Le Programme des Volontaires des Nations Unies (VNU) recrute pour ces 2 postes (26 Novembre 2023)

Le PNUD est la plus grande agence des Nations Unies ayant pour mandat d’éradiquer la pauvreté, grâce à un développement humain durable et inclusif. Le PNUD est présent au Nigeria depuis que le pays est devenu indépendant en 1960, fournissant un soutien au renforcement des capacités et à l’élaboration de politiques au gouvernement fédéral du Nigeria dans les domaines de la gouvernance et de l’amélioration des politiques. Consolidation de la paix, croissance inclusive et développement durable. Le PNUD continue de soutenir le gouvernement dans la mise en œuvre d’interventions de développement visant à atteindre les objectifs à moyen et long terme inscrits dans les plans de développement nationaux et infranationaux ainsi que les objectifs de développement durable. L’objectif du PNUD est d’améliorer la vie de la population du Nigéria, en particulier des plus pauvres et des plus vulnérables, et d’assurer un avenir offrant l’égalité, la dignité et des opportunités pour tous. Le PNUD travaille en partenariat avec le gouvernement fédéral du Nigéria, les partenaires de développement, les agences des Nations Unies, la société civile et les communautés locales pour aider à identifier des solutions locales permettant de relever les défis de développement mondiaux et nationaux à travers une gamme d’interventions qui combinent l’expertise et l’avantage comparatif du PNUD dans les domaines de Gouvernance et amp; Consolidation de la paix, croissance inclusive et développement durable.

Contexte

L’une des régions les plus pauvres et les plus dégradées du monde sur le plan environnemental, la région du Sahel ouest-africaine est également considérée comme l’une des régions du monde les plus vulnérables au changement climatique, avec des augmentations de température qui devraient être 1,5 fois plus élevées que le reste du monde. La vulnérabilité climatique est aggravée par la forte dépendance de la région à l’égard de l’agriculture pluviale et de ses ressources naturelles pour soutenir la sécurité alimentaire et les moyens de subsistance, la forte croissance démographique, l’urbanisation rapide et non planifiée, la dégradation de l’environnement, l’aggravation des niveaux de pauvreté, les défis de gouvernance et le faible développement socio-économique. et les crises humanitaires chroniques dues à des sécheresses récurrentes, des inondations, l’insécurité alimentaire, des épidémies et des conflits violents. Ces facteurs accroissent la fragilité des communautés alors que les catastrophes récurrentes provoquent une détérioration continue des moyens de subsistance, exposant les populations à une pauvreté et une insécurité alimentaire encore plus graves. Dans ce contexte, le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) cherche à renforcer les capacités politiques et institutionnelles des pays du Sahel occidental et du bassin du lac Tchad pour comprendre les risques multidimensionnels auxquels la région est confrontée et concevoir des mécanismes qui anticipent et répondent à ces défis. . À cet égard, le PNUD met en œuvre un projet régional intitulé « Renforcement des capacités de réduction des risques de catastrophe et d’adaptation pour la résilience dans la région du Sahel : favoriser des solutions tenant compte des risques pour un développement durable » (Projet Résilience du Sahel), ancré dans le Programme Régional de Développement Durable. Afrique. Le résultat attendu de cette initiative régionale est que les institutions régionales et les gouvernements nationaux aient institutionnalisé et domestiqué la planification, la programmation et les investissements de développement tenant compte des risques pour le renforcement de la résilience. La portée géographique du projet est constituée de sept pays de la région du Sahel occidental et du bassin du lac Tchad : le Burkina Faso, le Tchad, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Nigeria et le Sénégal. Financé par le gouvernement suédois, le projet Sahel Resilience propose de renforcer la capacité régionale à favoriser un développement tenant compte des risques grâce à une approche multi-pays. S’appuyant sur la phase 1 du projet (2019-2022), la phase 2 du projet – jusqu’en mars 2025 – continuera de faire progresser les cinq domaines de résultats clés axés sur les données pour la prise de décision, la gouvernance des risques, la préparation à la reprise, la résilience urbaine et l’engagement régional. pour l’échange de connaissances. Dans ce contexte, le Projet Résilience du Sahel cherche à recruter un spécialiste du suivi, de l’évaluation et du reporting, un Volontaire international des Nations Unies (IUNV) qui soutiendra l’équipe du projet dans l’assurance qualité, le suivi et le reporting du projet. Le spécialiste IUNV sera basé à Abuja, au Nigéria et travaillera sous la supervision directe et relèvera du chef de projet.Il/elle travaillera quotidiennement avec le spécialiste technique de la RRC et le spécialiste technique de la résilience urbaine et de la préparation au relèvement ainsi qu’avec d’autres membres de l’équipe et assurera la liaison avec les coordinateurs nationaux du projet, les experts en bases de données, les chefs d’équipe des bureaux de pays du PNUD dans les pays du projet ainsi qu’avec les des points focaux désignés dans les organisations partenaires pour la mise en œuvre efficace du plan de travail annuel, ainsi que du suivi, de l’évaluation et des rapports associés.

Description de la tâche

Dans le cadre des pouvoirs délégués et sous la supervision du chef de projet, le spécialiste du suivi, de l’évaluation et des rapports devra effectuer les tâches suivantes : • Recueillir, synthétiser et suivre les informations sur les progrès réalisés dans la mise en œuvre du projet aux niveaux régional et national pour les cinq domaines de résultats. • Examiner les documents et rapports soumis par les partenaires de mise en œuvre, en veillant à leur soumission dans les délais et en maintenant un niveau de qualité élevé. • Contribuer à la planification du projet en étroite collaboration avec l’équipe du projet aux niveaux régional et national. • Surveiller en permanence la mise en œuvre du plan de travail en fonction des activités, des indicateurs de résultats et des cibles, y compris l’analyse des lacunes, et proposer en conséquence à l’équipe du projet des mesures correctives, le cas échéant. • Fournir des informations opportunes sur les progrès et les résultats en compilant, organisant, analysant, surveillant et préparant des rapports d’avancement trimestriels et annuels. En outre, contribuer à la rédaction de contributions au nom du projet à tous les rapports d’entreprise étayés par des données et des preuves solides, en consultation avec les membres de l’équipe régionale et nationale. • Conserver une documentation appropriée de tous les documents liés au projet dans le dossier partagé en ligne du projet. • Fournir un soutien technique dans la mise à jour du système de rapports d’avancement à des fins d’audits internes et externes. • Aide à la collecte des informations nécessaires et pertinentes lors des processus d’audit. • Créer des mécanismes pour assurer une bonne circulation des informations sur la mise en œuvre des projets entre le niveau national et le niveau régional. • Fournir régulièrement des informations et des données pour la mise à jour des plateformes du PNUD. Soutien à toute autre activité pour faire avancer la mise en œuvre du projet

La MONUSCO/MONUC a été créée en 1999 sous les auspices du Département des opérations de maintien de la paix des Nations Unies (DOMP). La RCS 2277 (2016) demande à la MONUSCO de soutenir les efforts du gouvernement de la RDC en faveur de la protection des civils, à travers une approche globale impliquant toutes les composantes de la MONUSCO, y compris à travers la réduction de la menace posée par les groupes armés congolais et étrangers et de la violence contre les civils, inclure la violence sexuelle et sexiste et la violence contre les enfants à un niveau qui puisse être efficacement géré par les institutions congolaises de justice et de sécurité ; et soutenir la stabilisation par la création d’institutions étatiques fonctionnelles, professionnelles et responsables, y compris des institutions sécuritaires et judiciaires. Le projet vise à mieux comprendre les violations les plus graves du droit des droits de l’homme et du droit international humanitaire en RDC et soutient la direction de la Mission à travers une politique et une prise de décision éclairées sur le contrôle futur des forces de sécurité à travers l’évaluation et l’atténuation des risques, la planification conjointe des opérations de la MONUSCO, ainsi que les efforts de plaidoyer.

Contexte

L’affectation n’est pas familiale (GOMA) Mission jusqu’au 30 juin 2024, avec prolongation possible jusqu’au 30 juin 2025.

Description de la tâche

Dans le cadre des pouvoirs délégués à l’organisation et sous la supervision directe du chef de bureau du DSRSG, le Volontaire des Nations Unies entreprendra les tâches suivantes : • Fournir un soutien substantiel et pratique au chef de bureau (CoO) dans la mise en œuvre du mandat de la mission, y compris les questions liées à la gouvernance et à la gestion des programmes ; • Tenir le CoO et/ou le chef de l’unité de gestion du programme (PMU) informé de toutes les questions nécessitant son attention personnelle, aider à formuler des options sur la manière dont ces questions pourraient être traitées et assurer un suivi approprié, comme indiqué. ; • Gérer les réunions, préparer des résumés écrits des projets et mener des activités de suivi, le cas échéant ; • Assurer l’enregistrement des données du programme/projet et la diffusion des informations au sein du pilier en éditant et en distribuant les procès-verbaux, les notes au dossier, les rapports périodiques et réguliers, les points de discussion, etc. ; • Veiller à ce que les accords de projet soient finalisés en temps opportun en complétant et en soumettant pour examen la version française de l’accord et les annexes connexes ; • Soutenir la présentation des projets au COREP, la compilation des documents et leur examen pour en vérifier l’exactitude et l’exhaustivité ; détermination des révisions requises ; • Tenir à jour les bases de données des programmes/projets et préparer les contributions aux rapports et aux documents d’information/fiches d’information destinés au public interne ; consolider et examiner les rapports trimestriels, annuels et autres sur les programmes et projets ; • Gérer le référentiel d’informations et de documentation sur le programme/projet • Se tenir au courant de tous les développements dans le pilier dans les bureaux et sections de terrain pour préparer les briefings et les rapports appropriés ; • Effectuer toute autre tâche selon les directives du chef de bureau du DSRSG et/ou du chef de l’unité de gestion du programme.