Aux États-Unis, un enfant a été exclu de son école parce que sa mère était une célébrité de la plateforme de partage de contenus sensible, OnlyFans.
Originaire de Floride, Sara Blake Cheek est une jeune femme 31 ans, modèle sur OnlyFans. Elle a rapporté gagné pas moins de 480 000 dollars par an grâce à OnlyFans. Elle s’est plainte du fait que son fils de 7 ans ait été exclu par la direction de son établissement après avoir découvert qu’elle était un modèle la plateforme de partage de contenus exclusifs.
Pour la jeune femme, il s’agit tout simplement d’une discrimination. Elle a révélé que bien avant la suspension de son fils, elle a reçu une interdiction de participer à ses événements sportifs, après qu’elle et un enseignant religieux, ce soit quereller à l’un de ces événements. Elle a été obligée d’avoir recours à l’enseignement à domicile pendant un moment avant d’inscrire son fils dans une école publique voisine où le nom de ce dernier figure au tableau d’honneur.
« Mes enfants sont heureux, en bonne santé et bien pris en charge. Ils sont également élevés pour aimer les autres et savent que lorsque quelqu’un les harcèle, c’est le problème de cette personne et non le leur », a-t-elle déclaré.
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À propos de sa présence sur OnlyFans, la jeune femme, clame qu’il s’agit de son travail et que cela devait être vu aussi normalement que les autres travaux. Elle fustige également la décision de l’école de suspendre son fils.
« Enfin, c’est mon travail. J’ai pu développer ma carrière dans plusieurs secteurs. Beaucoup d’amour chez nous. Les adultes qui ont ciblé un enfant atteint de troubles du traitement sensoriel, l’ont manipulé et l’ont fait pleurer méritent toutes les souffrances qu’ils subissent au quotidien », a-t-elle ajouté.
Elle conclura ensuite par les mots ci-dessous :
« Mon fils ne mérite pas d’être discriminé, ma famille non plus. Si vous n’aimez pas ce que je fais, demandez-vous pourquoi cela vous dérange ».
Depuis la divulgation de cette histoire, la jeune femme aurait gagné de nombreux abonnés, rapporte certains médias locaux. À quelques choses, malheurs est bon dit un proverbe.
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