ONU Volontaires recrute pour ces 02 postes (20 Mars 2023)

ONU Volontaires recrute pour ces 02 postes (20 Mars 2023)

Informations sur l'emploi

Titre du Poste : 02 postes

Description de l'emploi

Le programme des Volontaires des Nations Unies est une agence de l’Organisation des Nations unies qui déploie des volontaires VNU pour soutenir directement sur le terrain d’autres organismes de l’ONU.

Poste 1 : Agent de protection associé (communautaire)

Détails

Mission et objectifs

Le Bureau du HCR a été créé le 14 décembre 1950 par l’Assemblée générale des Nations Unies. L’agence a pour mandat de diriger et de coordonner l’action internationale visant à protéger les réfugiés et à résoudre les problèmes de réfugiés dans le monde entier. Son objectif premier est de protéger les droits et le bien-être des réfugiés. Elle s’efforce de faire en sorte que chacun puisse exercer son droit de demander l’asile et de trouver refuge dans un autre État, avec la possibilité de rentrer volontairement chez lui, de s’intégrer localement ou de se réinstaller dans un pays tiers (www.unhcr.org).

Contexte

Le Bureau du HCR a été créé le 14 décembre 1950 par l’Assemblée générale des Nations Unies. L’agence a pour mandat de diriger et de coordonner l’action internationale visant à protéger les réfugiés et à résoudre les problèmes de réfugiés dans le monde entier. Son objectif premier est de protéger les droits et le bien-être des réfugiés. Elle s’efforce de faire en sorte que chacun puisse exercer son droit de demander l’asile et de trouver refuge dans un autre État, avec la possibilité de rentrer volontairement chez lui, de s’intégrer localement ou de se réinstaller dans un pays tiers (www.unhcr.org). Le contexte opérationnel actuel dans la zone couverte par l’antenne du HCR à Gao peut être résumé en trois aspects, à savoir la zone de retour, la zone d’asile et la zone de transit. La région de Gao a d’abord été perçue comme une zone de retour pour les déplacés internes et les réfugiés maliens en relation avec la crise de 2012. En raison de la présence de groupes armés dans le nord du Mali, il y a eu des déplacements massifs de populations tant à l’intérieur du pays que vers les pays voisins. Au 31 janvier 2019, les statistiques nationales font état d’un nombre total de 526 505 rapatriés (ex-PDI), dont 40 % se trouvent dans la zone opérationnelle de Gao. Les mêmes statistiques font état d’un nombre total de 71.156 réfugiés maliens qui ont été rapatriés, dont 47% sont retournés dans la zone opérationnelle de Gao. Parallèlement, depuis le début de l’année 2018, Gao a accueilli un grand nombre de réfugiés du Burkina Faso et du Niger en raison de la détérioration générale de la situation sécuritaire dans la région du Sahel. A ce jour, un nombre total de 8.457 réfugiés du Burkina Faso ont été enregistrés au Mali et 72% d’entre eux sont présents dans la zone de Gao. Le nombre total de réfugiés du Niger est de 1 024 et ils se trouvent tous dans la région de Ménaka également couverte par l’antenne du HCR à Gao. Il est important de souligner que les déplacements internes se poursuivent jusqu’à aujourd’hui. Le nombre total de personnes déplacées à l’intérieur du pays est de 123 574 au niveau national au 31 janvier 2019 et la zone de Gao en a reçu 28%. Enfin, Gao est également devenu un tran

Description de la tâche

Sous la supervision directe du responsable de la protection, le Volontaire des Nations Unies entreprendra les tâches suivantes : Être pleinement informé des structures communautaires et de la situation en matière de protection et de sécurité de la population relevant de la compétence du HCR et développer des liens étroits avec un échantillon représentatif de membres des communautés de réfugiés/personnes déplacées à l’intérieur de leur propre pays (PDI)/apatrides, en utilisant une approche fondée sur l’âge, le genre et la diversité (AGD) ; Grâce aux relations avec les personnes relevant de la compétence du HCR et au réseau de partenaires, se tenir au courant des développements politiques, sociaux, économiques et culturels qui ont un impact sur l’environnement de protection et fournir des conseils à la haute direction. Veiller à ce que les perspectives, les capacités, les besoins et les ressources des personnes relevant de la compétence du HCR soient pris en compte dans la stratégie de protection, les processus de planification et le plan d’opérations répondant aux besoins spécifiques de protection des femmes et des hommes, des enfants, des jeunes et des personnes âgées, des personnes handicapées, des groupes minoritaires tels que les minorités sexuelles et les personnes vivant avec le VIH/sida; Veiller, par l’action directe et le plaidoyer auprès d’un personnel de protection plus expérimenté, à ce que les ressources nécessaires soient allouées pour permettre au travail communautaire d’identifier et de combler les lacunes en matière de protection et d’assistance ; Aider à soutenir le processus de consultation avec les homologues gouvernementaux au niveau local, les partenaires et les personnes relevant de la compétence du HCR afin d’élaborer et de mettre en œuvre des stratégies intégrées qui répondent aux principales priorités en matière de protection, y compris, par exemple, la protection de l’enfance, l’éducation et la violence sexuelle et sexiste, et des approches de solutions; Fournir des conseils techniques et un soutien au HCR et à ses partenaires et mettre en œuvre et superviser les procédures opérationnelles standard (SOP) sur toutes les questions liées à la protection communautaire ; Soutenir la conception, la mise en œuvre et l’évaluation d’une programmation axée sur la protection et les solutions avec les partenaires de mise en œuvre et opérationnels garantissant l’intégration des activités communautaires ; Soutenir les communautés dans la mise en place de structures de représentation et de coordination Promouvoir le renforcement de la confiance

Critères d’éligibilité

Âge

27 – 80

Nationalité

Le candidat doit être un ressortissant d’un pays autre que le pays d’affectation.

Exigences

Expérience requise

4 années d’expérience en expérience professionnelle pertinente, y compris dans les domaines de la protection communautaire, des services communautaires, du travail social et des droits de l’homme.

Domaine(s) d’expertise

Intervention en cas de crise et d’urgence

Permis de conduire

Langues

French, Niveau: Courant, Requis English, Niveau: Courant, Requis

Niveau de formation requis

Baccalauréat ou équivalent en (2 ans avec diplôme universitaire supérieur) Diplôme universitaire en développement international, études culturelles, droits de l’homme, travail social international, sciences sociales, sciences politiques et anthropologie, droit international ou autres disciplines clairement liées.

Compétences et valeurs

, responsabilité, adaptabilité et flexibilité, engagement envers l’apprentissage continu, communication, intégrité, planification et organisation, professionnalisme, travail en équipe

Autres informations

Conditions de vie et remarques

Le Mali est un pays qui tente actuellement de se remettre d’un conflit dans sa partie nord. L’ensemble du territoire est un lieu d’affectation déconseillé aux familles. Ce poste est basé à Gao, dont les conditions de vie et de sécurité sont plus élevées, SLS 4 (Substantiel – selon la classification de sécurité de l’ONU). Fin 2018, la situation sécuritaire du Mali reste fragile et préoccupante malgré le lancement du processus de désarmement, démobilisation et réintégration (DDR). Les attaques complexes contre les civils, la sécurité nationale ainsi que contre les forces internationales, y compris les détournements de voiture, restent un défi. Sur le plan humanitaire, bien que l’accès soit difficile, les acteurs humanitaires ont continué de travailler dans le cadre de mesures strictes d’atténuation de la sécurité mises en place afin de protéger et d’aider à la fois les ressortissants maliens ainsi que les personnes déplacées de retour, les réfugiés de retour et les réfugiés. Les déplacements continus à l’intérieur du Mali et des pays voisins en raison de conflits intercommunautaires et armés ont été des problèmes supplémentaires qui ont eu des effets négatifs sur nos opérations dans un contexte de contraintes budgétaires mondiales. Le candidat aura droit à R&R toutes les 4 semaines. Pour entrer au Mali, un passeport valide est requis. Un visa est également obligatoire, sauf pour les ressortissants des États membres de la CEDEAO (Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest) ainsi que du Maroc et du Cameroun. Les ressortissants d’autres pays doivent contacter la représentation du Mali dans leur pays de résidence. Pour ceux qui n’ont pas de représentation malienne dans leur pays de résidence, le visa peut être délivré à l’aéroport de Bamako. Dans tous les cas, une note verbale sera émise dans le but de faciliter la délivrance du visa pour le Volontaire des Nations Unies sélectionné. Le vaccin contre la fièvre jaune est obligatoire et un carnet de vaccination doit être apporté avec vous pour le contrôle des autorités sanitaires maliennes à l’aéroport. Le Volontaire des Nations Unies sélectionné doit assister, dès le début de la mission, à toutes les formations liées à la sécurité, qui sont obligatoires pour tout le personnel des Nations Unies.

Déclaration d’inclusivité

Le programme des Volontaires des Nations Unies est un programme d’égalité des chances qui accueille les candidatures de professionnels qualifiés. Nous nous engageons à atteindre la diversité en termes de sexe, de soins et de caractéristiques protégées. Dans le cadre de leur adhésion aux valeurs du programme VNU, tous les Volontaires des Nations Unies s’engagent à combattre toute forme de discrimination, et à promouvoir le respect des droits de l’homme et de la dignité individuelle, sans distinction de race, de sexe, d’identité de genre, de religion, de nationalité, d’origine ethnique, d’orientation sexuelle, de handicap, de grossesse, d’âge, de langue, d’origine sociale ou de tout autre statut.

Note sur les exigences en matière de vaccination Covid-19

Cette affectation VNU est soumise à une preuve de vaccination contre le Covid-19 avec un vaccin approuvé par l’OMS, sauf si le service médical du HCR approuve une dérogation à cette exigence pour des raisons médicales.

CLIQUEZ ICI POUR POSTULER

Poste 2 : Agent d’approvisionnement

Détails

Mission et objectifs

Préoccupé par la crise sécuritaire, humanitaire, politique et des droits de l’homme en République centrafricaine et ses implications régionales, le Conseil de sécurité a autorisé en avril 2014 le déploiement d’une opération multidimensionnelle de stabilisation et de maintien de la paix des Nations Unies, la MINUSCA. La Mission a pour mandat d’assurer la protection des civils, d’appuyer le processus de paix, y compris l’application du cessez-le-feu et de l’APPR, de faciliter l’acheminement intégral, sûr et sans entrave de l’aide humanitaire, et la protection de l’ONU. Ses autres tâches comprennent la promotion et la protection des droits de l’homme, l’aide à la préparation et à la tenue d’élections locales pacifiques, l’appui à l’extension de l’autorité de l’État, le déploiement des forces de sécurité et la préservation de l’intégrité territoriale, la réforme du secteur de la sécurité, les processus de désarmement, démobilisation, réinsertion et rapatriement, et l’appui à la justice nationale et internationale, la lutte contre l’impunité, et l’état de droit. La MINUSCA dispose d’un effectif autorisé de 14 400 militaires, de 3 020 policiers et de 1 671 civils. Voir https://peacekeeping.un.org/en/mission/minusca.

Contexte

L’affectation est renouvelable sur une base annuelle (1er juillet – 30 juin) jusqu’à un maximum de 4 ans. Les renouvellements de contrats sont accordés en fonction du mandat de la mission, de la disponibilité du budget, de la nécessité opérationnelle et du rendement satisfaisant. ======================= Le lieu d’affectation peut changer au cours d’une affectation en fonction des nécessités opérationnelles; Les Volontaires des Nations Unies peuvent être amenés à travailler et à voyager n’importe où dans la zone d’opérations de l’organisation hôte, y compris dans des endroits éloignés.

Description de la tâche

Sous la supervision du Chef du Groupe de l’approvisionnement, le titulaire s’acquitte des fonctions ci-après : • Fournir une assistance au Chef de la Section du soutien à la vie avec la planification, la supervision, la gestion et la coordination de la gestion des contrats et de l’appui administratif aux unités de la Section de soutien à la vie. • Aider à la préparation des contributions budgétaires, ou afin de planifier les estimations de coûts / implications budgétaires et les prévisions à long terme des besoins de l’organisation en biens et services • Appuyer la préparation et l’examen des prévisions des besoins de la mission, des plans de demande et des estimations de coûts pour contribuer au budget et à la planification des achats. • Aider à s’assurer que les demandes de la Section du maintien des fonctions vitales sont correctement préparées et enregistrées dans la base de données et soumises en temps opportun. • Aider à suivre les ressources budgétaires, y compris les dépenses par rapport à la demande en place conformément aux règles et règlements établis. • Aider à surveiller et à suivre les demandes dans la base de données en assurant l’exactitude des données et le respect des délais • Aider à l’élaboration, à l’examen, au suivi, à l’évaluation et à la gestion des contrats de la Section du maintien de la vie pour la fourniture de biens et de services. • Appuyer l’examen des projets de lettres et de mémorandums interservices avant la soumission finale. • Coordonner la préparation de l’analyse comparative technique de l’examen de la demande d’achat • Coordonner la finalisation des rapports de performance et autres rapports pertinents pour assurer la conformité. • Aider à la rédaction de la portée des travaux pour l’acquisition de biens et de services • S’acquitter de toutes autres tâches connexes qui pourraient lui être confiées.

Critères d’éligibilité

Âge

27 – 80

Nationalité

Le candidat doit être un ressortissant d’un pays autre que le pays d’affectation.

Exigences

Expérience requise

5 années d’expérience en Administration, Management et d’autres domaines connexes. Expérience dans le traitement des contrats. Une expérience de l’administration de services d’appui dans le cadre d’opérations internationales de maintien de la paix, sur le terrain ou militaires est hautement souhaitable. La connaissance des règles, règlements et méthodes de travail de l’ONU relatifs aux missions sur le terrain est un atout.

Domaine(s) d’expertise

Administration, économie et finances, achats et passation de marchés

Permis de conduire

Équipement manuel 4×4 requis. Requis

Langues

French, Niveau: Working knowledge, Requis English, Niveau: Courant, Requis

Niveau de formation requis

Baccalauréat ou équivalent en Administration et/ou gestion des contrats.

Compétences et valeurs

• Intégrité et professionnalisme : expertise démontrée dans le domaine de spécialité et capacité à faire preuve de discernement; aptitude à travailler de façon autonome selon les procédures établies dans un environnement politiquement sensible, tout en faisant preuve de discrétion, d’impartialité et de neutralité; capacité de gérer l’information de manière objective, précise et confidentielle; réactif et orienté client. • Responsabilisation : maturité et responsabilité; aptitude à travailler conformément aux règles et règlements de l’Organisation. • Planifier et organiser des compétences organisationnelles et de résolution de problèmes efficaces et capacité de gérer un grand volume de travail de manière efficace et en temps opportun; aptitude à établir des priorités et à planifier, coordonner et suivre (proprement) le travail ; Capacité à travailler sous pression, avec des délais contradictoires et à gérer plusieurs projets / activités simultanés. • Travail d’équipe et respect de la diversité : aptitude à établir et à maintenir des partenariats efficaces et des relations de travail harmonieuses dans un environnement multiculturel et multiethnique, avec sensibilité et respect de la diversité et du genre. • Communication : compétences avérées en relations interpersonnelles; bonnes compétences en communication orale et écrite, y compris la capacité de préparer des rapports clairs et concis; aptitude à communiquer et à faire preuve d’empathie avec le personnel (y compris le personnel recruté sur le plan national), le personnel militaire, les volontaires, les homologues et les interlocuteurs locaux provenant de divers horizons; capacité de transférer des informations et des connaissances à un large éventail de groupes cibles différents. • Flexibilité, adaptabilité, capacité et volonté d’opérer de manière autonome dans des environnements austères, éloignés et potentiellement dangereux pendant des périodes prolongées, impliquant des difficultés physiques et peu de confort, et y compris des déplacements prolongés dans la zone d’opérations si nécessaire. • Un engagement sincère envers les principes de l’engagement volontaire, qui comprend la solidarité, la compassion, la réciprocité et l’autonomie; et l’engagement envers les valeurs fondamentales de l’ONU.

Autres informations

Conditions de vie et remarques

La République centrafricaine est un lieu d’affectation déconseillé aux familles où la sécurité et les conditions de travail sont difficiles. Les consignes de sécurité du Département de la sûreté et de la sécurité des Nations Unies (UNDSS) doivent être strictement respectées dans tous les lieux d’affectation. Le niveau de sécurité du pays est de 4, ce qui limite les déplacements aux voyages officiels uniquement. Actuellement, un couvre-feu s’applique de 10 heures à 5 heures du matin. Le pays est enclavé, avec des possibilités de voyage très limitées, et entouré de pays avec des problèmes instables et sécuritaires (Cameroun, Tchad, RDC, Soudan, Soudan du Sud). Il y a une situation sociopolitique instable et des troubles sociaux et des griefs, en particulier dans la capitale Bangui, avec de fréquentes grèves des fonctionnaires entraînant des interruptions de la santé, de l’éducation et de la fonction publique, en raison d’années de salaires impayés. Les coupures de courant sont une norme, provoquant l’insécurité dans la ville. La population de Bangui, y compris les expatriés, est préoccupée par l’augmentation de la criminalité résultant directement du coup d’État de mars 2013 de la SELEKA, une coalition de groupes rebelles, et des événements de décembre 2013 qui ont plongé le pays dans le chaos. Le pays est entièrement dépendant du port maritime camerounais, situé à 1500 km, provoquant une pénurie régulière de produits domestiques de base. Le temps de trajet d’un camion de Douala au Cameroun à Bangui est en moyenne d’une semaine en raison du mauvais état des routes et des barrages routiers en cours de route. Cette situation exerce un stress énorme sur le personnel. Les infrastructures médicales sont très limitées et les services ne fonctionnent pas correctement. Les conditions de vie sont difficiles en raison du coût élevé de la vie et de la rareté des produits de base et de la nourriture. Les supermarchés proposant une variété de produits alimentaires et de consommation sont disponibles, mais coûteux. Des légumes et des fruits frais sont disponibles sur le marché. Il n’y a pas de maison d’hôtes MINUSCA à Bangui. Les possibilités d’hébergement privé sont limitées et l’obtention d’une maison conforme aux mesures de sécurité de l’ONU peut prendre plusieurs semaines. Le personnel des Nations Unies à Bangui vit de l’économie locale en louant des appartements et des maisons. Par rapport à il y a quelques années, plus d’hébergements sont disponibles maintenant, mais à un coût élevé. Il est recommandé de partager un logement. Actuellement, tous les Volontaires des Nations Unies en service ont accès à un logement décent garantissant des normes minimales de confort. Le coût mensuel moyen de l’hébergement varie d’environ 1000 USD pour un petit appartement avec des meubles de base, mais pas de générateur électrique et un approvisionnement en eau courante interrompu, à 2 000 + USD avec toutes les commodités. Un dispensaire des Nations Unies fournit des soins médicaux de base au personnel des Nations Unies et un hôpital des Nations Unies est opérationnel depuis août 2014. Un hôpital de niveau II géré par une équipe médicale militaire existe également. Seules quatre compagnies aériennes officiellement reconnues par le système des Nations Unies desservent le pays : Air France (deux fois par semaine), Royal Air Maroc (deux fois par semaine), Kenya Airways (trois vols par semaine) et Asky (trois vols par semaine). Les vols sont parfois sujets à annulation lorsque la volatilité de la situation de sécurité augmente. Un programme de repos et de récupération (R&R) a été rétabli depuis août 2013 et maintenu pour tous les lieux d’affectation centrafricains à une fréquence de 6 semaines. La République centrafricaine est un pays unique et la MINUSCA est une opération unique. Il offre un environnement intéressant et enrichissant, mais nécessite également un niveau mature de sensibilisation à la culture et à la sécurité, ainsi que plus d’endurance et d’engagement qu’ailleurs pour rendre la vie confortable et abordable. Par conséquent, la flexibilité et la capacité et la volonté de vivre et de travailler dans des conditions difficiles et potentiellement dangereuses, impliquant des difficultés physiques et peu de confort, sont essentielles.

Déclaration d’inclusivité

Le programme des Volontaires des Nations Unies est un programme d’égalité des chances qui accueille les candidatures de professionnels qualifiés. Nous nous engageons à atteindre la diversité en termes de sexe, de soins et de caractéristiques protégées. Dans le cadre de leur adhésion aux valeurs du programme VNU, tous les Volontaires des Nations Unies s’engagent à combattre toute forme de discrimination, et à promouvoir le respect des droits de l’homme et de la dignité individuelle, sans distinction de race, de sexe, d’identité de genre, de religion, de nationalité, d’origine ethnique, d’orientation sexuelle, de handicap, de grossesse, d’âge, de langue, d’origine sociale ou de tout autre statut.

Note sur les exigences en matière de vaccination Covid-19

Les candidats sélectionnés pour certains groupes professionnels peuvent être soumis à des exigences d’inoculation (vaccination), notamment contre le SRAS-CoV-2 (Covid-19), conformément à la politique de l’entité hôte applicable.

CLIQUEZ ICI POUR POSTULER