôle crucial de l’uranium dans la production d’énergie nucléaire est indéniable, et l’approvisionnement en cette matière première est vital pour l’indépendance énergétique de la France.
Toutefois, l’arrêt potentiel de l’approvisionnement nigérien ne signifierait pas nécessairement une crise insurmontable.
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