Description
Vous souhaitez bâtir une carrière qui ait du sens ? Le Groupe de la Banque mondiale est l’une des principales sources de financement et de connaissances pour les pays en développement. Ce partenariat mondial unique réunit cinq institutions qui œuvrent à l’éradication de l’extrême pauvreté et à la promotion d’une prospérité partagée. Avec 189 pays membres et plus de 120 bureaux à travers le monde, nous collaborons avec des partenaires des secteurs public et privé, investissons dans des projets novateurs et utilisons les données, la recherche et la technologie pour élaborer des solutions aux défis mondiaux les plus urgents. Pour plus d’informations, consultez le site www.worldbank.org.
Le Groupe de pratique Développement humain (DPH)
Le Groupe de la Banque mondiale (GBM) est le principal fournisseur de financements et de solutions pour le développement humain. Il travaille avec des pays à revenu élevé, intermédiaire et faible afin d’élaborer des solutions adaptées à chaque pays en matière de développement humain, autour des thématiques de l’éducation, de la santé, de la protection sociale, de l’emploi et de l’égalité des sexes. Le DPH coordonne ses actions avec d’autres groupes de pratique pour garantir une approche intégrée et concertée des enjeux du développement et, par l’intermédiaire des unités régionales de la Banque mondiale, s’efforce d’apporter le soutien le plus efficace et le plus pertinent à nos pays clients.
La Vice-présidence du développement humain (VDH) du Groupe de la Banque mondiale regroupe les pôles d’expertise mondiaux en matière d’éducation, de santé, de nutrition et de population, ainsi que de protection sociale et d’emploi. Elle abrite également le groupe Genre. De ce fait, le développement humain est essentiel à la réalisation des objectifs du Groupe de la Banque mondiale visant à éradiquer l’extrême pauvreté d’ici à 2030 et à promouvoir une prospérité partagée.
Les principaux défis du développement sanitaire concernent la santé, la nutrition et les transitions démographiques. Ils nécessitent une réponse rapide et adaptable à court terme, ainsi qu’une réponse durable et inclusive à long terme qui s’attaque aux inégalités d’accès aux opportunités et aux résultats dans le secteur de la santé aux niveaux mondial, régional et national. L’enjeu fondamental est d’anticiper, de prévenir et d’atténuer l’impact de ces défis sur le développement, dès aujourd’hui et pour l’avenir. Parmi les défis spécifiques, citons : assurer un financement équitable, efficace, responsable et durable de la couverture sanitaire ; garantir une prestation équitable, de qualité, adaptée et à plus grande échelle des services de santé publique prioritaires en fonction des besoins ; mobiliser en quantité et en qualité suffisantes les intrants essentiels des systèmes de santé, notamment les personnels de santé, les produits pharmaceutiques, les technologies et les infrastructures de soins. et le renforcement des modèles de gouvernance du secteur de la santé qui reconnaissent les fonctions essentielles de l’État, les responsabilités des acteurs clés et qui développent les compétences en matière de gouvernance à tous les niveaux (local, national, régional et mondial) et dans tous les secteurs (public, privé, société civile, ainsi que les secteurs gouvernementaux tels que l’éducation, les transports, la protection sociale, etc.).
Pôle mondial d’expertise en santé, nutrition et population
Le Groupe de la Banque mondiale (GBM) soutient les efforts des pays pour atteindre la couverture sanitaire universelle (CSU) et fournir des services de santé de qualité et abordables à tous, indépendamment de leurs ressources, en renforçant les systèmes de soins de santé primaires, en réduisant les risques financiers liés à la maladie et en améliorant l’équité. Pour plus d’informations : https://www.worldbank.org/en/topic/health.
Le Pôle mondial de soins infirmiers en santé et nutrition (SIN) est dirigé par un directeur mondial, responsable de l’ensemble du Pôle. Ce pôle travaille avec et au sein de multiples secteurs, car les résultats en matière de SIN dépendent souvent d’actions menées en dehors de son propre secteur. Par conséquent, la capacité à collaborer au-delà des frontières du Pôle mondial, à nouer des coalitions et à influencer les solutions multidisciplinaires est essentielle pour atteindre les principaux objectifs d’amélioration des résultats en SIN.
Contexte de l’unité :
Mécanisme de financement mondial.
Le Mécanisme de financement mondial pour les femmes, les enfants et les adolescents (GFF) est un partenariat mondial multipartite hébergé par la Banque mondiale, qui s’engage à garantir la survie et le bien-être de toutes les femmes, tous les enfants et tous les adolescents. Lancé en juillet 2015, le Fonds mondial pour la sécurité (GFF) soutient 36 pays à revenu faible ou intermédiaire (tranche inférieure) par un financement catalyseur et une assistance technique afin d’élaborer et de mettre en œuvre des plans nationaux de santé prioritaires. L’objectif est d’améliorer l’accès à des soins abordables et de qualité pour les femmes, les enfants et les adolescents. Le GFF accompagne également les pays dans l’optimisation de l’utilisation des financements nationaux et du soutien extérieur pour des résultats sanitaires meilleurs et plus durables. Le GFF se concentre sur la priorisation et l’intensification des investissements fondés sur des données probantes pour améliorer la santé et la nutrition reproductive, maternelle, néonatale, infantile et adolescente, grâce au renforcement ciblé des systèmes de soins de santé primaires. Il s’agit de sauver des vies et d’une première étape essentielle pour accélérer les progrès vers la couverture sanitaire universelle (CSU) et les objectifs de développement durable (ODD).
Le GFF a ouvert la voie à une transition des approches de développement traditionnelles vers une approche plus durable, où les gouvernements pilotent et mobilisent les partenaires internationaux pour soutenir un plan national prioritaire et chiffré. Grâce à ce partenariat, le GFF vise à mobiliser des fonds supplémentaires en combinant des subventions provenant d’un fonds fiduciaire multidonateurs dédié (le Fonds fiduciaire du GFF), des financements de l’Association internationale de développement (IDA) et de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD), et en mobilisant des ressources nationales et internationales additionnelles. À ce jour, le GFF a mobilisé plus de 2,5 milliards de dollars de ressources provenant de son fonds fiduciaire. Cette approche et ces ressources ont permis de réaliser des investissements à fort impact dans le domaine de la santé et de la nutrition reproductive, maternelle, néonatale, infantile et adolescente dans les pays les plus vulnérables du monde. Pour plus d’informations : www.globalfinancingfacility.org
Le partenariat GFF est dirigé par le Directeur du GFF ; la gestion quotidienne de l’équipe GFF est assurée par le Responsable des Pratiques GFF. Le secrétariat du GFF, basé à la Banque mondiale et rattaché au Pôle mondial HNP, œuvre à la réalisation des objectifs du GFF. Cela comprend la collaboration avec les pays pour l’élaboration de dossiers d’investissement de qualité, la gestion du Fonds fiduciaire du GFF, l’assistance technique aux équipes régionales et le soutien au Groupe des investisseurs du GFF, organe de gouvernance du GFF.
Fonctions et responsabilités :
A. Priorisation et harmonisation
a. Contribuer à l’organisation et au soutien de la mise en œuvre des différents travaux d’analyse nécessaires à l’élaboration du dossier d’investissement et/ou aux processus de priorisation rapide.
b. Appuyer le Point focal gouvernemental du GFF dans la finalisation du dossier d’investissement et du cadre de résultats associé, et les mettre à jour si nécessaire.
c. Piloter un processus systématique de conception et d’évaluation périodique de la validité, de l’avancement et des résultats des processus de priorisation et de réforme du dossier d’investissement et/ou des plans de priorisation rapide
d. Collaborer avec le gouvernement pour le suivi des dépenses publiques au regard du dossier d’investissement et des priorités du plan opérationnel annuel. Dans le cadre de ce travail, le consultant peut être appuyé par un consultant en gestion des finances publiques.
e. Appuyer et faciliter le processus d’institutionnalisation de la cartographie des ressources, de l’établissement des coûts et du suivi des dépenses à l’aide de la mobilisation des ressources et du suivi des dépenses, et contribuer à la diffusion des résultats.
f. Assurer la liaison avec le point focal national du Secrétariat du GFF afin d’identifier l’expertise technique qui pourrait ne pas être disponible dans le pays pour le développement et la mise en œuvre du CI
g. Intégrer le suivi du CI aux plans, processus et examens de suivi multisectoriels et sectoriels du secteur de la santé, le cas échéant.
h. Aider le gouvernement à cartographier de manière itérative les ressources et les investissements des parties prenantes afin de favoriser un meilleur alignement du budget, des cadres de suivi et du plan.
B. Coordination
a. Appuyer le gouvernement dans l’identification et/ou la mise en place d’une plateforme nationale dans les pays qui rejoignent le GFF et veiller à ce que toutes les parties prenantes concernées soient bien informées de l’objectif et du processus du GFF.
b. Appuyer le gouvernement dans la convocation des réunions de la plateforme nationale multipartite et la production de comptes rendus assortis de plans d’action assortis d’échéances précises à l’appui du CI
c. Identifier et cartographier les forums techniques et politiques pour le plaidoyer et la prise de décision sur la RMNCAHN-G et l’allocation, le suivi et la correction des ressources sanitaires plus larges pour la mise en œuvre de l’IC aux niveaux national et infranational, le cas échéant
d. S’engager, le cas échéant, dans des forums régionaux tels que les CER (Communautés économiques régionales) établies par l’Union africaine sur la gestion des risques de catastrophe ou l’agenda de Lusaka.
C. Appui au Secrétariat du GFF
a. Fournir des rapports d’étape sur l’utilisation des investissements du Fonds fiduciaire du GFF pour le développement et la supervision des infrastructures critiques.
b. Contribuer trimestriellement à la plateforme d’engagement pays du GFF, en coordination avec le point focal pays du GFF et les spécialistes du financement de la santé et des résultats.
c. Appuyer la préparation et la mise à jour de la stratégie d’engagement pays
d. Collaborer avec les spécialistes des résultats du Secrétariat du GFF pour faciliter l’utilisation des données à tous les niveaux.
e. Fournir un appui logistique et administratif aux missions du Secrétariat du GFF et aux opérations nationales.
f. Fournir une orientation et une assistance technique continues au point focal gouvernemental du GFF sur les domaines clés relatifs au portefeuille du GFF.
D. Communication pays
a. À l’aide d’un modèle standardisé, produire et diffuser des supports de communication (par exemple, bulletin d’information, brochure/fiche d’information pays) afin de garantir que toutes les parties prenantes soient bien informées de l’objectif, du processus, de l’engagement et du soutien du GFF dans le pays.
b. Participer aux missions multimédias du GFF, au besoin.
c. Organiser des réunions avec les bailleurs de fonds, les donateurs, la société civile et les autres parties prenantes, au besoin, afin d’assurer l’alignement et d’obtenir des financements supplémentaires pour les priorités au fil du temps.
E. Appui aux processus et programmes de la Banque mondiale
a. Appuyer le point focal du GFF afin d’assurer une utilisation efficace et opportune des ressources du BETF pour l’élaboration et le suivi d’un plan d’investissement prioritaire évolutif
b. Organiser des réunions avec les partenaires du Secrétariat du GFF et le personnel de la Banque mondiale impliqué dans le GFF afin d’améliorer la coordination et la communication sur les programmes prioritaires, selon les besoins.
c. Appuyer les équipes de projet de la Banque mondiale dans leurs opérations, notamment en matière d’identification, de préparation, de mise en œuvre, de supervision et de finalisation des projets
d. Appuyer le bureau de pays de la Banque mondiale et les chefs d’équipe dans leur fonction de pilotage du cofinancement du GFF.
Critères de sélection
• Formation/Expérience professionnelle minimale : Maîtrise dans un domaine pertinent pour les activités du GFF (par exemple, santé publique, administration publique, économie, économie de la santé ou tout autre domaine pertinent). Au moins 10 ans d’expérience professionnelle dans le domaine de la santé maternelle, néonatale, infantile et adolescente (SMNI-IAA) et/ou du renforcement des systèmes de santé ou dans d’autres domaines exigeant une forte orientation vers les résultats et la coordination des parties prenantes.
• Expérience avérée en matière de coordination et de mobilisation des parties prenantes, notamment les gouvernements, les bailleurs de fonds, les partenaires au développement, la société civile, les jeunes et le secteur privé.
• Aptitudes démontrées en leadership, notamment la capacité à : identifier les leviers d’action ; favoriser la collaboration, la confiance et la responsabilisation ; assurer un rôle de représentation et appuyer les processus administratifs et de réunion.
• Excellentes aptitudes organisationnelles, capacité à gérer plusieurs tâches simultanément et à prioriser les actions avec rigueur.
• Capacité de base à analyser des données pour promouvoir la prise de décision fondée sur des données probantes, identifier les valeurs aberrantes, élaborer des plans d’action basés sur les données, etc.
• Maîtrise de la résolution de problèmes, notamment l’identification et la gestion des risques, la gestion des conflits et la négociation.
• Excellentes compétences en communication écrite et orale en anglais, avec la capacité d’adapter l’information à différents publics afin de communiquer les buts, les objectifs et les opérations du projet, et de transmettre des messages avec diplomatie.
• Connaissance des systèmes liés au GFF dans le pays (par exemple, santé, protection sociale, éducation, etc.).
• Une expérience de travail dans le domaine de la santé/nutrition reproductive, maternelle, néonatale, infantile et adolescente ou du financement de la santé serait un atout
. • Une expérience ou une compréhension des opérations du GFF et/ou de la Banque mondiale serait un atout.
• La connaissance des logiciels informatiques utilisés pour la collecte, l’analyse et la visualisation des données serait un atout.
Attributs culturels du Groupe de la Banque mondiale :
- Sens de l’urgence : Anticiper et répondre rapidement aux besoins des parties prenantes internes et externes.
2. Prise de risques réfléchie : Remettre en question le statu quo et repousser les limites pour un impact accru.
3. Responsabilisation : Se donner les moyens d’agir et responsabiliser chacun quant aux résultats.
Compétences fondamentales du Groupe de la Banque mondiale
Nous sommes fiers d’être un employeur qui respecte l’égalité des chances et qui est inclusif, avec un personnel dévoué et engagé, et nous ne pratiquons aucune discrimination fondée sur le sexe, l’identité de genre, la religion, la race, l’origine ethnique, l’orientation sexuelle ou le handicap.
Apprenez-en davantage sur le travail à la Banque mondiale et à la SFI , notamment sur nos valeurs et des histoires inspirantes.
Remarque : Le candidat retenu se verra offrir un contrat d’un an, renouvelable à la discrétion du Groupe de la Banque mondiale, et soumis à une durée maximale de trois ans pour un contrat de trois ans. Si un contrat de trois ans prend fin avant son terme, la durée restante est comptabilisée comme une année complète dans le calcul de la durée maximale. Les anciens et actuels employés de trois ans ayant achevé tout ou partie de leur contrat ne sont pas admissibles à de futurs contrats de trois ans.