Une internaute résidant dans un quartier de la Côte d’Ivoire a fait des révélations sur des filles qui vendent leur corps contre 100 FCFA. Après sa sortie, d’autres témoignages ont aussi surgi, provoquant un grand choc sur la toile.
Tout était parti d’un post qu’a fait Ephra Andy, créateur de contenu ivoirien. Dans sa publication, il a fait part de son inquiétude vis-à-vis des rumeurs selon lesquelles des filles acceptaient de coucher avec des revendeurs en échange des vêtements pour la fête.
Sur sa page Facebook, il s’est exprimé en ces termes : « C’est vrai qu’il y a des Haoussas qui couchent avec certaines filles à cause de la friperie ? Je n’ai jamais cru à ça hein. »
Suite à cela, une internaute a partagé ce post et a fait des révélations sur des filles qui vendent leur corps contre 100 FCFA dans un quartier de Côte d’Ivoire.
Bla Guizale Marie, l’internaute dont il s’agit, s’est confiée en ces termes : « Ce que tu n’as jamais vu, il ne faut pas dire que ça n’existe pas. Dans mon quartier, il y avait des filles qui se vendaient à 100 FCFA le coup. Je vous assure sur ma vie. Je suis très sérieuse. D’ailleurs, j’avais des vidéos où elles se battaient avec les clients ».
D’autres internautes se sont également prononcés sur le sujet. Ils ont fait de terribles révélations dans les commentaires. Voici quelques témoignages :
« Ce phénomène se passe dans presque tous les marchés d’Abidjan. Un vêtement coute 5 000 frcs, mais la fille a que 1000 frcs sur elle. Après de longs échanges avec le vendeur (Haoussa) il lui cède la marchandise sans rien prendre. C’est parce qu’ils ont déjà conclu le marché pour coucher ensemble » ;
« Très vrai. Une année, je suis allée à Sicogi pour acheter une paire de chaussures. Quand il a dit le prix, je lui ai dit que ça ne m’arrangeait pas. Ensuite, je lui ai notifié que je reviendrai plus tard. Le revendeur m’a dit non, et il a proposé un arrangement. J’ai donc compris ce dont il s’agit et je suis partie » ;
« Même les Anago qui vendent chaussure friperie là, ils font ça bien même. Une fois, je suis allée acheter chaussure à Sicogi. Le lendemain, j’en voulais une autre. Puisque j’ai pris le numéro du vendeur, je l’ai appelé.
Comme je finissais tard, il m’a attendu jusqu’à 19 h 30. Une fois arrivée, je vois ensuite une autre chaussure qui me plaît et je lui demande de garder pour que le lendemain, je puisse envoyer quelqu’un récupérer. Il me dit de laisser l’argent et il pose sa main sur ma cuisse.
N’ayant pas compris, je lui ai donc demandé ce qui se passe. Il dit non, qu’on va faire vite vite. Je réponds : ‘Vite ? Quoi vite ?’ Quand il m’a regardé, j’ai compris en même temps. Je suis partie vite vite, car je n’ai pas supporté ça. À cause d’une simple chaussure ? Je suis dégoûtée ».