L’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) est une union de Membres composée de gouvernements et d’organisations de la société civile. Elle offre aux organisations publiques, privées et non-gouvernementales les connaissances et les outils nécessaires pour que le progrès humain, le développement économique et la conservation de la nature se réalisent en harmonie. Créée en 1948, l’UICN s’est agrandie au fil des ans pour devenir le réseau environnemental le plus important et le plus diversifié au monde. Elle compte avec l’expérience, les ressources et le poids de ses 1400 organisations Membres et les compétences de plus de 15 000 experts. Elle fait aujourd’hui autorité au niveau international sur l’état de la nature et des ressources naturelles dans le monde et sur les mesures pour les préserver. Nos experts se divisent en six Commissions, dédiées à la sauvegarde des espèces, au droit de l’environnement, aux aires protégées, aux politiques économiques et sociales, à la gestion des écosystèmes, et à l’éducation et la communication.
Le projet proposé, financé par le FEM, intitulé « Renforcement de la gestion durable des forêts par la planification intégrée de l’utilisation des terres, l’amélioration des moyens de subsistance et la conservation de la biodiversité dans les paysages transfrontaliers de Monte Alen et Rio Campo en Guinée équatoriale » est mis en œuvre par l’UICN, en collaboration avec une série d’acteurs nationaux dont INDEFOR-AP et INCOMA.
L’objectif du projet est de « conserver et gérer durablement la biodiversité et les écosystèmes forestiers dans les paysages transfrontaliers de Monte Alen et Rio Campo en Guinée équatoriale”, par le biais d’une approche inclusive du paysage, d’une planification efficace de l’utilisation des terres, d’une gestion améliorée des zones protégées et des options de moyens de subsistance durables.
Les interventions du projet entreprises au niveau des deux paysage (Monte Alen et Rio Campo) et au niveau local conduiront à une réduction de l’exploitation forestière non durable et du braconnage, ainsi qu’à une meilleure planification de l’utilisation des terres. Ces interventions auront des avantages importants pour la conservation de la biodiversité, le fonctionnement des écosystèmes et la séquestration du carbone. Le projet contribuera à la protection d’un écosystème forestier mondialement reconnu, les forêts du bassin du Congo, qui revêtent une importance nationale, régionale et mondiale, contre une nouvelle perte de biodiversité.
En outre, le projet encouragera et soutiendra les activités de conservation, y compris la collaboration transfrontalière de conservation, et l’amélioration de la gouvernance des zones protégées. Il s’agira notamment de combler les lacunes actuelles en matière de connaissances et les capacités insuffisantes des parties prenantes concernées.
Cliquez sur les postes en dessous pour postuler: