Pasteur Marcello Tunasi sur sa femme Esther : « Le Seigneur m’a poussé à entrer en contact avec elle pendant … »

Pasteur Marcello Tunasi Remariage Esther

Crédit Photo : Gabon Mail Infos

Toujours lors de sa récente sortie, le pasteur Marcello Tunasi est revenu sur les circonstances dans lesquelles il a rencontré Esther, sa nouvelle femme.

Pour l’histoire, en raison des propos qu’il avait tenus quelques années plus tôt, l’homme de Dieu a fait face aux critiques après son remariage. Il avait déclaré qu’avant d’épouser une femme, il faut la connaître pendant plusieurs années.

Et puisque Marcello Tunasi a épousé Esther juste 1 an après le décès de sa femme Blanche, certaines rumeurs ont circulé, l’accusant d’avoir eu une relation extraconjugale. Des accusations auxquelles il a décidé de répondre. Voici ses propos :

« Après le décès de maman Blanche, j’ai traversé l’une des périodes sombres de ma vie. J’étais au bord de la dépression, même de l’AVC et même de la mort.

Mais beaucoup ne s’en sont pas rendu compte, car je faisais l’effort de rester fort pour vous encourager, pour que l’église ne devienne pas un lieu de deuil permanent.

La solitude, les nombreux questionnements, la douleur de mes enfants, l’innocence de mon bébé, le poids du ministère, la gestion de mes affaires, de ma maison et même de moi-même, tout cela pesait terriblement sur mes épaules. Il m’arrivait de sécher mes larmes avant de prêcher et de pleurer dans mon bureau après avoir prêché.

Dans cette épreuve, le fils du pasteur Lumumba me parlait de sa fille Esther. Et je lui répondis que je n’avais ni la force, ni la tête à cela.

J’avais même demandé à Dieu le don du célibat dans l’espoir de ne plus jamais ressentir le besoin de me marier et Dieu ne répondit pas à cette prière.

Je me souviens d’une vision particulièrement marquante. J’étais dans une chambre, encerclé de très longs serpents aux couleurs magnifiques.

Ils faisaient semblant de dormir, attendant que je marche sur l’un d’eux pour m’attaquer. Leur venin était aussi mortel que la beauté de leurs couleurs.

Un seul carré d’un mètre sur un mètre me servait de refuge, la pièce avait une unique fenêtre qui ne s’ouvrait que de l’extérieur. Et je voyais venir une unique servante venir ouvrir la fenêtre afin que je puisse m’échapper. Dans cette agonie intérieure, le Seigneur me poussa à entrer en contact avec Esther…

Ensuite, nous avons commencé à échanger, je lui ouvrais mon cœur, elle m’écoutait, le soutenait, priait avec moi, tout en continuant de remplir fidèlement ses responsabilités au travail et à l’église, même très tard la nuit quand j’avais des insomnies et malgré le décalage horaire de 5 et 6h.

Au fil du temps, une relation sincère est née, une flamme s’est allumée et dans mon cœur, j’ai eu l’assurance que c’était elle. J’en ai parlé autour de moi.

Même mes enfants étaient associés. Ils ont demandé à la rencontrer, ce qui s’est fait dans le timing de Dieu à Bruxelles. Le Seigneur m’avait parlé d’une période d’un an, il ne l’a pas dit qu’à moi, mais à d’autres.

C’est la raison pour laquelle le mariage a été célébré le 23 juillet en Belgique. Un mariage à Kinshasa aurait été trop coûteux.

Je l’aime profondément. Elle n’est pas venue pour effacer la mémoire de maman Blanche, mais pour continuer l’œuvre comme Élysée après Éli, avec humilité et soumission à Dieu.

Priez pour elle, portez là dans vos cœurs comme vous m’avez toujours porté dans les vôtres ».

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