Le torchon brule entre le Real Madrid et la Fédération espagnole de football. Les deux entités se sont éloignées l’une de l’autre.
Une situation à laquelle on ne s’attendait pas, mais qui s’est finalement produite à cause du traitement des arbitres et leur utilisation de l’outil VAR.
Pour Pérez, cette situation est un argument définitif pour qu’il s’éloigne des dirigeants de la Fédération.
À Valdebebas, ils sont très clairs sur le fait qu’ils n’ont pas l’intention d’abandonner, que jusqu’à ce que le système d’arbitrage change, avec un accent particulier sur la VAR, ils n’ont pas l’intention de s’arrêter.
Ils ne l’ont pas caché la semaine dernière et ne veulent pas que Clos Gómez ait la moindre responsabilité dans l’arbitrage. Rappelons qu’il est le directeur de la VAR en Espagne.
Dans la maison blanche, on pense à toute réminiscence du passé, et ils croient que Clos Gómez l’est, joue en leur défaveur.
La Fédération, c’est-à-dire Luis Rubiales et Luis Medina Cantalejo, qui se sont réunis hier à la Ciudad del Fútbol, n’a pas l’intention de faire marche arrière, selon Marca.
Ils sont convaincus que la voie suivie est la bonne et qu’il ne manque que la cerise sur le gâteau de ce qu’ils demandent depuis des mois, à savoir un hors-jeu semi-automatique.
Il est ainsi question de la technologie utilisée lors de la Coupe du monde au Qatar et de la Supercoupe d’Espagne en Arabie qui deviendra la norme dans le football espagnol à partir de la saison prochaine. Mais le Real Madrid n’est pas satisfait de cette nouveauté.