Le PNUD recrute pour ces 3 postes (29 Avril 2022)

Informations sur l'emploi

Titre du Poste : 3 postes

Description de l'emploi

Poste 1 : Recrutement d’un consultant national pour l’analyse des facteurs de vulnérabilité et de résilience face à la radicalisation et à l’extrémisme violent au Niger, dans les régions de, Maradi, Tahoua et Zinder

Au-delà des foyers d’insécurité actifs dans les régions de Tillabéry et Diffa, les phénomènes de radicalisation et l’extrémisme violent gagnent du terrain de façon croissante dans plusieurs régions du Niger, où ils menacent de s’installer durablement. Les activités des groupes armés non étatiques (GANEs) liées à l’extrémisme violent ont ainsi connu une recrudescence récente, ayant fait plus de 5 000 victimes au Niger entre 2015 et 2022, avec presque 1 400 incidents recensés (ACLED Dashboard, mars 2022). Selon l’analyse des facteurs de conflits menée par la Haute Autorité à la Consolidation de la Paix et le Fonds des Nations-Unies pour la Consolidation de la Paix au Niger fin 2020, les régions du Sud Maradi, du Nord Tahoua et de Zinder sont aujourd’hui exposées à un risque important de basculement à moyen terme. Pour contrer cette spirale et afin d’éviter ce basculement, il est nécessaire de renforcer préventivement la résilience des communautés face à ces risques de radicalisation et à l’extrémisme violent.

Peu mobilisées dans les processus politiques et souffrant des conséquences du sous-développement, de la faible présence de l’Etat et du manque de moyens de subsistance, ces communautés sont particulièrement vulnérables aux discours, activités et opérations des groupes extrémistes violents, en particulier les jeunes et les femmes. Cherchant à leur permettre de devenir les acteurs de la solution contre la montée de l’extrémisme violent, les interventions doivent s’assurer qu’elles disposent des ressources et de l’appui nécessaires pour avoir la capacité de résister à la radicalisation vers l’extrémisme violent. Le degré et la nature de la participation des institutions formelles et informelles (cellule familiale, entités religieuses, chefferie traditionnel, organisations de la société civile…) au renforcement de la cohésion sociale et des mécanismes de règlement des conflits devra également être déterminé sur la base de consultations communautaires.

Le consultant travaillera en étroite collaboration avec le CTP du projet.

05 maiLa présente étude a donc pour objectif d’identifier et d’analyser, de manière sensible au genre et à l’âge, les causes profondes et immédiates de la vulnérabilité des communautés face à l’extrémisme violent au Niger afin d’en dégager les principales dynamiques de résilience et d’orienter les interventions visant à son renforcement. Elle répondra en particulier aux interrogations suivantes :

  • Quels sont les facteurs contribuant à la vulnérabilité des communautés face à la radicalisation vers l’extrémisme violent dans les zones du Sud Maradi, du Nord Tahoua et de Zinder?
  • Pourquoi les jeunes sont-ils vulnérables face à l’extrémisme violent?(Facteurs répulsifs)
  • Pourquoi sont-ils attirés par les discours extrémistes?(Facteurs attractifs)
  • Quels sont les acteurs clés en jeux?
  • Comment peuvent-ils résister face à la montée de l’extrémisme?
  • Quels sont les acteurs clés de la résilience face à l’Extrémisme?
  • Les femmes sont-elles davantage exposées à l’extrémisme violent  si oui, Pourquoi?
  • Quelles ont les initiatives régionales, nationales et locales de prévention et de lutte contre la radicalisation et l’Extrémisme Violent?
  • Quelles sont les acteurs impliqués dans la mise en œuvre de ces initiatives?
  • Quels sont les gaps en termes d’initiatives et d’acteurs impliqués pour renforcer la résilience des populations face à l’extrémisme violent?
  • Quelles sont les bonnes pratiques de prévention de l’Extrémisme violent à promouvoir dans ces régions?
  • Quelle est la situation actuelle des jeunes en termes d’implication dans l’extrémisme violent?

Elle sera donc structurée autour de :1) l’analyse des facteurs de vulnérabilité des communautés, en particulier les jeunes et les femmes, des zones du Sud Maradi, Nord Tahoua et Zinder face à la radicalisation et l’extrémisme violent; 2) la description et l’analyse des risques de radicalisation et d’exposition à l’extrémisme violent dans les régions ciblées ; 3) le recensement des solutions existantes et la proposition de nouvelles solutions de prévention de la radicalisation vers l’extrémisme violent.

Méthodologie :

  • Recueil et analyse de données primaires : questionnaires et enquêtes de perception:1) échantillonnage et constitution de focus groups dans les trois régions (femmes, jeunes, comités de paix et de vigilance);2) entretiens individuels (représentants des femmes, représentants des jeunes, autorités locales, représentants des services de l’Etat, leaders religieux);
  • Recueil et analyse de données secondaires :revue littéraire sur les facteurs de vulnérabilité, les dynamiques de résilience communautaire face à la radicalisation vers l’extrémisme violent et recueil de données permettant de dresser la situation de ces facteurs au Niger.

Les résultats de l’étude alimenteront l’élaboration du CCA des Nations-Unies au Niger, en particulier au niveau de l’axe stratégique « Gouvernance, Paix et Sécurité » dans son volet de renforcement de la résilience communautaire face à l’extrémisme violent. Elle permettra d’établir une situation de référence qui encadrera le développement et la mise en œuvre d’un programme conjoint sur la thématique dans les régions de Tahoua, Maradi et Zinder.

 

  • Aptitude à mener des analyses approfondies et à parvenir à des conclusions pertinentes dans le domaine spécifique;
  • Aptitude à travailler en équipe, à solliciter l’avis des collègues et partenaires et à valoriser leurs idées et leurs compétences;
  • Capacité de faire preuve de discernement dans les tâches assignées et de travailler sous pression dans le respect des délais;
  • Excellente capacité en matière de communication et de rédaction de rapports;
  • Bonne maîtrise de l’outil informatique (Windows, Word, Excel, PowerPoint, Internet, etc…).

 

Education:

  • Master ou équivalent (Bac+5) en sciences politiques, conflit et la sécurité, sciences sociales, droits de l’homme ou domaines similaires.

Expériences:

  • Expérience professionnelle dans le domaine de la consolidation de la paix et la sécurité et notamment des études sur l’extrémisme violent au Niger;
  • Expérience de travail dans les zones en conflit ou à prédisposition de conflit
  • Expérience avérée dans l’analyse et le traitement de données qualitatives et quantitatives sensibles au genre et aux droits de l’homme (études, enquêtes, traitement de données …);
  • Expérience en matière de collaboration avec les institutions étatique (Ministère et institutions) ;
  • Expérience en matière de collaboration avec les collectivités locales, les organisations de jeunes, les organisations des femmes, les ONG et les OCB;
  • Bonne connaissance du contexte de paix et sécurité au Niger.
  • Bonne connaissance du Système des Nations Unies (SNU) au Niger.

Langues

  • La maîtrise parfaite de la langue française, aussi bien écrite qu’orale, est indispensable. La connaissance de l’anglais est un avantage.

Les Consultants intéressés doivent soumettre les documents et renseignements suivants pour prouver leurs qualifications:

Offre technique comprend:

  • Expliquer pourquoi ils sont les mieux qualifiés pour ce travail (lettre de motivation);
  • Fournir une brève description de l’approche méthodologique (la manière dont ils approcheront et effectueront le travail);
  • CV personnel, en y incluant l’expérience acquise dans le cadre de travaux similaires et au moins trois (3) personnes de références.

Offre financière:

L’offre financière doit indiquer le montant total du forfait, ainsi que les modalités de paiement précises et mesurables (quantitativement et qualitativement) relatives aux résultats concrets (à savoir, si les paiements doivent être échelonnés ou versés en totalité à la fin du contrat). Les paiements sont fonction du résultat, c’est-à-dire, à la livraison des services spécifiés dans les termes de référence. En vue d’assister le service demandeur dans la comparaison des offres financières, le montant forfaitaire de chacune de ces dernières sera détaillé (y compris, les voyages, les indemnités journalières et le nombre de jours de travail prévus).

Evaluation:

Les consultants individuels seront évalués comme suit:

Analyse cumulative

En utilisant cette méthode d’évaluation pondérée, un contrat sera attribué au consultant individuel dont l’offre a été évaluée et déterminée comme étant, à la foi:

  • Efficace/conforme/acceptable, et
  • Comme ayant reçu le score le plus élevé, déterminé à partir d’un ensemble prédéfini de critères techniques et financiers pondérés, spécifiques à la demande.
  • Poids des critères techniques:70%
  • Poids des critères financiers:30%

Seuls les candidats qui obtiennent un minimum de 70 sur 100 points seront pris en compte pour l’évaluation financière.

Critères d’évaluation:

les candidats seront évalués sur la base des critères suivants:

A: Offre Technique(100 points) pondérée sur 70 points:

  • Master ou équivalent (Bac+5) en sciences politiques, conflit et la sécurité, sciences sociales, droits de l’homme ou domaines similaire :10 points.
  • Expérience professionnelle dans le domaine de la consolidation de la paix et la sécurité et notamment des études sur l’extrémisme violent au Niger :15 points;
  • Expérience avérée dans l’analyse et traitement de données qualitatives et quantitatives sensibles au genre et aux droits de l’homme (études, enquêtes, traitement de données):20 points;
  • Expérience de travail dans les zones en conflit:5 points;
  • Expérience en matière de collaboration avec les collectivités locales, les organisations de jeunes, les ONG et les OCB:5 points;
  • Bonne connaissance du contexte de paix et sécurité au Niger:5 points;
  • Expérience d’écrire les rapports d’études:5 points;
  • Expérience de travail avec le Système des Nations Unies (SNU) au Niger:5 points;
  • Maîtrise de l’anglais et du français (lus, parlés, écrits):5 points;
  • Méthodologie de travail:25 points.

?B: Offre financière sur 30 points.

Critères de selection de la meilleure proposition:

  • Seules les candidatures ayant obtenu une note au moins égale à 70 points sur le total des 100 points au niveau de l’évaluation technique seront retenues pour une analyse financière;
  • La méthode d’évaluation qui sera utilisée est celle du meilleur rapport qualité/prix (score combiné). Il sera tenu compte des qualifications du consultant en priorité mais également de sa proposition financière.

Date limite et lieu de remise des candidatures:

Les candidatures doivent être soumises en ligne:http://jobs.undp.org au plus tard le 05 mai 2022.

Les candidatures feminines sont encouragées.

 

 

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Poste 2 : Consultant national chargé de développer une plateforme web

CONTEXTE ET JUSTIFICATION

La population congolaise, qui a enregistré une croissance soutenue depuis la dernière décennie, est estimée à environ 5 731 375 (Congo-Brazzaville /(Congo) Population 2021 (countrymeters.info)). Si la structure de la population congolaise se caractérise par une légère surreprésentation des femmes (52%), elle est marquée également par la part importante des jeunes de moins de 15 ans qui forment 36% des habitants et dont le taux de croissance s’établi à 2,55%.

La jeunesse congolaise, comme partout ailleurs dans le monde, est confrontée à plusieurs défis qu’elle se doit de surmonter pour assurer le bien-être individuel et collectif de la société. Parmi ces défis marquants qu’il reste à relever, l’on peut citer i) l’autonomisation par l’emploi, ii) l’adéquation formation-emploi, iii) la promotion de l’esprit entrepreneurial et iv) la responsabilité civique.

Pour faire face aux différents maux qui minent la jeunesse congolaise, le Gouvernement du Congo met en œuvre plusieurs initiatives dont le Youth Connekt. Le Youth connekt est une initiative lancée par le Gouvernement du Rwanda en partenariat avec le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).

C’est une plateforme conçue pour connecter les jeunes à la transformation socio-économique du continent. L’objectif est de fournir une solution holistique pour atténuer les défis auxquels sont confrontés les jeunes africains en élargissant le bassin d’opportunités de leadership économique, social et civique grâce aux initiatives nationales.

Le PNUD considère l’initiative Youth Connekt comme un programme multidimensionnel qui vise à connecter les jeunes à leurs modèles, pairs, ressources, technologies, compétences et opportunités économiques en comblant le fossé entre les jeunes et les opportunités pour un environnement économique favorisant leur autonomisation.

Pour les gouvernements africains, le programme Youth connekt est une initiative qui permet de réduire le chômage des jeunes et de promouvoir l’engagement citoyen en donnant du pouvoir à la jeunesse à travers la création d’emplois, l’expérimentation d’innovations technologiques et le développement de compétences.

Aujourd’hui, le développement du numérique en République du Congo se présente comme une nouvelle source d’opportunités de formation et de création d’emplois pour les jeunes. De plus, le Plan National de Développement (2022-2026) met l’accent sur le développement de l’économie numérique comme un des axes stratégiques en vue de l’optimisation de sa contribution à l’amélioration vue de l’amélioration de la vie de la jeunesse congolaise.

La mise en place de la plateforme « YouthConnekt Congo » a pour objectif de servir de support d’accompagnement au service en ligne et au développement des compétences des jeunes favorisant à terme leur accès à l’emploi.

C’est dans cette perspective que le bureau du PNUD au Congo envisage de recruter un (e) consultant (e) chargé.e de développer la plateforme « Youth Connekt Congo ».

 

Les prestations à réaliser devront permettre l’atteinte de tous les objectifs assignés à la présente mission assortis des livrables attendus dans le délai requis par le commanditaire. Il s’agit de :

  • l’analyse des possibilités pour le choix du mode de gestion, du régime juridique et de maintenance technique de la plateforme dans une perspective de pérennisation ;
  • Une charte graphique et une charte éditoriale (Recherche graphique basé sur la charte graphique du site recherche de différentes navigations possibles dans le site, propositions de mise en page et de charte éditoriale) ;
  • Une arborescence pour montrer l’architecture du site tel que décrit. Celle-ci sera présentée sous forme schématique avec les rubriques principales, les sous rubriques et les liens qui les unissent ;
  • Une maquette de la plateforme dont le but est de vérifier que la plateforme est conforme aux objectifs. Elle permet également de valider la navigation dans le site ;
  • Une plateforme web dynamique compatible mobile responsive design en tenant compte des objectifs visés et des fonctionnalités attendues ; Ce site devra contenir une base de données, un moteur de recherche interne, un formulaire de collecte d’informations, une interface de mise à jour ;
  • Adaptation d’une présentation web les contenus fournis, numérisation des éléments fournis si nécessaire, création des éléments graphiques (fond de page, boutons, icônes…) ;
  • Spécification du lieu, la durée et le détail de l’infrastructure d’hébergement (espace disque attribué, la bande passante partagée disponible, le service hot lien utilisateur, la protection des pages et applications hébergées, la périodicité des sauvegardes, délai de rétablissement en cas de coupure de service) ;
  • Hébergement sur la nouvelle plateforme les ressources numériques jugées pertinentes en accord avec l’équipe du projet et ses partenaires ;
  • Le prestataire se chargera de l’achat et du transfert du nom de domaine auprès de l’hébergeur identifié ;
  • Faire le lien avec les réseaux sociaux tels que Twitter, Facebook, Whatsapp, LinkedIn, YouTube et Google+ ;
  • Elaborer une stratégie de référencement, de sécurisation, de gestion et d’animation de la plateforme incluant sa maintenance régulière ;
  • Produire un manuel d’utilisation permettant la publication d’articles en ligne à l’intention des personnes en charge de la communication ;
  • Spécifier les statistiques de fréquentation de la plateforme, notamment : nombre d’accès visiteurs, mots clés tapés par les internautes, nombre de visites, pages visitées, provenance géographique des visiteurs, jours et tranches horaires des visites, types de navigateurs utilisés, fournisseurs d’accès d’origine ;
  • Former les personnes en charge de la gestion et l’animation de la plateforme afin de les outiller en compétences nécessaires pour la gestion et l’animation quotidiennes du site et de son contenu ;
  • Assurer la gestion de la plateforme pendant une durée d’un (1) an.
  • LIVRABLES ATTENDUS- PAIEMENT DU CONSULTANT :Les produits suivants sont attendus du prestataire :
  • Le planning de réalisation avec un engagement sur la date de mise en ligne et l’arborescence détaillée du site ;
  • Une plateforme web dynamique compatible mobile assorti d’une description, du mode de fonctionnement et de son hébergement ;
  • Une proposition de base de données dynamique d’acteurs œuvrant en faveur de la jeunesse au Congo (associations, entreprises et entrepreneurs mondiaux et locaux, universitaires, chercheurs, incubateurs, fondations et décideurs politiques) ;
  • Le rapport de l’exécution de la prestation comportant notamment : l’identifiant et le mot de passe pour accéder au back-office du site ;
  • Les langages informatiques utilisés, les modules complémentaires intégrés ;
  • Le manuel de formation et formation de l’équipe du projet sur la mise à jour et la gestion quotidienne de la plateforme.
  • Livrables escomptés délai de soumission et jalons de paiement :

    LIVRABLES DELAIS Jalons de paiement
     

    Livrable 1 : Rapport validé de démarrage de la mission incluant une note méthodologique

     

     

    5 jours après la signature du contrat

     

     

    25%

    Livrable 2 : mise en ligne de la plateforme et rapport des test 15 jours après le démarrage de la mission.

     

    35%
    Livrable n°3 : rapport de validation technique de la plateforme et de prise en compte des observations de la reunion de validation, formation de l’équipe de gestion  

    10 jours après l’atelier de restitution/validation

     

     

     

     

     

     

     

    40%

     

 

Avoir d’excellentes capacités de communication orale et écrite en Français ;

Bonne connaissance du système des nations unies ou forte expérience dans des institutions de développement ;

Bonne maitrise de la thématique de l’entrepreneuriat des jeunes. Une excellente maîtrise de la langue française est exigée ;

Connaissance de l’anglais est un atout.

 

Éducation : Être titulaire d’une licence /certification en TIC, développement Web et applications mobiles ou domaine similaire.

Expérience : Avoir plus de 3 ans d’expériences dans le développement Web ;

Avoir des compétences pédagogiques et méthodologiques reconnues en matière de développement des sites web dynamiques.

Avoir réalisé des travaux identiques dans un contexte similaire serait un atout.

 

 

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Poste 3 : Peace and Development Specialist

BACKGROUND

UNDP is committed to achieving workforce diversity in terms of gender, nationality and culture. Individuals from minority groups, indigenous groups and persons with disabilities are equally encouraged to apply. All applications will be treated with the strictest confidence.

UNDP does not tolerate sexual exploitation and abuse, any kind of harassment, including sexual harassment, and discrimination. All selected candidates will, therefore, undergo rigorous reference and background checks.

Peace and Development Specialists (hereafter PDA) work with national stakeholders to build, strengthen, and sustain nationally owned and driven efforts to prevent violent conflict and build just and peaceful societies. The range of countries to which PDAs are deployed vary considerably, with some deployed to countries emerging from conflict, others where violence is escalating, and others to countries where there is no violent conflict but underlying structural causes of conflict are present. PDAs are also deployed in countries where political and developmental challenges exist around issues related to elections and constitutional processes, exclusion and inequality, environment, climate change and natural resource management.

  • PDAs are deployed through a partnership between the UN Department of Political and Peacebuilding Affairs (DPPA) and the United Nations Development Programme (UNDP), under the Joint UNDP-DPPA Programme on Building National Capacities for Conflict Prevention.
  • PDAs support Resident Coordinators (RC) and UN Country Teams (UNCTs) in their efforts to work with national partners on conflict prevention and sustaining peace. They support early warning and risk management measures and ensure that UN assessments, frameworks (mainly UN Cooperation Frameworks), strategies and programmes are conflict-sensitive including gender and human rights perspectives and informed by high-quality analysis. They are located in the Resident Coordinators’ office, with a direct reporting line to the RC, and a secondary reporting line to the UNDP Resident Representative and DPPA-DPO regional divisions.

In 2022, PDAs will have been deployed into more than 70 countries through the Joint Programme. While most PDAs are deployed at the country level, there are a number of PDAs who cover multiple countries.

  • In some contexts, PDAs are part of a small Peace and Development Advisory team composed of a PDA and a substantive national or international officer/analyst.
  • PDAs also receive additional support from a Joint Programme secretariat based at UN Headquarters in New York, from UNDP and DPPA technical advisors/specialists globally, and from a cadre of regional programme specialists supporting their regions from Amman, Addis Ababa, Bangkok, Dakar, Istanbul, and Panama.

Given the broad range of skills and experience required by PDAs, the Joint Programme encourages applications from individuals with a combination of expertise spanning sustainable development, political affairs, peacebuilding, sustaining peace, conflict prevention/resolution, community engagement, justice, reconciliation, dialogue, mediation, and humanitarian-development-peace nexus among other relevant areas. While UN experience is a major asset, it is not a requirement for this position. Moreover, the skills of diplomacy, dialogue and facilitation, analysis, advocacy, networking, capacity development and coordination are critical elements of a PDA’s work.
Country Context: Senegal is located on the extreme western tip of Africa, in its most advanced part in the Atlantic Ocean. This strategic geographical location places Senegal on the border of investment and trade opportunities in the region. Senegal enjoys a dry tropical climate and has a population of 16.7 million people, a quarter of whom live in the Dakar area (0.3% of the territory). The country can count on a number of assets: its democratic tradition, geographical position, young population, vast agricultural and mining potential and the dynamism of its diaspora. However, the country has to deal with an informal economy that deprives the state of significant resources, a demographic pressure that increases poverty and a youth in need of jobs. Not to mention the environmental emergency: with its 531 km of coastline, Senegal is particularly vulnerable to climate change.

Political Context: Senegal is one of the most stable countries in Africa, with three peaceful political transitions since its independence in 1960.  It is a democratic country with strong institutions and a long-standing culture of democratic governance. This peaceful climate has helped to create a business environment conducive to investment and increased foreign direct investment.

President Macky Sall has been in power since 2012 and was elected for a second five-year term in February 2019. Local elections initially scheduled for 2019, were postponed several times and finally held on 23 January 2022. The opposition won in some major cities such Dakar, Ziguinchor and Thies, but the coalition of political parties supporting the President retained its majority. The elections were held without violence and the results were accepted by all parties without dispute. The legislative elections scheduled for July 2022 are widely seen as a test for the presidential election that should occur in February 2024. Following nationwide protests in March 2021, the President convened a national youth summit in April 2021. In the aftermath of this Summit, the President launched an Emergency Presidential Programme on youth employment called “Programme d’Urgence Présidentiel pour la création d’emplois et l’insertion socio-économique des femmes et des jeunes”, a 450bn FCFA (US$816m) fund for the youth programme in 2021-2023. The Implementation of this programme has since begun and youth unemployment is set to remain at the centre of the policy agenda during this period.

In terms of internal security, Senegal has so far been spared from terrorist incidents that have been on the rise West Africa. However, these threats remain elevated as security conditions in the Sahel region worsen.  Senegal has developed regional cooperation, particularly with its border countries to better respond to this risk.

In terms of governance, Senegal has taken major measures, namely, the adoption of the code of transparency in the management of public finances, the reform of the Court of Auditors, the establishment of the National Office for the Fight against Fraud and Corruption (OFNAC), the reform of the decentralization policy,  the adoption of the law on the declaration of assets for holders of public authority, the reform of the judicial organization, Senegal’s accession to the Extractive Industries Transparency Initiative and the African Peer Review Mechanism (APRM). Senegal has undertaken important reforms with a view to better refocusing public policies around citizens’ preferences. In terms of the quality of public administration, Senegal obtained a score of 3.7/6, according to the ranking of the 2019 Report on the Evaluation of Public Policies and Institutions in Africa (CPIA). Based on the analysis of the Mo Ibrahim Foundation’s 2020 report on governance in Africa, Senegal confirms its reputation for global governance and records a score of 63.2/100 giving it the 9th place on the continent.

With respect to regional cooperation and integration, President Macky Sall assumed the chairmanship of the African Union in February 2022, for a period of one year. In this capacity, his priorities are the promotion of peace and security, the fight against terrorism, environmental protection, health, and economic and social development.

Economic and social context: Senegal remains one of the fastest-growing economies in West Africa. Senegal’s GDP stood at $24.9 billion in 2020 in current terms. The Gross National Income (GNI) per capita was $1,430 in 2020, making it a lower middle income (LMIC) country. Economic growth averaged at over 6% between 2014 and 2018. The COVID -19 pandemic had a negative impact on economic performance, with real GDP growth declining to 1.5% in 2020, compared to 4.4% in 2019, and 6.2% in 2018.

As in other countries around the world, the pandemic has had a huge negative impact on the health sector in Senegal, as well as on the economic and social dimensions. The economy came under significant strain and growth in most sectors declined. However, the Senegalese economy has demonstrated great resilience in light of the pandemic. Unlike many other countries, Senegal avoided a recession in 2020 and the economy expanded at an estimated 5% in 2021, which is forecast to strengthen further to 5.5% in 2022. This recovery was attributed to the implementation of the government’s Covid-19 response strategy, the PAP2As which is designed to spur and accelerate endogenous economic growth and resilience across sectors. The removal of pandemic-related restrictions at the end of 2020 also boosted economic activity. The economy is relatively diversified with services accounting for about 56% of the GDP.

The prospects for a rapid recovery are reinforced by the upcoming exploitation of newly-discovered hydrocarbons poised to start in 2023. The expected levels of production will position the country in the coming years, respectively in 40th and 20th place of the largest oil and gas producers in the world. It will further boost real GDP and enhance public finances

Nonetheless, the pandemic has altered the country’s economic outlook, leading to a weakening in services like tourism and transport, as well as exports. The government responded with containment measures and implemented an Economic and Social Resilience Program (PRES). Nevertheless, weaknesses in fiscal buffers, limited safety nets and a weak health care system, as well as the informal structure of the economy have led to the worsening of poverty and inequality, despite a quick economic recovery and the return to higher growth levels.

The COVID-19 pandemic risks jeopardize the socio-economic gains achieved through improved access to key services. This could generate severe losses for households through shortfalls in labour and non-labour income, domestic price inflation and disruptions in basic services. Senegal’s health statistics are relatively satisfactory with an improvement in life expectancy from 64.7 years in 2013 to 66.9 years in 2018 (ANSD 2018 projection). Maternal, neonatal and infant and child mortality rates have also decreased. Epidemic diseases (AIDS, tuberculosis and malaria) are contained while new diseases, particularly non-communicable ones, tend to emerge (cancer, arterial hypertension, cardiovascular diseases).

As regards education, despite the steady progress and investments recorded in recent years, with 5.6% of GDP and 23.8% of non-debt public expenditure allocated to the education and training sector in 2021, the evolution of school enrollment in Senegal is struggling to keep up with population growth. Nearly 1.5 million children in compulsory education are outside the formal education system. In terms of the quality of learning and achievements, particularly in fundamental skills, the PASEC survey conducted in 2019 shows encouraging progress, with 74.7% of students having a satisfactory level of reading proficiency at the end of elementary school (against 61.1% in 2014), and 65% in mathematics (against 58.8% in 2014). The short-term policy will focus on addressing the socio-economic impact of the pandemic while maintaining a business-friendly agenda.

Development Challenges: In addition to the impact of the COVID-19 pandemic, Senegal is facing multifaceted development challenges related to the structural transformation of the economy, access of the most vulnerable to basic social services and protection and the complex security context in the subregion. Senegal’s new development challenge is to mitigate the socio-economic impact of the pandemic while enabling sustainable and inclusive growth. This will require:

  • Improving resilience to macro-fiscal, environmental, climate change, and social risks to safeguard investments in human capital and household livelihoods.
  • Boosting and protecting human capital for productivity growth and improving access to social services.
  • Enhancing competitiveness and job creation by capitalizing, among others, on improving digital and physical connectivity at the national and regional levels and increasing the efficiency of labour markets.
  • Lowering energy costs, reducing the carbon footprint, and optimizing the energy mix.
  • Promoting the services economy and boosting the productivity and competitiveness of agriculture and related value chains.
  • Using incoming oil revenues to diversify and expand the economy in sustainable non-oil sectors and activities.

DUTIES AND RESPONSIBILITIES

There are three broad functions of the position:

  1. Undertake conflict analysis and provide strategic advice to the Resident Coordinator in his engagement with high-level government officials, academia, civil society including youth and women’s networks, UN Country Teams, HQ, and other relevant stakeholders. Submit the analysis and reporting to the RC, UNDP RR and DPPA-DPO Western Africa Division.
  2. Identify opportunities to build national capacities for conflict prevention including areas of strategic, programmatic and policy engagement with national stakeholders, and support the RC and the UNCT action in areas of conflict prevention, peacebuilding, human rights, humanitarian-development-peace (HDP) nexus, Women, Peace and Security (WPS) and Youth, Peace and Security (YPS) among others.
  3. Establish and strengthen strategic partnerships with key national stakeholders, regional and international actors and development partners on issues related to Sustaining Peace and the 2030 Agenda for Sustainable Development.

PDAs have a primary reporting line to the Resident Coordinator and secondary reporting lines to the DPPA-DPO Western Africa regional division and the UNDP Resident Representative. Under their guidance and agreed workplan, and in close collaboration with the country team, the PDA will:

Undertake conflict analysis and provide strategic advice to the Resident Coordinator in his engagement with high-level government officials, academia, civil society including youth and women’s networks, UN Country Teams, HQ, and other relevant stakeholders. Submit the analysis and reporting to the RC, UNDP RR and DPPA-DPO Western Africa Division:

  • Provide risk-informed analysis to the RC and the broader UNCT (and in some contexts, the Humanitarian Country Team) as well as the UN Headquarters (and regional level as relevant) on political and socioeconomic developments and conflict dynamics. This should include coordination with PDAs in neighbouring countries and relevant UNCT experts as needed and requires identifying appropriate ‘entry points’ for conflict prevention and sustaining peace, proposing concrete, actionable and timely recommendations for consideration by the UN leadership;
  • Strengthen and support the capacity of the UNCT, including through training, to undertake conflict, context and political economy analysis, ensuring that gendered and human rights dimensions are reflected in both analysis and programming; and inform early warning and response mechanisms.
  • Provide updates to the UN Headquarters (and regional level as relevant) in line with the Joint Programme’s reporting guidelines with advice on political and socio-economic developments and conflict dynamics.
  • Support the regular update of the Common Country Assessment (CCA), which informs the design and implementation of the UN Cooperation Framework, including leading the conflict analysis part of the CCA;
  • Regularly brief the UNCT on political developments, and provide strategic advice on integrated approaches across the UNCT in the context of SDG 16 – Peace Justice and Strong Institutions;
  • Facilitate the linking of political economy considerations, conflict and political analysis and strategies, as well as risk-informed approaches to the UN’s programmatic and policy engagement at the country-level; and
  • Engage with academia and think tanks in research and analyses on peace and conflict-related themes, including areas such as climate-related security risk.

Identify opportunities to build national capacities for conflict prevention including areas of strategic, programmatic and policy engagement with national stakeholders, and support the RC and the UNCT action in areas of conflict prevention, peacebuilding, human rights, humanitarian-development-peace (HDP) nexus, Women, Peace and Security (WPS) and Youth, Peace and Security (YPS) among others:

  • Provide strategic and technical advice, and support the design and initiation of peace-promoting initiatives or engagements in areas such as conflict prevention and sustaining peace; infrastructures for peace; dialogue processes; confidence-building measures, electoral violence prevention; social cohesion; reconciliation; countering violent extremism; and stabilization;
  • Support the design and facilitation of national multi-stakeholder processes, building national and local capacity for negotiation, mediation and dialogue; and strengthening networks of mediators and facilitators (including female mediators) at national and local levels.
  • Identify opportunities and options for UN preventive diplomacy engagement as required;
  • Support connecting local and national level conflict prevention and peacebuilding efforts, as well as regional and/or cross-border initiatives as appropriate;
  • Identify and engage civil society actors in the peace and development agenda supported by the UN and work with other UN entities, including OHCHR and UN Women, to protect human rights and expand civic space;
  • Support the UNCT in their efforts on Women, Peace and Security (WPS) and gendered dimensions of peacebuilding and SCR 1325 (and related resolutions) as well as Youth, Peace and Security (YPS) and SCR 2250;
  • Support the design and implementation of strategies for identifying entry points for mainstreaming of conflict prevention and conflict sensitivity in the work of the UNCT (including within the CCA, Cooperation Framework, Country Programme Documents (CPD), etc.); and where relevant, support UN’s resource mobilization efforts for conflict prevention;
  • Provide strategic guidance and quality assurance to the design and implementation of programmes funded by the UN Peacebuilding Fund (PBF), where applicable, and engage closely with PBF governance mechanisms; as well as with DPPA-DPO Western Africa Division and UNDP Country Offices and HQ on the implementation; and
  • In contexts of a UN Mission transition, work closely with relevant stakeholders to ensure that the activities of the UNCT incorporate a conflict prevention dimension to sustain the peacebuilding gains achieved during the mission’s presence.

Establish and strengthen strategic partnerships with key national stakeholders, regional and international actors and development partners on issues related to Sustaining Peace and the 2030 Agenda for Sustainable Development:

  • Establish and maintain networks and strategic partnerships for sustaining peace-related strategies and initiatives and the implementation of the 2030 Agenda and national SDG plans;
  • Liaise closely with national, regional, and local stakeholders including civil society, academia, think tanks, women’s and youth networks and key international actors (including International Financial Institutions and regional organizations) to identify entry points, foster dialogue and strengthen strategic alliances and partnerships on conflict prevention, trust- and confidence-building, and reconciliation initiatives;
  • Maintain close liaison with relevant development partners, the diplomatic corps, regional organizations and other actors supporting the UN’s conflict prevention and peacebuilding efforts.
  • Maintain close contact with relevant staff in UN Headquarters, as well at the regional level including relevant focal points at UNDP, DPPA-DPO Western Africa Division, DCO and work closely with the regional programme specialists based in the region; this should include coordination with PDAs in neighbouring countries;
  • In collaboration with UNDP, support the integration of the UNCT activities related to sustaining peace and the 2030 agenda for sustainable development.
  • Maintain close contact with Special Envoys, Special Representatives of the Secretary-General, political missions and offices where relevant.
  • Liaise with the DPPA-Peacebuilding Support Office together with the respective DPPA-DPO regional division in countries where PBF activities are being developed and/or implemented; and
  • Contribute to the results-based management efforts of the Joint UNDP-DPPA Programme, including through setting up mechanisms to assess and measure the impact of peace and development initiatives and providing the Joint Programme secretariat with inputs on progress at the country level.
  • Coordinate with UNDP governance, rule of law, social cohesion and civic engagement portfolio in view of building synergies as required.

Supervisory/Managerial Responsibilities: Peace and Development Specialist is responsible for the direct supervision of the Peace and Development Officer/Analyst/Specialist (for countries for such positions are established).

QUALIFICATIONS

Education:

  • Advanced university degree (Master’s Degree) in conflict resolution, peace studies, political science, human rights, sociology, international relations, economics, law, public administration, or other related social sciences.

Experience, Knowledge, and Skills:

  • Minimum of 7 years of progressively responsible experience in conflict analysis, strategy development, risk-informed/conflict-sensitive development and/or conflict prevention and sustaining peace in a governmental, multilateral or civil society organization.
  • Proven policy, advisory and advocacy experience and track record of engagement with senior officials, such as in the United Nations, government and external partners.
  • Experience in programming and project management, such as programme design and results monitoring, in areas related to conflict prevention, peacebuilding and/or development.
  • Experience in national and community level conflict prevention and peacebuilding initiatives and programming; with experience in gendered dimensions of peacebuilding being an asset.
  • Experience working within a UN Agency/Fund/Programme or Department and field experience would be a major asset.
  • Experience working in the West African region would be an asset.

Language Requirements:

  • Fluent written and spoken English and French is required. Knowledge of another UN language is an advantage.

Other Requirements:

  • Qualified female candidates are especially encouraged to apply.

COMPETENCIES

Core Competencies

  • Achieve Results: Level 3: Set and align challenging, achievable objectives for multiple projects, have lasting impact
  • Think Innovatively: Level 3: Proactively mitigate potential risks, develop new ideas to solve complex problems
  • Learn Continuously: Level 3: Create and act on opportunities to expand horizons, diversify experiences
  • Adapt with Agility: Level 3: Proactively initiate and champion change, manage multiple competing demands
  • Act with Determination: Level 3: Think beyond immediate task/barriers and take action to achieve greater results
  • Engage and Partner: Level 3: Political savvy, navigate complex landscape, champion inter-agency collaboration
  • Enable Diversity and Inclusion: Level 3: Appreciate benefits of diverse workforce and champion inclusivity

People Management Competencies

UNDP People Management Competencies can be found on the dedicated site.

Cross-Functional & Technical Competencies

Business Direction and Strategy: Strategic Thinking

  • Ability to develop effective strategies and prioritized plans in line with UNDP objectives, based on the systemic analysis of challenges, potential risks and opportunities; linking the vision to reality on the ground, and creating tangible solutions.
  • Ability to leverage learning from a variety of sources to anticipate and respond to future trends; to demonstrate foresight in order to model what future developments and possible ways forward look like for UNDP.

Business Management: Partnerships Management

  • Ability to build and maintain partnerships with wide networks of stakeholders, governments, civil society and private sector partners, experts and others in line with UNDP strategy and policies.

Business Management: Communication

  • Ability to communicate in a clear, concise, and unambiguous manner both through written and verbal communication; to tailor messages and choose communication methods depending on the audience.
  • Ability to manage communications internally and externally, through media, social media, and other appropriate channels.

2030 Agenda People: Gender

  • Women, Peace and Security

Agenda 2030 – Peace: Conflict Prevention, Peacebuilding and Responsive

  • Community engagement for prevention, response, and social cohesion

Agenda 2030 – Peace: Conflict Prevention, Peacebuilding and Responsive

  • Conflict Analysis and conflict sensitivity

Agenda 2030 – Peace: Conflict Prevention, Peacebuilding

  • Prevention of Violent Extremism and Violence Prevention

Please note that continuance of appointment beyond the initial 12 months is contingent upon the successful completion of a probationary period.

UNDP Disclaimer for FTA/TA International Posts

Important information for US Permanent Residents (‘Green Card’ holders)

Under US immigration law, acceptance of a staff position with UNDP, an international organization, may have significant implications for US Permanent Residents. UNDP advises applicants for all professional level posts that they must relinquish their US Permanent Resident status and accept a G-4 visa, or have submitted a valid application for US citizenship prior to commencement of employment.

UNDP is not in a position to provide advice or assistance on applying for US citizenship and therefore applicants are advised to seek the advice of competent immigration lawyers regarding any applications.

Applicant information about UNDP rosters

Note: UNDP reserves the right to select one or more candidates from this vacancy announcement.  We may also retain applications and consider candidates applying to this post for other similar positions with UNDP at the same grade level and with similar job description, experience and educational requirements.

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