L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) contribue à la réalisation du Programme 2030 à travers le Cadre stratégique de la FAO en soutenant la transformation vers des systèmes agroalimentaires PLUS efficaces, inclusifs, résilients et durables, pour une meilleure production, une meilleure nutrition, un meilleur environnement et une meilleure vie, ne laissant personne de côté.
Chargé de soutien aux investissements
Le poste est à pourvoir au sein du Service Afrique de l’Ouest et du Centre (CFIE) du Centre d’investissement de la FAO (CFI) et basé au Bureau de partenariat et de liaison de la FAO (FRIVC) à Abidjan, en Côte d’Ivoire.
Lignes hiérarchiques
Le chargé d’appui aux investissements relève du Chef du Service Afrique de l’Ouest et du Centre (CFIE) du Centre d’investissement de la FAO (CFI) et travaille en collaboration avec le Représentant de la FAO, FRIVC.
Fonctions clés
-Participe et dirige éventuellement des équipes multidisciplinaires pour l’accompagnement de la mise en œuvre et la préparation de l’évaluation finale des solutions d’investissement et de soutien financier.
-Soutient le développement de systèmes alimentaires inclusifs et durables impliquant les producteurs, leurs organisations, d’autres acteurs du secteur privé, les organisations de la société civile et les gouvernements.
-Prépare les documents conformément aux exigences de la FAO, des gouvernements et des partenaires financiers.
-Fournit un soutien dans l’organisation des tâches, la sélection des consultants, la préparation des termes de référence et dans la garantie de la qualité des résultats.
-Encourage la coopération et la collaboration internationales menant à de nouvelles opportunités d’investissement et à des accords de coopération, défend les meilleures pratiques et un dialogue politique efficace et fournit une expertise technique lors de réunions internationales.
-Établir, promouvoir et entretenir des relations avec les domaines prioritaires du programme concernés, les unités techniques de la FAO et les bureaux décentralisés afin de garantir les meilleures synergies entre les travaux d’investissement, de politique et d’innovation à l’appui des Membres.
-Participe aux activités de mobilisation des ressources conformément au Cadre institutionnel de la FAO.
-Fournit des conseils et des orientations au personnel subalterne.
LES CANDIDATS SERONT ÉVALUÉS SELON LES ÉLÉMENTS SUIVANTS
Exigences minimales
-Diplôme universitaire supérieur en économie, économie agricole, sciences agricoles, sciences de l’environnement, gestion agroalimentaire, gestion des ressources naturelles, ingénierie de l’irrigation et du drainage, ingénierie des infrastructures rurales, sciences sociales, administration des affaires ou dans un domaine connexe.
-Sept années d’expérience pertinente dans la conduite d’études analytiques du secteur/sous-secteur agricole/rural et/ou dans la planification, la conception, la supervision d’opérations d’investissement agricole et rural, y compris l’élaboration d’études de faisabilité et la mise en œuvre d’opérations d’investissement agricole et rural dans les pays en développement et/ou les pays en transition.
-Connaissance pratique (niveau de compétence C) de l’anglais et connaissance intermédiaire (niveau de compétence intermédiaire B) d’une autre langue officielle de la FAO (arabe, chinois, français, russe ou espagnol).
Compétences
Résultats
Travail d’équipe
Communication
Établir des relations efficaces
Partage des connaissances et amélioration continue.
Compétences techniques/fonctionnelles
-Expérience de travail dans plus d’un lieu ou domaine d’activité, notamment dans des postes sur le terrain au sein de la région.
-Étendue et pertinence de l’expérience dans la participation, et éventuellement la direction, d’équipes multidisciplinaires pour la préparation de stratégies, d’études sectorielles et de programmes/projets d’investissement.
-La connaissance du contexte, ainsi que des partenaires et des institutions de la sous-région spécifique serait un atout.
-Expérience avérée dans les relations avec les représentants du gouvernement, les partenaires de développement et d’autres parties prenantes du pays.
-A démontré sa capacité à rédiger des rapports techniques en français.
-Une connaissance pratique (niveau C) du français serait un atout important.