La Papouasie-Nouvelle-Guinée vient d’étendre la délivrance de visas à l’arrivée aux ressortissants de 16 États et territoires insulaires du Pacifique.
Une aubaine pour les voyageurs micronésiens et polynésiens désireux de découvrir ce pays mélanésien.
Dorénavant, les détenteurs de passeports des Îles Cook, Kiribati, Tonga, Samoa, Tuvalu et autres pays océaniens pourront obtenir leur visa directement à leur arrivée dans les aéroports et postes frontières papous. Plus besoin de solliciter l’autorisation au préalable depuis leur pays d’origine.
Cet élargissement conséquent de la politique de visa à l’arrivée vise à resserrer les liens entre la Papouasie-Nouvelle-Guinée et ses voisins insulaires, mais aussi à dynamiser le tourisme dans toute la région du Pacifique Sud.
Les 16 nouveaux pays éligibles aux visas à l’arrivée
- États fédérés de Micronésie
- Guam
- Îles Cook
- Îles Mariannes du Nord
- Îles Marshall
- Kiribati
- Nauru
- Niue
- Palaos
- Samoa
- Samoa américaines
- Tahiti
- Tokelau
- Tonga
- Tuvalu
- Wallis et Futuna
Ils viennent s’ajouter à quelques privilégiés qui bénéficiaient déjà de cette facilité, comme la Chine, l’Indonésie, les Fidji ou encore le Vanuatu voisin.
Concrètement, pour obtenir leur visa en débarquant en Papouasie-Nouvelle-Guinée, les visiteurs doivent présenter :
- un passeport valide au moins 6 mois après la date d’entrée
- un billet retour ou de continuation
- une carte de débarquement dûment complétée
En échange, ils se voient accorder un visa de 60 jours maximum pour découvrir le pays. De quoi largement profiter des fabuleux paysages de montagnes, rivières et forêts tropicales de ce bout du monde.
À noter que la Papouasie-Nouvelle-Guinée propose aussi un visa électronique (e-visa) à une centaine de nationalités. Plus pratique à obtenir que le traditionnel visa papier, il est valable 30 ou 60 jours pour un coût de 50 dollars américains.
Avec ces largesses en matière de visa, la Papouasie-Nouvelle-Guinée confirme son statut de destination d’hospitalité par excellence dans le Pacifique Sud.
Les petits États insulaires environnants ont désormais tout intérêt à surfer sur cette attractivité retrouvée.
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