L’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) est une institution spécialisée internationale de l’Organisation des Nations unies, créée le 16 novembre 1945 à la suite des dégâts et des massacres de la Seconde Guerre mondiale.
Poste 1 : COORDONNATEUR(TRICE) PROJET PBF (Cameroun)
RESUME DES FONCTIONS DU POSTE
L’UNESCO et UNOPS ont obtenu avec le soutien des autorités camerounaises un nouveau financement du fonds des Nations Unies pour la consolidation de la paix (PBF) pour mettre en œuvre le projet intitulé : « Renforcement du rôle des jeunes dans la promotion du vivre ensemble et du multiculturalisme à travers l’éducation secondaire et les centres d’apprentissage non formel et informel au Cameroun ». Ce projet a pour objectif de contribuer à la mitigation des tensions et de prévenir l’apparition de conflits entre les personnes déplacées et les communautés d’accueil, en renforçant le rôle des jeunes dans la promotion du vivre ensemble et du multiculturalisme dans les milieux éducatifs et communautaires. Le projet favorisera un meilleur respect et une promotion de la diversité culturelle et linguistique comme point d’entrée pour réduire les perceptions négatives, la stigmatisation et favoriser la confiance en soi et le bien-être, le dialogue intercommunautaire et interculturel pour les communautés d’accueil et les personnes déplacées.
Pour coordonner sa mise en œuvre, le Bureau régional de l’UNESCO pour l’Afrique centrale recrute un(e) Coordonnateur(trice) de projet.
Il/elle sera placé(e) sous l’autorité du Directeur du Bureau régional de l’UNESCO pour l’Afrique centrale et la supervision directe du Spécialiste régional et Chef du Secteur de la Culture. Le/la Coordonnateur(trice) du projet assurera plus spécifiquement les fonctions ci-après :
Gestion et coordination du projet
- Coordonner, et faciliter la mise en œuvre des activités liées au projet avec toutes les parties prenantes concernées ;
- Assurer l’élaboration et la préparation des plans de travail annuels pour les activités en assurant la cohérence et la qualité des interventions avec le cadre de résultats du projet ;
- Élaborer des indicateurs de performance et un système de suivi / évaluation pour évaluer régulièrement les impacts du projet ;
- Veiller à l’alignement du projet avec le plan prioritaire et les autres interventions en cours ou prévues, afin d’éviter les duplications et de favoriser la convergence et la complémentarité des actions ;
- Assurer une veille sur les risques autour de la mise en œuvre du projet et soumettre pour décision les actions possibles si nécessaire ;
- Fournir l’expertise et le soutien techniques nécessaires dans la réalisation des différentes composantes et activités du projet ;
- Assurer l’interface avec le secrétariat du PBF basé au Bureau du coordonnateur du système des Nations Unies au Cameroun ;
- Veiller à la pleine participation de l’équipe multipartite Gouvernement du Cameroun-UNESCO-UNOPS en mettant en place et en animant un mécanisme participatif de suivi et de préparation des contributions du projet aux réunions du Comité de pilotage du PBF;
- Assurer la liaison avec les ministères sectoriels ciblés, les collectivités territoriales décentralisées, les autres agences des Nations Unies, les organisations non gouvernementales, les acteurs locaux et les autres parties prenantes pour assurer la mise en œuvre efficace du projet ;
- Veiller au respect général des règlements administratifs et financiers et aux exigences budgétaires de l’UNESCO dans la mise en œuvre du projet ;
- Coordonner l’élaboration des différents rapports liés au projet, ainsi que les contributions aux rapports et documents stratégiques sur l’état de la consolidation de la paix dans le pays ;
- Fournir des rapports d’avancement réguliers et contribuer au rapport global de mise en œuvre du projet.
Intersectorialité, partenariats et mobilisation des ressources
- Renforcer la collaboration intersectorielle notamment avec les programmes tels que l’accès à l’information, l’éducation à la citoyenneté mondiale, la stratégie et le plan d’action des Nations unies pour lutter contre les discours de haine, la stratégie de promotion de l’éducation aux médias et à l’information afin de renforcer l’impact du projet ;
- Contribuer, en collaboration avec le secteur Communication et Information à l’atteinte des objectifs liés à la promotion et la protection de la diversité linguistique et du multilinguisme et à l’appui à la mise en œuvre le plan d’action mondial de la Décennie internationale des langues autochtones ;
- Développer et établir de nouveaux partenariats, synergies et toutes formes de collaboration nécessaires à la réalisation des objectifs du projet et à la capitalisation des acquis de celui-ci par le biais de la mise en réseau et de la collaboration proactive avec des organisations de la société civile nationale et internationale, des groupes communautaires, des dirigeants et d’autres partenaires essentiels ;
- Contribuer à la formulation de nouvelles propositions de projets et programmes susceptibles d’être financés par le PBF ;
- Appuyer à l’échelle régionale, le développement d’initiatives visant à capitaliser les acquis de ce projet ;
- Mobiliser des ressources pour la mise à échelle du présent projet.
Communication et visibilité
- Apporter son expertise au gouvernement, aux organisations de la société civile et au secteur privé dans la préparation des activités, la formulation des projets et des programmes, sur les développements et sur les bonnes pratiques dans le domaine de la communication et de l’information ;
- Coordonner l’élaboration d’un Plan de communication du projet ;
- Superviser l’élaboration des outils de communication et de visibilité du projet, des résultats, du bailleur, de la documentation et publication des bonnes pratiques ;
- Signaler à l’équipe Communication et Engagement du public (CPE) toute initiative, résultat, bonne pratique qui méritent une attention particulière dans le cadre de la visibilité du projet ;
- Mettre en place un système de gestion de l’information, des connaissances et de leçons apprises sur la base des résultats du projet ;
- Effectuer toutes les tâches supplémentaires requises et assignées par le Chef de secteur.
COMPETENCES (Fondamentales / Managériales)
Responsabilité (F)
Communication (F)
Innovation (F)
Partage des connaissances et volonté constante d’amélioration (F)
Planification et organisation (F)
Culture du résultat (F)
Travail en équipe (F)
Pour plus d’informations, merci de consulter le Référentiel des compétences de l’UNESCO.
QUALIFICATIONS REQUISES
Education
- Diplôme universitaire supérieur (Master ou équivalent) dans le domaine du développement international, paix et développement, culture, des sciences sociales, des sciences politiques, des relations internationales ou dans une discipline connexe.
Expérience Professionnelle
- Expérience pertinente de 7 ans minimum en gestion, coordination des projets ou programmes de développement ;
- Expérience en analyse des conflits, programmation sensible au conflit et dans la mise en œuvre des projets liées à la cohésion sociale, de prévention des conflits, de consolidation de la paix ;
- Expérience dans la gestion des problématiques liées à la gestion de la diversité culturelle et au multiculturalisme au Cameroun ;
- Expérience pertinente dans la conception, la planification et la mise en œuvre des stratégies et interventions pour les changements de comportement et le changement social. Une expérience dans ce domaine dans un contexte post-crise serait un atout ;
- Expérience dans la coordination de projets impliquant de multiples intervenants, notamment différentes agences des Nations Unies et des organes de coordination ;
- Expérience pertinente dans la gestion de programmes et de l’approche axée sur les résultats ;
- Expérience dans la conduite des consultations avec le gouvernement et les donateurs ;
- Expérience en suivi et évaluation des projets ;
- Expérience préalable avec les Nations Unies serait un atout.
Langues
- Très bonne maîtrise du français et de l’anglais (parlé et écrit).
QUALIFICATIONS SOUHAITEES
Savoir-faire et compétences
- Excellentes compétences en communication orale et écrite avec des interlocuteurs de haut niveau pour faciliter la liaison avec le gouvernement et les organisations internationales ;
- Capacité à assurer des responsabilités au sein d’une équipe, à prendre des initiatives à soutenir les autres membres du personnel et à fournir des services de qualité dans les temps requis ;
- Capacité à travailler en équipe et au sein d’équipes multiculturelles et multisectorielles ;
- Bonnes compétences informatiques (MS Word, Excel, Powerpoint, systèmes de base de données, Outlook, etc.) ;
- Dynamisme, esprit d’initiative et goût d’acquérir de nouvelles connaissances ;
- Excellentes capacités d’écoute et d’encadrement.
Autres compétences
- La connaissance de la problématique de consolidation de la paix dans le pays serait un atout;
- Connaissance des cadres, des pratiques et des sensibilités en matière de cohésion sociale, de prévention des conflits, de consolidation de la paix et de la promotion de la diversité culturelle ;
- Une connaissance des procédures du PBF et des Nations Unies est souhaitable ;
PROCESSUS DE SÉLECTION ET DE RECRUTEMENT
Veuillez noter que tous les candidats doivent remplir une demande en ligne et fournir des informations complètes et exactes. Pour postuler, veuillez visiter le site Web de l’UNESCO carrières. Aucune modification ne peut être apportée à la candidature soumise.
L’évaluation des candidats est basée sur les critères de l’avis de vacance de poste et peut inclure des tests et/ou des évaluations, ainsi qu’un entretien basé sur les compétences.
L’UNESCO utilise des technologies de communication telles que la vidéo ou la téléconférence, la correspondance par e-mail, etc. pour l’évaluation des candidats.
Veuillez noter que seuls les candidats sélectionnés seront contactés et que les candidats à l’étape de sélection finale seront soumis à une vérification des références sur la base des informations fournies.
L’UNESCO rappelle que la considération dominante dans le recrutement du personnel doit être la nécessité d’assurer à l’Organisation les services de personnes possédant les plus hautes qualités de travail, de compétence et d’intégrité. L’UNESCO applique une politique de tolérance zéro à l’égard de toute forme de harcèlement. L’UNESCO s’est engagée à atteindre et à maintenir une répartition géographique équitable et diversifiée, ainsi que la parité des genres parmi les membres de son personnel dans toutes les catégories et à tous les niveaux. En outre, l’UNESCO est résolue à atteindre une diversité de personnel sur le plan du genre, de la nationalité et de la culture. Les candidatures de ressortissants d’États membres non et sous-représentés (veuillez cliquer ici pour la dernière mise à jour) sont particulièrement bienvenues et vivement encouragées. Les personnes issues de groupes minoritaires et de groupes autochtones, ainsi que les personnes handicapées, sont également encouragées à postuler. Toutes les candidatures seront traitées avec la plus grande confidentialité. Une mobilité mondiale est requise pour les membres du personnel nommés sur des postes internationaux.
L’UNESCO ne prend de frais à aucune étape du recrutement.
Poste 2 : RESPONSABLE NATIONAL(E) DE PROJET (Cameroun)
RESUME DES FONCTIONS DU POSTE
Sous l’autorité générale du Sous-Directeur général pour l’éducation, les orientations du Directeur du Bureau régional de l’UNESCO pour l’Afrique Centrale et la supervision directe du Coordonnateur régional pour l’éducation (basé à Yaoundé) et en étroite collaboration avec le Conseiller régional de l’éducation pour la santé et le bien-être pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre (basé à Dakar), le/la titulaire du poste sera responsable de la planification, de la mise en oeuvre et du suivi efficaces du travail de l’UNESCO sur l’éducation pour la santé et le bien-être à travers le programme Nos droits, nos vies, notre avenir (O3) et le Cadre Unifié du budget, des résultats et des responsabilités du Secrétariat de l’ONUSIDA (UBRAF) au Cameroun et dans les pays d’Afrique centrale ne disposant pas de représentation nationale de l’UNESCO (RCA, Sao Tomé, Guinée équatoriale).
Il / elle se chargera de fournir une expertise technique sur des thèmes clés, notamment l’éducation complète à la sexualité (ECS), le genre, la violence sexiste et la discrimination en milieu scolaire, la violence interpersonnelle, les IST/et le VIH, les avortements à risque, la mauvaise alimentation, la consommation des drogues et d’autres questions sanitaires, mais aussi les conditions sociales et économiques qui y contribuent, reconnues dans le protocole de Maputo (2003), le plan d’action de Maputo (2016-2030) et la Charte africaine des droits et du bien-être de l’enfant (1990), comme le mariage des enfants, l’exploitation, les pratiques néfastes telles que les mutilations génitales féminines.
Le/la titulaire du poste travaillera sous l’autorité générale du Directeur du Bureau régional de l’UNESCO à Yaoundé, la supervision directe du Chef du Secteur Education et en étroite collaboration avec les autres spécialistes du secteur Education. A ce titre, il/elle assurera les tâches et responsabilités suivantes :
Programme et support technique pour le programme O3 et UBRAF
- Identifier les opportunités d’engagement de l’UNESCO dans l’élaboration de politiques et la programmation sur le VIH, l’éducation sexuelle et d’autres questions de santé (dans le cadre de la nouvelle Stratégie de l’UNESCO sur la santé et le bien-être (2022 -2029), la Stratégie mondiale de lutte contre le sida 2021-2026 (ONUSIDA), la stratégie continentale de l’Union Africaine sur l’Éducation pour la santé et le bien-être des jeunes en Afrique qui découle de la CESA (2016-2025), les stratégies nationales et la division du travail de l’ONUSIDA) ;
- Faciliter le processus de planification stratégique au sein de l’UNESCO pour l’engagement dans ces opportunités ;
- Assurer la liaison avec les structures de l’UNESCO, y compris la Section de la santé et de l’éducation au siège de l’UNESCO et les collègues du Bureau régional pour l’Afrique centrale et la sous-région travaillant sur le VIH et le sida, en particulier l’équipe régionale du VIH et du sida pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre ;
- Soutenir la programmation de l’UNESCO sur l’éducation à la santé, en collaboration avec d’autres membres du personnel travaillant sur le VIH et l’éducation à la santé, en mettant particulièrement l’accent sur les interventions soutenant les efforts nationaux de prévention des IST et du VIH, l’intensification de l’éducation sexuelle, la prévention des violences basées sur le genre, la violence sexiste en milieu scolaire, les grandes pandémies et d’autres questions sanitaires ;
- Faciliter les appuis techniques aux ministères de l’Éducation, de la formation et aux autres partenaires nationaux et régionaux, en particulier dans l’élaboration des programmes d’études et de formation ;
- Soutenir les interventions de renforcement des capacités dans le secteur de l’éducation et de la formation, à travers l’organisation de réunions et d’ateliers pour développer une action globale sur le VIH et la santé et contribuer aux réponses nationale et régionale ;
- Contribuer aux efforts de plaidoyer au niveau régional et des pays, afin de faire progresser l’utilisation des preuves et de renforcer les réponses conjointes des Nations Unies et nationales au VIH et au SIDA.
Planification, budgétisation, M&E et rapports
- Soutenir la planification stratégique et la budgétisation de l’engagement de l’UNESCO dans la programmation du VIH et des droits sexuels et reproductifs au Cameroun et dans les pays d’Afrique centrale ne disposant pas de représentation nationale de l’UNESCO (RCA, Sao Tomé, Guinée équatoriale) conformément aux engagements de l’UNESCO en tant que Co-sponsor de l’ONUSIDA ;
- Soutenir la mise en oeuvre, le suivi et l’évaluation des programmes en temps opportun, ainsi que les rapports pour les projets O3 et UBRAF;
- Aider à élaborer des plans d’action et des mécanismes concrets de collaboration avec les communautés économiques régionales, telles que la CEMAC et la CEEAC sur les projets O3 et UBRAF;
- Soutenir le suivi des dépenses des projets O3 et UBRAF conformément au budget approuvé, en liaison avec les responsables nationaux et régionaux du programme 03 et UBRAF en Afrique centrale et du siège ;
- Assurer des rapports narratifs et financiers en temps opportun sur les éléments des projets nationaux O3 et UBRAF ainsi que du portefeuille budgétaire relevant de la responsabilité du titulaire, tant au sein de l’UNESCO qu’aux donateurs externes, le cas échéant.
Représentation et relations partenaires
- Représenter l’UNESCO dans les forums de coordination appropriés, tels que les équipes conjointes des Nations Unies sur le VIH et le sida, les groupes régionaux de travail, les réunions inter institutions et les réunions thématiques ;
- Développer et entretenir des relations de partenariat avec les ministères de l’éducation et de la formation, les ministères de la santé, les commissions nationales pour l’UNESCO, les organismes nationaux et les partenaires au développement, y compris les organisations de la société civile. Fournir des conseils techniques et des directives pour le développement ultérieur de leurs capacités et activités ;
- Soutenir la participation de l’UNESCO aux structures et processus régionaux.
Mobilisation des ressources
- Soutenir les efforts de mobilisation des ressources, y compris l’élaboration de propositions de l’UNESCO et de ses partenaires, et fournir une assistance technique aux ministères de l’éducation et de la santé pour accéder au financement de la réponse du secteur de l’éducation au VIH et à d’autres problèmes de santé.
COMPETENCES (Fondamentales / Managériales)
QUALIFICATIONS REQUISES
Éducation
- Un diplôme universitaire supérieur (Master II ou équivalent) en éducation, sciences humaines ou sociales, santé publique ou dans un domaine pertinent relevant des thématiques clés.
Expérience professionnelle
- Au moins cinq années d’expérience professionnelle pertinente dans les domaines liés à l’éducation pour la santé et le bien-être, l’éducation sexuelle et reproductive, la violence sexiste et la discrimination en milieu scolaire et extrascolaire ;
- Expérience de travail dans les fora, groupes thématiques et équipes de coordination sur le VIH et le sida (équipes conjointes des Nations Unies sur le VIH et le sida, groupe de coordination nationale sur la santé sexuelle et reproductive des adolescents, etc.) ;
- Expérience dans l’élaboration des programmes d’études et de formation l’évaluation des apprentissages y compris l’utilisation des dispositifs technologiques en éducation ;
- Expérience avérée dans la planification stratégique et la gestion des projets, notamment en ce qui concerne le suivi e-évaluation des projets éducatifs ;
- Expérience réussie dans la mobilisation des ressources ;
- Expérience d’enseignement, de travail collaboratif et d’interactions dans les forums de discussion des adolescents/jeunes serait un atout.
Aptitudes et compétences
- Capacité à gérer des budgets et à rendre compte de la mise en oeuvre;
- Bonne compréhension du pays et de la sous-région, du travail de développement du secteur de l’éducation ;
- Connaissances approfondies et haut niveau de compétences en rédaction technique sur la prévention du VIH, l’éducation sexuelle et la violence sexiste en milieu scolaire ;
- Capacité d’effectuer plusieurs tâches, d’établir des priorités et de respecter les délais, ainsi que de travailler sous pression ;
- Excellentes compétences en réseautage et compétences de haut niveau en matière de représentation et de création de partenariats, impliquant un large éventail de partenaires (y compris les ministères concernés, les co-sponsors de l’ONUSIDA, les donateurs et la société civile);
- Excellentes qualités relationnelles, tact et diplomatie;
- Capacité à travailler en équipe et au sein d’équipes multiculturelles et multisectorielles;
- Excellentes compétences stratégiques et analytiques;
- Excellentes aptitudes de communication;
- Excellentes capacités d’écoute et d’encadrement.
Langues
- Excellente connaissance (orale et écrite) du français et une bonne connaissance de l’anglais.
SALAIRES ET INDEMNITES
Les salaires de l’UNESCO se composent d’un salaire de base et d’autres avantages qui peuvent inclure, le cas échéant : 30 jours de congé annuel, allocation familiale, assurance médicale, régime de retraite, etc.
Le traitement annuel de départ pour ce poste est de l’ordre de 43,700 dollars des États-Unis.
Pour plus d’informations sur les salaires et indemnités, veuillez consulter notre Guide sur les salaires et indemnités au personnel.
PROCESSUS DE SÉLECTION ET DE RECRUTEMENT
Veuillez noter que tous les candidats doivent remplir une demande en ligne et fournir des informations complètes et exactes. Pour postuler, veuillez visiter le site Web de l’UNESCO carrières. Aucune modification ne peut être apportée à la candidature soumise.
L’évaluation des candidats est basée sur les critères de l’avis de vacance de poste et peut inclure des tests et/ou des évaluations, ainsi qu’un entretien basé sur les compétences.
L’UNESCO utilise des technologies de communication telles que la vidéo ou la téléconférence, la correspondance par e-mail, etc. pour l’évaluation des candidats.
Veuillez noter que seuls les candidats sélectionnés seront contactés et que les candidats à l’étape de sélection finale seront soumis à une vérification des références sur la base des informations fournies.
L’UNESCO rappelle que la considération dominante dans le recrutement du personnel doit être la nécessité d’assurer à l’Organisation les services de personnes possédant les plus hautes qualités de travail, de compétence et d’intégrité. L’UNESCO applique une politique de tolérance zéro à l’égard de toute forme de harcèlement. L’UNESCO s’est engagée à atteindre et à maintenir une répartition géographique équitable et diversifiée, ainsi que la parité des genres parmi les membres de son personnel dans toutes les catégories et à tous les niveaux. En outre, l’UNESCO est résolue à atteindre une diversité de personnel sur le plan du genre, de la nationalité et de la culture. Les candidatures de ressortissants d’États membres non et sous-représentés (veuillez cliquer ici pour la dernière mise à jour) sont particulièrement bienvenues et vivement encouragées. Les personnes issues de groupes minoritaires et de groupes autochtones, ainsi que les personnes handicapées, sont également encouragées à postuler. Toutes les candidatures seront traitées avec la plus grande confidentialité. Une mobilité mondiale est requise pour les membres du personnel nommés sur des postes internationaux.
L’UNESCO ne prend de frais à aucune étape du recrutement.
Poste 3 : CHARGE(E) DE L’INFORMATION DU PUBLIC (Gabon)
RESUME DES FONCTIONS DU POSTE
Sous la supervision directe du Représentant résident de l’UNESCO au Gabon, le (la) contractant(e) devra s’acquitter des fonctions suivantes :
Le (la) Responsable de l’information du public est chargée de l’exécution et du suivi des tâches relatives à la communication interne et externe du Bureau en adéquation avec la stratégie de communication de l’organisation. A cet effet, les principales tâches spécifiques à ce poste sont :
– Etablir et assurer la liaison régulière avec un réseau de professionnels des médias et des organes de communication ;
– Rédiger et éditer les contenus pour l’alimentation du site web et des comptes de réseaux sociaux du bureau ;
– Rédiger les communiqués de presse et dossiers de presse à transmettre aux journalistes.
– Assurer la production des supports de communication pour des évènements et activités organisés par le bureau ;
– Proposer des plans de communication et assurer l’organisation des actions de communication (conférence de presse, couverture médiatique, etc.) selon les activités menées par le bureau ;
– Préparer et éditer un bulletin trimestriel et le rapport annuel du bureau pour diffusion auprès d’un large public ;
– Assurer la participation effective de l’UNESCO aux activités du Groupe de Communication des Nations Unies au Gabon ;
– Faire des propositions pour une meilleure efficacité de l’action de communication du Bureau. ;
– Elaborer le rapport de la visibilité du Bureau ;
Le (la) contractant(e) s’engage à accomplir ces tâches avec soin et diligence, ainsi qu’à suivre les instructions de son superviseur.
L’UNESCO peut assigner d’autres tâches au contractant ou modifier celles qui lui sont confiées sans son consentement, à condition que ces tâches soient conformes aux fonctions énoncées ci-dessus.
COMPETENCES (Fondamentales / Managériales)
QUALIFICATIONS REQUISES
Formation :
Diplôme universitaire, de niveau Bac+3 minimum, dans les domaines relatifs au journalisme, aux relations publiques ou à la communication.
Expérience :
Minimum 3 années d’expérience professionnelle dans les domaines relatifs au journalisme.
Savoir-faire/Compétences :
Une excellente capacité rédactionnelle (en français – primo – et en anglais), d’analyse et de synthèse;
Une excellente connaissance du paysage médiatique du Gabon ainsi qu’une bonne capacité à établir et maintenir des relations avec les médias;
La maîtrise du processus d’élaboration, de la mise en œuvre et du suivi d’un plan de communication;
Une bonne maîtrise des outils de communication et une connaissance des principes d’édition;
Une très bonne connaissance des techniques d’utilisation des réseaux sociaux à des fins de communication institutionnelle;
Une maîtrise courante des outils informatiques de mise en page de texte, d’édition photos/vidéos et de gestion de contenus en ligne;
Expérience reconnue en leadership et capacité avérée à diriger des évènement, programmes et des activités ;
Connaissances avérées dans l’utilisation des platforms médias (réseaux sociaux en ligne Facebook, Instagramme, Tweeter etc…) avec les approches et les méthodes des organisations internationales, non-gouvernementales ou intergouvernementales;
Capacité à coordonner une équipe et à travailler sous pression et dans un environnement multiculturel.
Langues
Excellente connaissance du français écrit et parlé;
Une bonne connaissance de l’anglais, écrit et parlé serait un atout.
QUALIFICATIONS SOUHAITEES
Formation :
Diplôme universitaire, de niveau Bac+3 ou supérieur, dans les domaines relatifs au journalisme, aux relations publiques ou à la communication.
Expérience :
Minimum 3 années ou plus d’expérience professionnelle dans les domaines relatifs au journalisme.
Savoir-faire/Compétences :
Une excellente capacité rédactionnelle (en français – primo – et en anglais), d’analyse et de synthèse;
Une excellente connaissance du paysage médiatique du Gabon ainsi qu’une bonne capacité à établir et maintenir des relations avec les médias;
La maîtrise du processus d’élaboration, de la mise en œuvre et du suivi d’un plan de communication;
Une excellente maîtrise des outils de communication et une connaissance des principes d’édition;
Une très bonne connaissance des techniques d’utilisation des réseaux sociaux à des fins de communication institutionnelle;
Une très bonne maîtrise courante des outils informatiques de mise en page de texte, d’édition photos/vidéos et de gestion de contenus en ligne;
Expérience reconnue en leadership et capacité avérée à diriger des évènement, programmes et des activités ;
Connaissances avérées dans l’utilisation des platforms médias (réseaux sociaux en ligne Facebook, Instagramme, Tweeter etc…) avec les approches et les méthodes des organisations internationales, non-gouvernementales ou intergouvernementales;
Connaissance avérées en Spécialiste en E-Reputation;
Capacité à coordonner une équipe et à travailler sous pression et dans un environnement multiculturel.
Langues
Excellente connaissance du français écrit et parlé;
Excellente connaissance de l’anglais, écrit et parlé serait un atout.
SALAIRES ET INDEMNITES
La rémunération est établie sur la base de la grille des salaires locaux du Système des Nations Unies au Gabon et payés en monnaie locale. De surcroît, l’UNESCO offre 30 jours de congé annuel ouvrables, une assurance médicale locale doit être présentée à la signature du contrat. L’UNESCO est une organisation non-fumeurs. Pour plus d’informations prière de consulter : ICSC website
PROCESSUS DE SÉLECTION ET DE RECRUTEMENT
Veuillez noter que tous les candidats doivent remplir une demande en ligne et fournir des informations complètes et exactes. Pour postuler, veuillez visiter le site Web de l’UNESCO carrières. Aucune modification ne peut être apportée à la candidature soumise.
L’évaluation des candidats est basée sur les critères de l’avis de vacance de poste et peut inclure des tests et/ou des évaluations, ainsi qu’un entretien basé sur les compétences.
L’UNESCO utilise des technologies de communication telles que la vidéo ou la téléconférence, la correspondance par e-mail, etc. pour l’évaluation des candidats.
Veuillez noter que seuls les candidats sélectionnés seront contactés et que les candidats à l’étape de sélection finale seront soumis à une vérification des références sur la base des informations fournies.
L’UNESCO rappelle que la considération dominante dans le recrutement du personnel doit être la nécessité d’assurer à l’Organisation les services de personnes possédant les plus hautes qualités de travail, de compétence et d’intégrité. L’UNESCO applique une politique de tolérance zéro à l’égard de toute forme de harcèlement. L’UNESCO s’est engagée à atteindre et à maintenir une répartition géographique équitable et diversifiée, ainsi que la parité des genres parmi les membres de son personnel dans toutes les catégories et à tous les niveaux. En outre, l’UNESCO est résolue à atteindre une diversité de personnel sur le plan du genre, de la nationalité et de la culture. Les candidatures de ressortissants d’États membres non et sous-représentés (veuillez cliquer ici pour la dernière mise à jour) sont particulièrement bienvenues et vivement encouragées. Les personnes issues de groupes minoritaires et de groupes autochtones, ainsi que les personnes handicapées, sont également encouragées à postuler. Toutes les candidatures seront traitées avec la plus grande confidentialité. Une mobilité mondiale est requise pour les membres du personnel nommés sur des postes internationaux.
L’UNESCO ne prend de frais à aucune étape du recrutement.