L’UNFPA est l’agence directrice des Nations Unies en charge des questions de santé sexuelle et reproductive. Notre mission est de créer un monde dans lequel chaque grossesse est désirée et chaque accouchement sans danger. Un monde dans lequel chaque jeune réalise pleinement son potentiel.
Description de l’emploi
Bureau de recrutement :
Bureau de pays du FNUAP en Égypte
Objet du conseil :
Le programme « Réponse globale aux violences basées sur le genre faites aux femmes et aux filles (VBGFF) » est un programme conjoint FNUAP-DDC d’une durée de quatre ans, lancé en septembre 2021 et s’achevant en décembre 2025. Il est également financé conjointement par d’autres donateurs soutenant le programme humanitaire. Il s’appuie sur les bonnes pratiques existantes et les initiatives nationales menées par le FNUAP et ses partenaires nationaux pour lutter contre les formes de discrimination et de violence basées sur le genre envers les groupes les plus vulnérables, tels que les réfugiés et les migrants, dans les communautés d’accueil. Adoptant les principes mondiaux des Nations Unies « Ne laisser personne de côté » et une « approche centrée sur les survivantes », ce programme met en avant les besoins spécifiques des femmes et des filles touchées par les violences basées sur le genre (VBG). Il poursuit un double objectif : améliorer la qualité et l’efficacité des services multisectoriels spécialisés en matière de VBGFF dans les secteurs médical, juridique et social ; et investir dans la sensibilisation du public, en particulier des communautés vulnérables, aux services existants et à leur accessibilité. Afin de garantir une approche holistique, l’accent est également mis sur l’engagement des hommes, à la fois en tant que décideurs actifs au sein du ménage et en tant que partenaires dans la lutte contre la violence sexiste au niveau communautaire.
Les interventions menées dans le cadre de ce programme s’appuient sur les initiatives testées et réussies de l’UNFPA dans le domaine de la lutte contre la violence sexiste à l’égard des femmes et des filles, telles que les « Cliniques pour femmes sûres », actuellement adoptées par le Conseil national des femmes et le ministère de la Santé et de la Population comme approche nationale pour améliorer la réponse médicale à la violence à l’égard des femmes ; et le modèle « Espaces sûrs pour les femmes et les filles », qui offre une réponse humanitaire globale qui comprend l’inclusion sociale, des opportunités de subsistance et des services de gestion des cas de violence sexiste et de violence faite aux femmes.
En Égypte, l’UNFPA soutient 13 espaces sécurisés pour les femmes et les filles (WGSS) dans les gouvernorats du Caire, de Gizeh, de Qalyubia, de Sharqeya, d’Alexandrie, de Damiette et d’Assouan. Ces espaces, créés en partenariat avec le ministère de la Jeunesse et des Sports et l’ONG locale « Etijah », constituent des plateformes essentielles pour les femmes et les filles réfugiées, ainsi que leurs familles, qui peuvent ainsi accéder à des services complets de prévention et de lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles, dans un environnement sûr et non stigmatisant. Grâce à la gestion des cas de violences faites aux femmes et aux filles, les WGSS proposent des plans d’action sur mesure pour orienter les survivantes vers des services, notamment une aide financière, un soutien psychosocial collectif et individuel, un soutien en matière de santé reproductive, une réinstallation sécurisée, des conseils juridiques et des formations professionnelles. Dans le cadre de ce processus d’accompagnement, les chargés de dossiers de violences faites aux femmes et aux filles sont formés pour orienter rapidement les survivantes vers des organisations partenaires afin de répondre à leurs différents besoins. De plus, les WGSS servent d’espace d’autonomisation et de guérison en organisant des activités de groupe telles que des thérapies de groupe, des activités sportives, des événements d’engagement communautaire et des séances de sensibilisation. En ce sens, WGSS contribue au bien-être des survivantes en cultivant des réseaux sociaux et de sécurité, ainsi qu’en favorisant un sentiment d’appartenance communautaire grâce à des activités de groupe stimulantes. En 2024, WGSS a bénéficié à près de 15 500 personnes grâce à des services fournis dans le cadre du processus de gestion des cas de violences faites aux femmes et aux filles.
Ce programme s’appuie également sur une réponse interinstitutionnelle coordonnée aux victimes de violences faites aux femmes et aux filles, en collaboration avec le HCR, coprésident du sous-groupe de travail sur les violences faites aux femmes en Égypte. Les interventions menées dans le cadre de ce programme permettent d’élargir le partenariat entre les deux agences grâce à un accord direct entre les Nations Unies visant à intensifier les interventions conjointes d’aide financière aux victimes de violences faites aux femmes et aux filles, dans le cadre des services de gestion des dossiers, de sensibilisation communautaire conjointe et de plaidoyer politique, ainsi qu’à renforcer le rôle du sous-groupe de travail sur les violences faites aux femmes, coprésidé en Égypte par les deux agences.
Enfin, le programme intègre un élément de complémentarité avec le programme « Cliniques pour femmes sûres » mené par l’UNFPA au niveau national, avec 20 cliniques présentes dans des hôpitaux universitaires, mises en œuvre en partenariat avec le Conseil national des femmes, et 28 cliniques établies au sein d’unités de soins de santé primaires, en partenariat avec le ministère de la Santé et de la Population. Le programme humanitaire actuel intègre le renforcement des capacités des prestataires de services médicaux des « Cliniques pour femmes sûres » existantes afin de garantir leur capacité à répondre aux besoins des réfugiées et des femmes touchées par les conflits et de soutenir l’expansion du modèle de « Cliniques pour femmes sûres » dans les gouvernorats cibles identifiés par l’UNFPA. Il intègre activement les cliniques existantes aux parcours d’orientation pour la réponse médicale aux violences faites aux femmes et aux filles en Égypte afin de faciliter l’orientation des cas en fonction des besoins des survivantes.
L’objectif général de ce programme est de maintenir, de renforcer et d’étendre les services de prévention, de protection et de réponse aux violences faites aux femmes et aux filles (VFF) les plus vulnérables, issues des communautés réfugiées, migrantes et demandeuses d’asile, ainsi que des communautés d’accueil. Le programme vise trois résultats escomptés :
Résultat 1 : Les services de prévention, de protection et de soutien complets fournis aux femmes et aux filles victimes de VFF par le biais des espaces sécurisés gérés par l’UNFPA sont renforcés et davantage ouverts à la participation des hommes.
Résultat 2 : Un système complet de protection médicale et d’orientation est en place et opérationnel pour les femmes et les filles victimes de violence, conformément aux directives internationales sur le paquet de services essentiels.
Résultat 3 : Les capacités institutionnelles sont renforcées pour offrir une réponse multisectorielle et coordonnée aux femmes et aux filles victimes de violences basées sur le genre.
À la lumière de la finalisation du projet en décembre 2025, l’UNFPA cherche à mener une recherche finale par l’intermédiaire d’un consultant externe sous la supervision directe de l’UNFPA et en étroite coordination avec les parties prenantes nationales, via un échantillon de bénéficiaires des espaces sûrs représentant les bénéficiaires ciblés.
L’étude finale visera à produire des données probantes de qualité sur l’impact du projet sur les services de lutte contre les VBG dispensés aux femmes et aux filles issues de communautés vulnérables, notamment les réfugiées, les demandeuses d’asile et les communautés d’accueil, par l’UNFPA et ses partenaires des espaces sûrs et des cliniques pour femmes. S’appuyant sur l’étude de référence menée au cours de la première année du projet en 2022, cette recherche consiste en une analyse visant à identifier l’état des services de lutte contre les VBG fournis ; elle vise à évaluer l’impact global du projet en comparant les données finales sur les principaux résultats à celles de référence. Cette évaluation visera à analyser l’impact du projet sur la qualité des services et la manière dont l’élargissement de la portée des services et de la couverture géographique tout au long de la mise en œuvre répond aux besoins des bénéficiaires ciblés. Enfin, l’étude permettra d’identifier les réussites et les défis importants, ainsi que de synthétiser les enseignements tirés afin de formuler des recommandations fondées sur des données probantes pour améliorer les programmes futurs.
En conséquence, le bureau de pays du FNUAP en Égypte recrutera un consultant pour mener l’étude finale du projet.
Étendue des travaux :
(Description des services, des activités ou des résultats)
Objectif de l’étude finale
- Évaluer l’impact global du projet sur sa durée de quatre ans en mesurant les changements et les améliorations des principaux résultats et indicateurs pour la population cible, comparés directement aux données de base collectées au début du projet.
- Évaluer l’impact global sur la qualité et l’accessibilité des services de lutte contre la VBG pendant la durée du projet ; évaluer si l’élargissement de la portée des services, la couverture géographique tout au long de la mise en œuvre répondent aux besoins des bénéficiaires ciblés,
- Identifier et documenter les succès significatifs, les réalisations et les pratiques efficaces mises en œuvre pendant la durée du projet, ainsi que synthétiser les leçons apprises en analysant à la fois ses succès et ses défis
- Fournir des recommandations claires, fondées sur des preuves et réalisables pour améliorer la conception, la mise en œuvre et la mise à l’échelle potentielle des interventions dans les programmes futurs.
Méthodologie de l’étude finale
Afin d’évaluer efficacement l’impact du projet, le consultant utilisera la méthodologie et les données de l’étude de base, intégrant la collecte et l’analyse de données quantitatives et qualitatives. Le consultant est censé utiliser la méthodologie et les outils développés pour l’étude de base afin d’assurer la comparaison et la cohérence des données. Les méthodologies utilisées sont les suivantes :
- Étude documentaire sur la situation de la VBG dans le contexte humanitaire et de développement
- Étude documentaire sur le rapport de base du projet et les documents de projet connexes (AWP, rapports annuels et autres produits de connaissance)
- Entretiens semi-structurés avec des informateurs clés (KII), consultations des parties prenantes et autres méthodes participatives avec le personnel du projet, les bénéficiaires et les prestataires de services directs et indirects des espaces sûrs.
- KII avec le personnel du projet Safe Women Clinics pour explorer sa portée auprès des bénéficiaires ciblés.
- Enquêtes en ligne pour les bénéficiaires des espaces sûrs.
- Enquête en ligne pour les prestataires de services directs des espaces sûrs.
- Enquête en ligne auprès des promoteurs masculins accédant aux espaces sûrs.
- Discussions de groupe focalisées (FGD) avec les prestataires de services directs et indirects pour les espaces sûrs.
Le consultant embauché devra effectuer une analyse des données conformément aux méthodes de recherche utilisées dans l’étude de base, y compris une analyse statistique descriptive des données d’enquête et une analyse du contenu et des thèmes des données qualitatives issues des entretiens, des FGD et des documents de projet.
Échantillonnage
Afin que l’étude soit représentative, et compte tenu de l’objectif principal d’évaluer l’état des services de lutte contre la VBG, l’UNFPA recommande que l’enquête en ligne destinée aux bénéficiaires des espaces sûrs cible un minimum de 375 répondants.
En ce qui concerne les autres groupes cibles, l’UNFPA attend du consultant qu’il propose une taille d’échantillon pour chacun, en tenant compte des chiffres moyens suivants par an :
- 2 600 hommes et garçons touchés par les efforts de sensibilisation dans les espaces sûrs
- Plus de 60 prestataires de services directs et indirects travaillant dans les espaces sûrs.
Couverture géographique
L’étude devrait couvrir l’ensemble de la portée géographique du projet (Alexandrie, Assouan, Le Caire, Gizeh, Sharqeya, Qalyubia et Damiette). Français Bien que l’étude couvrira la totalité des gouvernorats par le biais d’une revue documentaire et d’une collecte de données en ligne, le consultant est censé mener des groupes de discussion en personne et des entretiens avec des informateurs clés auprès des WGSS à Assouan, Alexandrie et un WGSS à sélectionner dans le Grand Caire (Le Caire, Gizeh, Qalyubia ou Sharkiya).
Indicateurs de résultats pour l’étude finale
1. % de bénéficiaires déclarant que les services de prévention, de protection et de soutien complet sont fournis de manière sûre, accessible et responsable
2. % de cas de VBG recevant un soutien adéquat répondant à leurs besoins
3. % de survivantes de VBG issues des bénéficiaires des Espaces Sûrs qui ont signalé une amélioration de leur bien-être
4. % de promoteurs communautaires masculins qui ont assisté aux activités et qui ont signalé des changements dans leur perception de la VBG.
Rôles et responsabilités
- Conception de la recherche, méthodologie, planification et procédures de contrôle de la qualité ;
- Élaboration de termes de référence spécifiques, y compris les exigences budgétaires/coûteuses du processus et la manière dont elles seront respectées ; ainsi que le calendrier élaboré et les dates clés fixées ;
- Exploitation des produits de connaissances internes et externes existants, des interventions innovantes, des études de cas et des processus et événements en cours,
- Examen documentaire et analyse des rapports d’études/d’enquêtes, des rapports AWP, d’autres rapports de suivi et des évaluations terminées,
- Examen approfondi du rapport de référence, y compris l’utilisation des données de référence dans l’élaboration du rapport final final ;
- Examen des informations existantes et des outils de collecte de données de référence (questionnaires existants et guides d’entretien), préparation des grandes lignes, y compris les objectifs de l’étude, les questions de recherche et le développement de méthodologies d’échantillonnage ;
- Finalisation du plan de travail et des listes de contrôle
- Organisation de réunions en interne avec le personnel technique,
- Organisation de réunions avec les IP (Etijah, et le ministère de la Jeunesse et des Sports pour les espaces sûrs et le Conseil national des femmes et le MOHP pour les cliniques pour femmes sûres),
- Consultation des principales parties prenantes,
- Visite des sites de projet des IP, le cas échéant,
- Recrutement et/ou formation du personnel de terrain aux techniques d’évaluation participative et aux méthodes/sujets pertinents pour l’enquête de base
- Le consultant guidera et fournira le soutien technique nécessaire aux équipes de terrain pour la réalisation d’entretiens et la collecte d’informations auprès des différentes parties prenantes.
- Conduite de séances d’information et de débriefing sur les phases de la mission terminée,
- Préparation du rapport d’étude final. Le rapport doit fournir une documentation sur l’impact du projet, les réalisations, les leçons apprises et les recommandations d’actions prioritaires pour assurer une gestion continue du CPD axée sur les résultats, basée sur une analyse de la qualité et une comparaison de base ;
- Animation de réunions, de discussion et de validation, pour présenter les principales conclusions de l’étude et les recommandations pour le projet.
- Le consultant restera responsable de l’ensemble de l’étude en maintenant les normes et la qualité les plus élevées et en produisant les rapports d’enquête finaux.
Résultats et livrables attendus
1. Rapport détaillé et professionnel qui aborde à la fois les objectifs généraux et spécifiques de l’étude, et qui comprend des recommandations spécifiques sur les questions liées aux services de lutte contre la VBG. Le rapport doit être en anglais, abordant de manière claire et concise les informations décrites ci-dessus. La documentation et les étapes nécessaires à ce livrable comprendront les éléments suivants :
- Plan de travail et rapport initial (avec les paramètres et indicateurs clés à prendre en compte pour l’enquête finale, y compris les méthodologies de collecte et de diffusion des données).
- Collecte de données basée sur les indicateurs de résultats du programme et la méthodologie de base.
- Présentation des résultats de l’étude et préparation d’un projet de rapport pour examen par les parties prenantes – identifiant clairement les informations pertinentes pour les indicateurs de résultats et les objectifs de l’étude ; ainsi que les lacunes dans les données et les domaines qui peuvent nécessiter une évaluation plus approfondie
- Finalisation du projet de rapport avec les contributions de toutes les parties prenantes, y compris l’UNFPA et la DDC.
- Organisation d’une présentation à la DDC et à l’UNFPA avec les conclusions.
2. Le rapport comprendra :
- Un rapport final complet et bien organisé, avec des formats de rapport standard.
- Un rapport abrégé synthétisant les principaux résultats et indicateurs de l’enquête (ne dépassant pas 7 à 10 pages).
- Des études de cas avec des témoignages de bénéficiaires de services de lutte contre la VBG.
- Un ensemble de recommandations sur l’amélioration de la qualité des services et de l’impact du projet répondant aux besoins de groupes de parties prenantes spécifiques, en particulier dans le contexte humanitaire.
Conditions générales
Tous les rapports et documents préparés pendant la mission seront considérés comme la propriété du bureau de pays de l’UNFPA Égypte. Par conséquent, tout ou partie des rapports/documents ne peut être vendu, utilisé et/ou reproduit de quelque manière que ce soit sans l’autorisation écrite préalable du bureau de pays de l’UNFPA Égypte. Si le consultant a besoin de plus de temps pour exécuter le contrat, au-delà du délai convenu, sans que le bureau de pays de l’UNFPA Égypte ne modifie le périmètre des travaux, l’autorisation écrite préalable du bureau de pays de l’UNFPA sera nécessaire.
Une fois la mission terminée et les livrables/produits finaux soumis, le projet/l’unité concerné(e) sur la base desquels le paiement final sera effectué procédera à une évaluation. Le consultant soumettra le projet de présentation avant la séance de compte rendu afin de recueillir les contributions du responsable de projet concerné.
Durée et planning :
58 jours ouvrables sur 13 semaines (hors jours fériés officiels de l’ONU)
Date de début : 1er août 2025
Date de fin : 23 octobre 2025
Lieu où les services doivent être fournis :
- Examen des documents et rédaction du rapport : à domicile.
● Bureau de pays de l’UNFPA Égypte pour les réunions internes.
● Bureaux des IP/parties prenantes pour les réunions externes.
● Sites de projet des IP dans les gouvernorats sélectionnés, le cas échéant.
Dates de livraison et mode de livraison du travail (par exemple, électronique, papier, etc.) :
Tous les travaux seront livrés sous forme électronique en anglais.
Suivi et contrôle des progrès, y compris les exigences de rapport, le format de périodicité et le délai :
- Phase de conception : TdR, rapport initial et plan de travail.
- Rapport d’examen documentaire.
- Phase sur le terrain : Notes d’information et de débriefing sur l’avancement de la mise en œuvre.
- Rapport préliminaire.
- Rapport final et présentation.
- Réunion de fin de mission.
Calendrier de paiement
25 % à la soumission du plan de recherche et de l’examen documentaire – (3 semaines après le début du contrat)
25 % à l’achèvement de la formation des collecteurs de données, à la conduite de discussions de groupe et d’entretiens approfondis avec les bénéficiaires et les prestataires de services pré-approuvés (6 semaines après la signature du contrat)
25 % à la soumission du projet de rapport initial (8 semaines après la signature)
25 % à la soumission du rapport final, à sa présentation à l’UNFPA et aux parties prenantes et à la soumission de tous les rapports de terrain (11 semaines après la signature).
Dispositions de surveillance :
Sous la direction générale du spécialiste du programme de genre et la supervision directe de l’analyste humanitaire du bureau de pays du FNUAP en Égypte.
Voyage prévu :
Oui. Trois visites de terrain sont prévues à Assouan, Alexandrie et le Grand Caire. Ces visites porteront sur la collecte de données sur place dans trois espaces sécurisés, sélectionnés en accord avec le FNUAP.
Expertise, qualifications et compétences requises, y compris les exigences linguistiques :
Éducation :
Diplôme universitaire supérieur en genre, humanitaire, santé, S&E, développement international et/ou autres domaines connexes des sciences sociales.
Connaissances et expérience :
- Le consultant doit avoir prouvé au moins cinq ans d’expérience dans la conduite d’évaluations et d’examens de programmes de genre et de développement,
- Une expérience reconnue en matière de suivi et d’évaluation, y compris une connaissance des techniques de gestion axée sur les résultats, dans le contexte de la violence sexiste et du soutien humanitaire,
- De solides compétences en recherche qualitative et quantitative et une capacité avérée à analyser les résultats,
- Une expérience sur le terrain est un atout,
- Une connaissance des programmes de développement et des procédures de travail des Nations Unies, en particulier ceux du FNUAP et
- De solides compétences en matière de présentation, de communication et de rédaction en anglais et en arabe sont requises.
Les candidats doivent soumettre au moins 2 échantillons de travaux ou d’études d’évaluation pertinents.
Langues :
La maîtrise de l’anglais et de l’arabe est essentielle.
Compétences requises :
Valeurs :
- Exemplifiant l’intégrité,
- Démontrant son engagement envers l’UNFPA et le système des Nations Unies,
- Embrasser la diversité culturelle,
- Accepter le changement.
Compétences de base :
- Obtenir des résultats,
- Être responsable,
- Développer et appliquer une expertise professionnelle/un sens des affaires,
- Penser de manière analytique et stratégique,
- Travailler en équipe/se gérer soi-même et ses relations.