Selon le Pentagone aux États-Unis, un vaisseau-mère serait caché dans notre système solaire. Depuis l’annonce, les internautes se déchaînent.
Un document publié par Sean Kirkpatrick, directeur du All-Domain Anomaly Resolution Office (AARO) du Pentagone, et Abraham Loeb, président du département d’astronomie de l’Université de Harvard, devrait faire beaucoup de bruit ces prochains jours.
En effet, le document (non revu par des pairs pour l’instant) indique que l’on pourrait bien avoir sur Terre aujourd’hui des sondes venant d’extraterrestres en train de nous observer.
Le rapport prend pour exemple les PAN qui jusqu’à présent sont au-delà de nos capacités technologiques. Mais ce n’est pas tout, selon les experts, elles défient même les lois de la physique fondamentale.
Par exemple, les PAN que l’on voit frôler l’eau ou se déplacer sur les vidéos de l’armée américaine n’ont pas le comportement attendu des scientifiques.
« Le frottement de l’UAP avec l’air ou l’eau environnants devrait générer une boule de feu optique brillante, une coque d’ionisation et une queue impliquant des signatures radio », expliquent-ils dans le rapport.
« Un objet interstellaire artificiel pourrait potentiellement être un engin parent qui libère de nombreuses petites sondes lors de son passage rapproché vers la Terre, une construction opérationnelle pas trop différente des missions de la NASA », indique le rapport de l’AARO, organisme créé en juillet 2022, une branche du Pentagone chargée de suivre les objets non identifiés dans le ciel, sous l’eau, dans les airs et dans l’espace.
« Ces ‘graines de pissenlit’ pourraient être séparées de l’engin parent par la force gravitationnelle du Soleil ou par une capacité de manœuvre technologique. »