La raison d’être d’ALIMA est de sauver des vies et de soigner les populations les plus vulnérables, sans aucune discrimination identitaire, religieuse ou politique, à travers des actions basées sur la proximité, l’innovation et l’alliance d’organisations et d’individus. Nous agissons avec humanisme, impartialité et dans le respect de l’éthique médicale universelle. Pour accéder aux patients et aux patientes, nous nous engageons à intervenir de façon neutre et indépendante. ALIMA recrute pour ces 2 postes :
RESPONSABLE D’ACTIVITE SEXUELLE ET REPRODUCTIVE (SSR) Projet Dakoro / Niger
LES VALEURS et PRINCIPES de notre action, inscrits au sein de notre CHARTE :
- Le patient et la patiente d’abord
- Révolutionner la médecine humanitaire
- Responsabilité et liberté
- Améliorer la qualité de nos actions
- Faire confiance
- L’intelligence collective
- La responsabilité environnementale.
ALIMA promeut et défend les principes des droits humains fondamentaux. ALIMA a une approche de tolérance zéro envers les personnes coupables d’actes de violences sexistes et sexuelles ainsi qu’envers l’inaction face à des faits de violence supposés ou avérés. La protection des personnes bénéficiant et impactées par notre intervention est notre priorité absolue dans tout ce que nous faisons. Toute personne collaborant avec ALIMA s’engage à :
- Respecter la charte, le code de conduite, les politiques institutionnelles incluant la politique de protection contre les abus de pouvoir et les violences sexistes et sexuelles, la politique de prévention de la corruption et de la fraude ;
- Signaler toute violation aux politiques, documents cadre et procédure à une supérieure, un supérieur, une référente ou à un référent.
SOIGNER – INNOVER – ENSEMBLE : Depuis sa création en 2009, ALIMA a soigné plus de 13 millions de patients dans 15 pays, et déploie aujourd’hui ses opérations dans 12 pays d’Afrique et Haïti. En 2022, nous avons développé 62 projets de réponse médicale humanitaire pour répondre aux besoins de populations touchées par les conflits, les épidémies et l’extrême pauvreté. L’ensemble de ces projets se font en appui aux autorités sanitaires nationales à travers près de 511 structures de santé. Nous travaillons en partenariat, notamment avec des ONG locales, dès que cela est possible afin de nous assurer que nos patients bénéficient de l’expertise, que ce soit au niveau de leur pays ou du reste du monde. Par ailleurs, pour améliorer la réponse humanitaire, nous menons des projets de recherches opérationnelles et cliniques, notamment pour lutter contre la malnutrition et les fièvres hémorragiques virales.
L’ÉQUIPE ALIMA : Plus de 2000 personnes œuvrent actuellement pour ALIMA. Les équipes terrain, au plus proche des patients, reçoivent leur support des équipes de coordination, généralement basées en capitale des pays d’intervention. Celles-ci reçoivent le support des 4 équipes desk et de l’équipe du service urgences et ouvertures basées au siège opérationnel de Dakar, Sénégal. Les équipes de Paris et New-York travaillent activement à la collecte de fonds ainsi qu’à la représentation d’ALIMA. Le reste de la Galaxie ALIMA comprend des individus et des équipes partenaires qui travaillent pour le compte d’autres organisations telles que les ONGs médicales BEFEN, ALERTE Santé, SOS Médecins / KEOOGO, AMCP, les organismes de recherche PACCI, INSERM, les Universités de Bordeaux ou de Copenhague, l’ONG Solidarités International et bien d’autres.
NOS THÉMATIQUES PROJET : Malnutrition, Santé sexuelle et reproductive incluant les violences basées sur le genre, Santé Primaire et secondaire, Pédiatrie, Paludisme, Épidémies (Fièvres hémorragiques, méningite, Choléra, Rougeole, Dengue, Covid-19).
NOS PAYS D’INTERVENTIONS : Mali, Burkina Faso, République Centrafricaine, Nigeria, Niger, Tchad, République Démocratique du Congo, Cameroun, Soudan, Mauritanie, Haïti, Éthiopie.
CONTEXTE MISSION NIGER
L’historique des programmes ALIMA au NIGER
ALIMA intervient au Niger depuis juillet 2009, en collaboration avec l’ONG médicale nigérienne BEFEN (Bien-Être de la Femme et de l’Enfant au Niger). En quelques années, BEFEN est devenu un acteur majeur parmi les ONG médicales nationales et internationales au Niger.
Ensemble, ALIMA/BEFEN gèrent :
Un programme de prise en charge de la malnutrition et du paludisme dans le district de Mirriah (800 000 habitants) – dans la région de Zinder à l’est du Niger et dans le district de Dakoro (660 000 habitants) dans la partie nord de la région de Maradi.
Un programme RRM dans les districts de Tchintabaraden, Tassara et Tillia, région de Tahoua, dans la partie nord du pays.
Un programme d’accès aux soins et prise en charge médico-nutritionnelle des populations affectées par le conflit au Sahel dans les districts d’Ayérou, d’Abala (région de Tillaberi) et Guidan Roumdji (Région de Maradi).
ALIMA/BEFEN interviennent dans le district de Mirriah depuis 2009 et dans le district de Dakoro depuis 2012. L’objectif du programme est de réduire la mortalité infanto-juvénile dans les 2 districts sanitaires à forte prévalence de malnutrition aigüe sévère (MAS) et de paludisme. Il consiste donc à renforcer l’accès à la prise en charge de la MAS et aux soins de santé préventifs et curatifs pour les enfants de moins de 5 ans et les femmes enceintes et allaitantes. ALIMA/BEFEN s’inscrivent dans une logique de désengagement progressif des Centres de Récupération Nutritionnelle Ambulatoire pour Sévères (CRENAS) en fonction de leurs ressources et capacités afin que les activités soient reprises par les autorités sanitaires.
En 2017, ALIMA/BEFEN appuient 12 CRENAS à Dakoro pour la prise en charge de la MAS, ainsi que l’hôpital de district pour les cas de MAS avec complications et le service de pédiatrie. Au Nord du district, une clinique mobile permet d’assurer les soins de santé maternelle et primaire dans les zones de désert sanitaire peuplées essentiellement de populations nomades.
L’approche PB-mère a été développée au Niger par les équipes d’ALIMA. Entre mars 2013 et avril 2014, une étude financée par l’UNICEF a été menée sur deux aires de santé du district de Mirriah. Elle visait à déterminer la faisabilité du dépistage de la MAS par les mères en mesurant le périmètre brachial de leurs enfants et ainsi à les dépister plus tôt. Les résultats ont été très positifs avec un dépistage plus efficace et moins coûteux par les mères que par les relais communautaires. En 2015, l’approche PB-mères a été étendue aux 8 aires de santé du projet « 1000 jours », permettant de former près de 30 000 mères/gardiennes d’enfants et volontaires. En outre, chaque femme accompagnant un enfant admis au Centre de Récupération et d’éducation Nutritionnelle Intensif avec complication (CRENI) ou en pédiatrie, à Mirriah et à Dakoro, a été formée au dépistage à l’aide du ruban PB.
Un projet de recherche «1 000 jours » était mis en œuvre dans 8 aires de santé du district de Mirriah. Il vise à mettre en œuvre un paquet complet de soins préventifs à haut impact (CPS, PEV, supplémentation nutritionnelle, etc.) et curatifs lors des 1000 premiers jours de l’enfant, soit depuis sa conception jusqu’à ses 2 ans. Le suivi médical du couple mère/enfant est ainsi assuré au cours de la période où l’enfant est le plus vulnérable à la malnutrition et aux pathologies courantes. Menée en partenariat avec l’INSERM de Bordeaux pour la composante recherche, l’étude doit démontrer la faisabilité d’un tel mode opératoire dans un contexte de crise nutritionnelle chronique et de ressources limitées, l’acceptabilité par les usagers et les effets bénéfiques pour la santé de l’enfant.
Le projet dit « Santé Nomade » a démarré en octobre 2015 par l’ouverture d’une base ALIMA dans le district de Tchintabaraden. Il vise à améliorer l’accès aux soins de santé primaires et secondaires pour les populations nomades et géographiquement dispersées dans le district de Tchintabaraden, région de Tahoua. Les activités médicales ont débuté en mars 2016 et s’articulent autour de trois axes : la santé de la reproduction, la prise en charge intégrée communautaire et clinique des maladies de l’enfant, et la chirurgie foraine (générale et ophtalmique). Le projet vise à tenir compte des spécificités des populations nomades et géographiquement dispersées, en mettant en place des cliniques mobiles ou des consultations téléphoniques grâce aux relais communautaires. Un fort accent sur les stratégies communautaires est ainsi mis en place.
C’est dans le cadre de ce projet qu’ALIMA a identifié en septembre 2016 les premiers cas de l’épidémie de la Fièvre de la Vallée du Rift. Le cœur de l’épidémie se situait dans le département de Tchintabaraden, dans la région de la Tahoua. ALIMA est intervenue dès l’apparition des premiers malades en ouvrant un centre de traitement gratuit au sein de l’hôpital de Tchintabaraden. ALIMA a également organisé les références depuis les structures périphériques, assuré la formation du personnel médical et paramédical, et doté les cases de santé de kits de stabilisation. ALIMA a pris en charge 346 cas sur les 399 cas déclarés dans le pays de Fièvre de la Vallée du Rift et a sensibilisé 57 760 personnes sur les modes de transmission de la maladie, ses symptômes et les moyens de protection.
Ces actions ont permis d’endiguer l’épidémie de Fièvre de la Vallée du Rift dont la fin a été officiellement déclarée le 14 février 2017.
En 2019, dans l’ensemble du pays, 2,3 millions de personnes ont besoin d’une aide humanitaire et la plupart d’entre elles se trouvent dans la zone des trois frontières (régions situées à la jonction du Mali, du Niger et du Burkina Faso), en particulier dans la région de Tillabéri (408 600 personnes) et la région de Tahoua (308 425 personnes) – dont 182 114 à Tillabéri et 216 349 à Tahoua en besoin d’assistance sanitaire urgente. C’est dans ce contexte qu’ALIMA a décidé d’opérer en mettant en place les équipes de Cliniques Mobiles afin de venir en aide à toute cette population.
A Maradi, depuis le mois de mai 2019, dans le nord-ouest du Nigéria, plus précisément dans les Etats de Sokoto, l’insécurité due à la présence de groupes armés non étatiques, s’en prenant aux biens et aux civils, a provoqué des mouvements de populations en direction du Niger. De multiples incidents ont été perpétrés (meurtres, kidnappings contre rançon, viols, pillages, extorsions des biens etc.) à l’encontre des populations d’une quarantaine de villages poussant ainsi 60 000 Nigérians à se réfugier dans les départements de Guidam Roumdji et Madarounfa (DS Maradi) entre Mai et juillet 2019. ALIMA, fidèle à ses engagements, est intervenue avec une grande expertise et en urgence pour apporter de l’aide médicale aux déplacés et réfugiés dans les aires de santé de Guidam Roumdji, Souloulou, Tiadi et Dan Kano.
Au Niger, les projets ALIMA/BEFEN sont financés par ECHO, BHA, AFD, GATES, ELRAH, UNICEF, Food For Peace, GIVEWELL, UNITAID.
LIEU DE MISSION : Bureau ALIMA de Dakoro avec déplacements extensifs (≥80% du temps) dans les districts de Dakoro, Aguié et Bermo.
PROTECTION DES BÉNÉFICIAIRES ET DES MEMBRES DE LA COMMUNAUTÉ
Niveau 3 : Dans le cadre de ses fonctions, le ou la titulaire du poste sera amené·e à visiter les programmes et être en contact avec des enfants ou/et des adultes vulnérables. Par conséquent, la vérification du casier judiciaire ou la présentation d’un certificat de bonne vie et mœurs sera nécessaire. Dans les situations où l’impossibilité de fournir un casier judiciaire ou un certificat de bonne vie et mœurs est constatée, une déclaration sur l’honneur sera demandée.
LIENS FONCTIONNELS ET HIÉRARCHIQUES
Il/Elle rapporte au Coordonnateur du Projet ou au Référent Médical du Projet.
Son référent technique est le Coordonnateur Médical ou le Référent Médical Desk.
Il/elle collabore et a une liaison fonctionnelle avec les points focaux de District, l’équipe de coordination, le chargé MEAL, les autres personnels d’ALIMA, le Ministère de la santé, les ONG locales et internationales et la communauté locale.
MISSION ET ACTIVITÉS PRINCIPALES
Garantir l’excellence technique opérationnelle des activités de prévention en santé maternelle dans les districts sanitaires d’intervention et assurer le suivi-évaluation des indicateurs clés de performance du projet, avec un focus particulier sur la gestion des kits et la qualité des données.
- SUIVI-ÉVALUATION OPÉRATIONNEL ET GESTION DES DONNÉES DE SANTÉ MATERNELLE
- Mise en place et suivi en collaboration avec le chargé MEAL et le Responsable Meal du système de collecte des données sanitaires spécifiques aux kits MMS et misoprostol/azithromycine
- Supervision quotidienne de la qualité, exhaustivité et actualisation des registres de consultation prénatale et des fiches de distribution ;
- Vérification appropriée de la concordance entre les données reportées et les stocks physiques de kits;
- Analyser hebdomadaire des indicateurs de performance (taux de distribution, taux d’utilisation, ruptures de stock);
- Identifier des gaps de reporting et mise en place de mesures correctives immédiates ;
- Utiliser de Dashboard opérationnels pour le management hebdomadaire du projet
- GESTION TECHNIQUE ET LOGISTIQUE DES KITS
- Supervision directe de la chaîne d’approvisionnement des kits grossesse et accouchement au niveau des CSI (Centre de santé intégré) /CS (Cases de santé)
- Suivi rigoureux de la mise à jour des outils de gestion des stocks (fiches de stock, fiches de consommation) en collaboration avec le gestionnaire de stock des districts et des agents des CSI/CS;
- Suivi de la conduite d’inventaires physiques mensuels dans tous les CSI avec rapports d’écarts ;
- Mentoring des gestionnaires de stocks sur les procédures de gestion des kits;
- Alerter précoces sur les risques de rupture de stock et proposition de solutions ;
- Valider techniquement de la qualité des kits et signalement des anomalies.
- CONTRÔLE QUALITÉ DES ACTIVITÉS PRÉVENTIVES
- Évaluer régulièrement la qualité des sensibilisations mises en oeuvre par les Rcom/Matrones, ASC et Promoteurs de santé à l’égard des bénéficiaires.
- Vérifier systématiquement la compréhension des messages par les femmes (techniques d’entretien).
- Observer directement les techniques de distribution et d’explication de l’utilisation des kits.
- Documenter les meilleures pratiques et des écarts observés.
- En collaboration avec le chargé de communication des districts, évaluer la qualité de la sensibilisation afin de renforcer ou de changer de stratégie.
- APPUI TECHNIQUE ET RENFORCEMENT DES CAPACITÉS
Former en continue du personnel soignant sur :
- Techniques de conseil pour l’utilisation des kits.
- Procédures de gestion des stocks.
- Remplissage correct des outils de reporting.
- Mentoring individualisé des sages-femmes et infirmiers des CSI.
- Organisation de supervisions formatives continues à l’endroit du personnel en difficulté.
- Assurer en collaboration avec les points focaux SR des districts de supervisions afin de déterminer les besoins de renforcement des capacités.
- SUIVI DE LA CHAÎNE DE RÉFÉRENCEMENT ENTRE LA COMMUNAUTÉ ET LES STRUCTURES SANITAIRES
- Monitoring du système de référence entre communauté et CSI.
- Analyser des causes de non-recours au suivi prénatal.
- Proposer les améliorations continues du système de référence de la communauté vers les structures sanitaires si besoin en collaboration avec les agents des CSI.
- RAPPORTAGE ET CAPITALISATION
- Rédiger des rapports techniques mensuels sur l’état d’avancement des activités.
- Faire la documentation détaillée des défis opérationnels et des solutions innovantes.
- Capitaliser les leçons apprises et les meilleures pratiques.
- Contribuer activement aux supervisions conjointes et réunions de suivi-évaluation du projet.
À la demande de sa hiérarchie, il peut être amené à effectuer des tâches non répertoriées dans ce profil d’emploi.
Cette description de poste peut être modifiée en fonction des activités ou de l’évolution de la Mission.
EXPERIENCES ET COMPETENCES
EXPERIENCES
– Expérience préalable à un poste équivalent en ONG Internationale.
– Sage-femme diplômée d’État avec spécialisation en santé publique, épidémiologie ou santé communautaire.
– Une qualification médicale ou paramédicale ou une expérience en gestion de projets médicaux et santé de la reproduction est un atout.
– Expérience avérée en suivi-évaluation opérationnel et gestion de données.
– Minimum 5 ans d’expérience en projets de santé maternelle.
– Expérience en formation et mentoring du personnel.
– Avoir de bonnes capacités dans la gestion des équipes et des plusieurs maternités.
– Connaissance approfondie du système de santé nigérien.
COMPÉTENCES
– Familier avec la collecte et l’analyse des données d’activités médicales et de sensibilisation.
– Maîtrise exceptionnelle des outils de collecte et d’analyse des données.
– Capacité d’analyse de contexte, compréhension des enjeux médicaux santé sexuelle de la reproduction et humanitaires.
– Animation et motivation d’équipes (rigueur et ponctualité).
– Excellente connaissance de la gestion logistique des produits de santé.
– Esprit orienté vers la résolution de problèmes.
– Organisation des rôles et délégation de tâches au sein d’une équipe.
– Connaissance du protocole national de la santé de reproduction.
– Établissement de réseaux de contacts et capacité à maintenir une posture neutre face à des acteurs opposés dans le cadre d’un même conflit armé.
– Autonomie et sens de l’initiative.
– Capacité à développer et implémenter des outils de monitoring.
– Capacité de prise d’initiative et de décision.
– Bonne gestion du stress.
– Flexibilité.
Compétences Personnelles
– Capacité d’analyse et de synthèse développée.
– Excellentes capacités relationnelles et de communication.
– Résistance au stress et capacité à travailler sous pression.
– Capacité de déplacement sur le terrain (Mobilité terrain importante).
LANGUES
– La maîtrise orale et écrite du français est indispensable.
– L’anglais est un atout.
– La maîtrise d’une langue locale est un atout ; Zarma et Haoussa (fortement souhaité).
CONDITIONS
CONDITIONS PARTICULIÈRES
– Travail dans des conditions parfois difficiles (zones rurales isolées)
– Implication dans la résolution de problèmes complexes
– Responsabilité importante dans l’atteinte des indicateurs clés du projet
– Rémunération selon grille salariale ALIMA-BEFEN
Prise de poste : Dès que possible
Durée et type de contrat : CDD de droit français de 12 mois renouvelables selon le financement.
ALIMA prend en charge :
- Les frais de déplacements entre le pays d’origine de l’expatrié et le lieu de mission
- Les frais d’hébergement
- La couverture médicale du premier jour de contrat à un mois après la date de départ du pays de
- Mission pour l’employé et ses ayants droits
- L’évacuation pour l’employé et ses ayants droits.
DOCUMENTS A ENVOYER
Pour postuler, veuillez envoyer votre CV et Lettre de Motivation en ligne.
Les candidatures sont traitées suivant l’ordre d’arrivée. ALIMA se réserve le droit de fermer l’offre avant le terme initialement indiqué si une candidature est retenue.
Seules les candidatures complètes (CV en format PDF + Lettre de Motivation) seront étudiées.
Les candidatures féminines sont fortement encouragées.