Ce mercredi 10 janvier, l’instance faitière du football mondial , FIFA, a frappé fort. Le Comité Disciplinaire de la FIFA a infligé à la sélection d’Argentine, une lourde sanction pour les troubles survenus lors du match contre le Brésil en novembre, sur le sol brésilien, lors des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026.
La sélection Argentine se verrait infliger une réduction de 50% de la capacité d’accueil pour son prochain match des éliminatoires sud-américaines, prévu en septembre 2024 contre le Chili au stade Monumental.
De plus, l’Association du Football Argentin (AFA) devra payer une amende de 70 000 francs suisses.
La FIFA a également sanctionné l’Argentine pour le retard au coup d’envoi du match contre l’Équateur en septembre 2023.
La Confédération Brésilienne de Football (CBF) quant à lui, n’a écopé que d’une amende de 50 000 francs suisses.
Les défaillances dans la sécurité avant le match contre l’Argentine au Maracanã en est la cause. Bien que le Brésil ait connu des problèmes, la sanction s’est révélée bien moins sévère que celle infligée à l’Argentine.
L’Uruguay a également été sanctionné. La fédération devra payer une amende de 15 000 francs suisses. Les faits reprochés sont la conduite collective inappropriée et le retard au démarrage du match remporté 2-0 contre le Brésil en octobre 2023.
Les autres sélections sud-américaines ont par ailleurs été sanctionnées par la FIFA. Ils sont accusés d’actes discriminatoires, de retards au coup d’envoi et des intrusions sur le terrain.
Pour rappel, Le prochain match entre l’Argentine et le Chili se jouera au stade Monumental, à Buenos Aires. Les sanctions de la FIFA placent l’Argentine dans une position délicate.
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