Depuis son accession au pouvoir, le président américain Donald Trump, est déterminé à expulser des États-Unis, des migrants en situation irrégulière sur le territoire américain.
Il faut souligner que lors de sa campagne électorale dans le cadre du scrutin du 05 novembre 2024, Trump s’était engagé à mener la plus grande opération d’expulsion nationale de l’histoire des USA, en cas de retour à la Maison Blanche.
Maintenant qu’il est de retour à la tête de cette grande puissance mondiale, le président républicain a décidé de passer à l’action. À cet effet, le nouveau président américain a procédé au lancement d’un vaste programme d’expulsion, quelques jours après son investiture.
Plusieurs millions de migrants en situation irrégulière aux États-Unis sont concernés par cette initiative de Donald Trump.
Parmi les concernés, figurent plusieurs ressortissants de pays africains.
Au total, 54 pays africains verront leurs ressortissants expulsés des États-Unis sous autorisation du nouveau dirigeant américain.
Selon les données publiées par le service de l’immigration américain, plus de 40 000 ressortissants africains sont concernés par cette mesure.
D’après les chiffres communiqués par l’administration américaine, au niveau africain, les ressortissants somaliens et mauritaniens viennent en tête de liste.
Plus précisément, ce sont au total 4.090 migrants somaliens qui devront être expulsés des États-Unis pour le compte de la première vague du programme.
En deuxième place, viennent les ressortissants mauritaniens avec 3.822 migrants à expulser des États-Unis.
Derrière les Somaliens et les Mauritaniens, viennent : les Ghanéens (3.228), les Guinéens (1.897), les Camerounais (1.736), les Ethiopiens (1.713), les Sénégalais (1.689), les Sierra Léonais (1.563), les Libériens (1.663), les Égyptiens (1.461), les Kenyans (1.282), Les Ivoiriens (1.224).