Le Centre pour le dialogue humanitaire (HD) est un pionnier de la médiation discrète, impartiale et indépendante des conflits. Alors que nous célébrons notre 25e anniversaire, HD est actif dans la plupart des conflits du monde avec des projets de rétablissement de la paix en Afrique, au Moyen-Orient, en Eurasie et en Asie.
POSTE 1: Conseiller(e)s Médiation (2)
Dans le cadre de ses actions de médiation agro-pastorale au Tchad, HD recherche actuellement 2 conseiller(e)s médiation :
Un(e) conseiller-e médiation basé(e) à Koumra dans le Mandoul (Tchad) ;Un(e) ou deux conseiller-es médiation basé(e)s dans le Mayo-Kebbi Est et/ou Ouest (Tchad).
Lieu d’affectation : Koumra ou une ville à déterminer dans les Mayo-Kebbi.
Durée et type du contrat : Contrat de service, 12 mois renouvelable
Disponibilité : 1er septembre 2024
En Afrique francophone, HD conduit ses efforts à trois niveaux complémentaires : la médiation d’accords politiques nationaux et de leur mise en œuvre en qualité de médiateur ou de soutien à une médiation entre gouvernements et oppositions armées ; la médiation d’accords locaux entre communautés pour la prévention, l’atténuation ou la résolution des conflits locaux en veillant à instituer un mécanisme permanent de gestion des tensions communautaires ; la médiation d’accords de partage des ressources naturelles et de transhumance entre communautés, notamment pastorales et agricoles.
Au cours des quatre années à venir, HD conduira un projet régional de médiation agro-pastorale de large envergure visant à appuyer des mécanismes communautaires de prévention et de gestion des conflits ; à renforcer la gouvernance locale, nationale et sous-régionale de la transhumance ; à entrer en partenariat avec les gestionnaires des parcs et aires protégés pour contribuer au nexus paix-conservation. Le projet sera essentiellement conduit en RCA et au Tchad.
Dans ce contexte, sous la responsabilité du chargé de médiation, et en étroite coordination avec ses collègues, le(a) conseiller(e) assume les responsabilités suivantes :
- Fournir une analyse régulière des dynamiques de conflits agro-pastoraux ou communautaires et proposer des actions de médiation dès que les conditions sont réunies.
- Entretenir et développer un réseau d’interlocuteurs pertinents sur le terrain (communautés, autorités et organisations) pour mener ce travail d’analyse puis de médiation.
- Conseiller et accompagner des réseaux communautaires de médiateurs agro-pastoraux pour qu’ils œuvrent de manière aussi autonome que possible à la prévention, gestion et résolution des conflits agro-pastoraux.
- Mettre en œuvre des processus de médiation complémentaires pour lesquels l’organisation est mandatée, en qualité de médiateur ou de conseiller des parties. Dans ce cadre, faciliter des rencontres au sein et entre les parties prenantes à un conflit afin de soutenir leurs efforts de négociation d’un accord de prévention, gestion ou résolution de leurs différends.
Profil des candidats :
- Avoir un niveau d’étude universitaire (minimum Bac + 2)
- Avoir une expérience d’au moins deux (02) ans dans un poste similaire ;
- Avoir une bonne connaissance des dynamiques agro-pastorales, mais aussi communautaires et sécuritaires, a minima dans les zones d’intervention (Mandoul, Mayo-Kebbi Est ou Ouest – selon la province pour laquelle vous postulez) ;
- Avoir une connaissance des enjeux de gestion des aires naturelles protégées est un atout ;
- Etre capable de se positionner de manière impartiale vis-à-vis des parties à un conflit ;
- Être capable de travailler en équipe et de façon autonome, également sous pression dans des délais courts ;
- Avoir une bonne capacité de collecte des données, d’analyse, de synthèse, et de rédaction des rapports ;
- Avoir une expérience de gestion financière d’activités à conduire ;
- Avoir d’excellentes capacités de représentation publique, mais également rédactionnelles et d’expression orale ;
- Maitriser parfaitement le français et avoir une bonne connaissance d’une ou plusieurs langues locales. Savoir lire et/ou écrire en anglais est un atout.
Si ce poste vous intéresse et que vous remplissez tous les critères définis ci-dessus, merci d’envoyer un dossier complet (CV : maximum 2 pages + une lettre de motivation) à l’adresse suivante [email protected] en précisant vos noms et prénoms, l’intitulé du poste et la localité choisie, d’ici le 11 août 2024.
POSTE 2:
Dans le cadre de ses actions de médiation agro-pastorale en République centrafricaine (RCA), HD recherche actuellement 2 conseiller(e)s médiation :
- Un/une Conseiller-e basé(e) à Bossangoa dans l’Ouham ou Batangafo dans l’Ouham Fafa (RCA) ;
- Un/une Conseiller-e basé (e) à Berberati dans le Mambéré-Kadéï (RCA) ;
En Afrique francophone, HD conduit ses efforts à trois niveaux complémentaires : la médiation d’accords politiques nationaux et de leur mise en œuvre en qualité de médiateur ou de soutien à une médiation entre gouvernements et oppositions armées ; la médiation d’accords locaux entre communautés pour la prévention, l’atténuation ou la résolution des conflits locaux en veillant à instituer un mécanisme permanent de gestion des tensions communautaires ; la médiation d’accords de partage des ressources naturelles et de transhumance entre communautés, notamment pastorales et agricoles.
Au cours des quatre années à venir, HD conduira un projet régional de médiation agro-pastorale de large envergure visant à appuyer des mécanismes communautaires de prévention et de gestion des conflits ; à renforcer la gouvernance locale, nationale et sous-régionale de la transhumance ; à entrer en partenariat avec les gestionnaires des parcs et aires protégés pour contribuer au nexus paix-conservation. Le projet sera essentiellement conduit en RCA et au Tchad.
Dans ce contexte, sous la responsabilité du coordinateur de projet, et en étroite coordination avec ses collègues, le(a) conseiller(e) assume les responsabilités suivantes :
- Fournir une analyse régulière des dynamiques de conflits agro-pastoraux ou communautaires et proposer des actions de médiation dès que les conditions sont réunies.
- Entretenir et développer un réseau d’interlocuteurs pertinents sur le terrain (communautés, autorités, groupes armés et organisations) pour mener ce travail d’analyse puis de médiation.
- Conseiller et accompagner des réseaux communautaires de médiateurs agro-pastoraux pour qu’ils œuvrent de manière aussi autonome que possible à la prévention, gestion et résolution des conflits agro-pastoraux.
- Mettre en œuvre des processus de médiation complémentaires pour lesquels l’organisation est mandatée, en qualité de médiateur ou de conseiller des parties. Dans ce cadre, faciliter des rencontres au sein et entre les parties prenantes à un conflit afin de soutenir leurs efforts de négociation d’un accord de prévention, gestion ou résolution de leurs différends.
Profil des candidat(e)s :
- Avoir un niveau d’étude universitaire (minimum Bac + 2)
- Avoir une expérience d’au moins deux (02) ans dans un poste similaire ;
- Avoir une bonne connaissance des dynamiques agro-pastorales, mais aussi communautaires et sécuritaires, a minima dans les zones d’intervention (Ouham, Ouham Fafa ou Mambéré-Kadéï – selon la préfecture pour laquelle vous postulez) Dans la région de l’Ouham.
- Etre capable de se positionner de manière impartiale vis-à-vis des parties à un conflit ;
- Être capable de travailler en équipe et de façon autonome, également sous pression dans des délais courts ;
- Avoir une bonne capacité de collecte des données, d’analyse, de synthèse, et de rédaction des rapports ;
- Avoir une expérience de gestion financière d’activités à conduire ;
- Avoir d’excellentes capacités de représentation publique, mais également rédactionnelles et d’expression orale ;
- Maitriser parfaitement le français et avoir une bonne connaissance d’une ou plusieurs langues locales. Savoir lire et/ou écrire en anglais est un atout.
Si ce poste vous intéresse et que vous remplissez tous les critères définis ci-dessus, merci d’envoyer un dossier complet (CV : maximum 2 pages + une lettre de motivation) à l’adresse suivante [email protected] en précisant vos noms et prénoms, l’intitulé du poste et la localité choisie, d’ici le 11 août 2024.