L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) est une organisation spécialisée du système des Nations unies, créée en 1945 à Québec. Son siège est à Rome, au Palazzo FAO, depuis 1951
POSTE 1: Consultant International, Spécialiste en Opérations
Cadre organisationnel
Afin de pouvoir répondre efficacement aux nombreuses sollicitations en matière de formulation de projets dans ses divers domaines de compétences, la FAO Bénin envisage de renforcer son staffing par le recrutement d’un Expert International, Spécialiste en Opérations.
Position hiérarchique
Sous la supervision générale du Représentant de la FAO au Bénin, avec un appui fonctionnel du bureau sous régional pour l’Afrique de l’Ouest (SFW), et en étroite collaboration avec le programme et l’administration de la représentation, les coordonnateurs de projets et en consultation avec les autres unités pertinentes de RAF, du siège de la FAO, le Spécialiste en Opérations est responsable des opérations des projets et programmes mis en œuvre sur le terrain qui lui sont assignés, conformément aux règles et procédures de la FAO, aux lignes directrices et bonnes pratiques disponibles dans l’Organisation.
Domaine de spécialisation
Opérations, Modalités OPIM, Suivi et gestion des projets, Préparation de documents de projets.
Tâches et responsabilités
Le Consultant International, Spécialiste en Opérations, sera chargé de :
• Suivre la situation financière des projets et assurer une gestion appropriée des budgets des projets, contribuer à la préparation des rapports et révisions budgétaires conformément aux accords de financements avec les donneurs et aux règles de l’Organisation, et au besoin appuyer à trouver des mesures/solutions correctives pour surmonter les contraintes opérationnelles, entre autres sur les modalités OPIM ;
• Coordonner la préparation dans les délais de tous les rapports de projets requis, incluant les rapports de mise en œuvre trimestriels (QPIR) et tout autre rapport lié aux programmes terrain comme sollicité par l’Organisation ;
• Contribuer à la préparation des rapports d’analyse sur les performances des projets comme requis par les donneurs
• Coordonner les actions relatives à la clôture opérationnelle et financière des projets et la préparation dans les délais des rapports adéquats, incluant l’identification des suites à donner aux projets et le transfert des équipements aux institutions homologues ;
• Appuyer le bureau dans sa collaboration avec les autres partenaires au développement au Bénin pour voir les possibilités existantes d’élaborer des projets conjoints, harmoniser et avoir une synergie dans les interventions pour éviter les doublons ;
• Veiller à ce que la documentation et les données des projets soient renseignées dans le système d’information et de gestion des programmes de terrain (FPMIS/ Dataware house) pour tous les projets mis en œuvre dans le pays, incluant les propositions du pipeline ;
• Contribuer à la formulation et/ou l’évaluation de nouveaux projets/notes conceptuelles ainsi que leurs opportunités de financement, répondant aux priorités du Bénin ;
• Contribuer à l’élaboration des chronogrammes de travail et préparer la documentation des projets pour les réunions de pilotages, participer et assurer le secrétariat de ces réunions ;
• Assurer la mise à disposition à temps des intrants des projets (personnel, services de support technique, contrats, formations, équipements et matériels) directement par l’Organisation ou, quand approprié, par des contractuels ;
• Visiter les sites de projets et contrôler les activités pour : (i) assurer qu’elles soient conformes avec les programmes et chronogrammes de travail et avec les indicateurs du cadre logique des projets ; (ii) assurer que les services techniques adéquats sont disponibles ; (iii) identifier et prendre les mesures correctives si nécessaire, et (iv) informer les équipes de projets des situations/problématiques immédiates ou prédites qui doivent être résolues ;
• Accomplir toute autre tâche requise en appui au FAOR.
LES CANDIDATURES SERONT EXAMINÉES EN REGARD DES CRITÈRES SUIVANTS:
Conditions minimales à remplir
• Diplôme universitaire avancé dans un secteur relevant du mandat de l’Organisation ;
• Au moins 5 ans d’expériences pertinentes dans les opérations de développement et/ou d’urgences agricoles, et/ou dans la gestion et la mise en œuvre de programme dans des pays en développement et/ou des pays affectés par des catastrophes ;
• Connaissance courante (niveau C) du français et connaissance moyenne (niveau B) d’une des autres langues officielles de la FAO.
Compétences de base exigées par la FAO
• Être axé sur les résultats
• Avoir l’esprit d’équipe
• Savoir communiquer
• Établir des relations constructives
• Partage des connaissances et amélioration continue
Aptitudes Techniques/Fonctionnelles
• Rapidité et apte à travailler en synergie
• Excellentes capacités de synthèse,
• Excellentes capacités relationnelles,
• Excellentes capacités de recherche, de rédaction et de communication.
• Bonne maîtrise de l’informatique (MS Word, Excel, Power point, Internet)
• Avoir une bonne expertise dans la formulation des projets GEF, GCF, etc.
• Avoir une bonne expertise dans l’élaboration des Contrats-Plans entre l’Etat et les interprofessions
POSTE 2: Spécialiste en infrastructures maritimes et littorales
Cadre organisationnel
Dans le cadre de son assistance technique qui vise à contribuer à la réduction de la pauvreté et des inégalités sociales y compris les inégalités de genre par la promotion d’une économie bleue, la FAO appuie le Gouvernement ivoirien dans la préparation d’un cadre de réformes et d’investissements pour faire participer davantage le potentiel en ressources océaniques, côtières et des eaux intérieures de la Côte d’Ivoire à la transformation de l’économie nationale et à la diversification des piliers de la croissance, à la création de richesses et à l’émergence d’emplois dans des conditions de réduction des dégradations et des risques environnementaux et à l’amélioration du partage des richesses.
A cet effet, il est convenu de mener de façon spécifique une étude qui vise à : (i) identifier les principaux moteurs de l’économie bleue et élaborer un plan national d’investissement pour sa promotion et à (ii) réaliser l’étude de faisabilité détaillée d’un programme prioritaire de promotion de l’économie bleue y compris le renforcement des capacités nationales publiques et privées.
Position hiérarchique
Le Spécialiste en Infrastructures maritimes et littorales (ports) sera placé(e) sous la responsabilité générale du Représentant de la FAO en Côte d’Ivoire, la supervision de l’Assistant du Représentant Chargé de Programme et sous la supervision technique du Coordinateur FAO du programme en lien avec la Coordination nationale du projet.
Domaine de spécialisation
Dans le cadre du Programme d’Assistance technique de la BAD mis en œuvre par la FAO en appui au gouvernement du Côte d’Ivoire, le spécialiste en Infrastructures maritimes et littorales devra dans son domaine d’expertise et sous la coordination du Coordinateur FAO du programme UTFCVI041UTF, à la préparation du Cadre stratégique unifié pour l’Économie Bleue (CaSUEB), à la préparation d’un Plan National d’Investissement (PNIEB).
A cette fin, le titulaire travaillera en étroite coopération avec les parties prenantes au programme des secteurs publics et privés selon les modalités et séquences de rencontre programmées par le Coordinateur du Programme. Il participera aux réunions organisées à ces fins avec les parties prenantes sectorielles professionnelles publiques et privées et institutions sectorielles.
Tâches et responsabilités
• Établir un inventaire des infrastructures déjà disponibles venant en appui aux secteurs clés de l’Économie Bleue sur la base des inventaires disponibles auprès des institutions d’État ou territoriales à l’échelle locale et évaluer les besoins d’adaptation, de renforcement, réhabilitation ou les nouveaux investissements en lien avec le cadre de stratégie proposé par les secteurs de l’Économie Bleue.
• Définir les éléments de stratégie à prendre en compte pour accompagner la transition des secteurs clés de l’Économie Bleue notamment les ports.
• Contribuer à la pré-identification et analyse technique des propositions contenues dans les projets d’investissement porté au PNIEB par les parties prenantes privées et publiques consultées.
• Rationaliser les besoins d’investissement en infrastructures selon les enjeux de la transition énergétiques et principes clés de l’Economie bleue en considérant les aspects relatifs au risques climatiques et enjeux de mutualisation des infrastructures.
• Définir les outils d’aide à la mise en œuvre de la Stratégie Bleue au titre des investissements physiques nécessaires au développement des secteurs des pêches, aquaculture, écotourisme et transport.
• Contribuer à l’animation et promotion des ateliers régionaux et locaux dans le cadre du programme selon les agendas communs.
• Contribuer à la valorisation des travaux préparatoires et documents du CaSUEB, du PNIEB
• Contribuer aux ateliers et plateformes intersectorielles et multi-acteurs
LES CANDIDATURES SERONT EXAMINÉES EN REGARD DES CRITÈRES SUIVANTS :
Conditions minimales à remplir
• Diplôme supérieur en architecture ou d’Ingénieur en infrastructures littorales et marines avec forte sensibilité aux problématiques environnementales.
• Expérience professionnelle de plus de 10 dans le secteur des infrastructures et disposant d’une connaissance du contexte propre à la Côte d’Ivoire.
• Connaissance courante du français avec forte qualité rédactionnelle.
• Nationalité ivoirienne ou être résident dans le pays avec un permis de travail régulier.
Compétences de base exigées par la FAO
• Attention portée aux résultats
• Avoir l’esprit d’équipe
• Sens de la communication
• Établissement de relations constructives
• Partage des connaissances et amélioration continue
Aptitudes techniques/fonctionnelles
• Maitrise et autonomie en informatique sur les outils de communication et de diffusion
• Forte autonomie organisationnelle et de réseautage
• Capacité au travail en équipe et forte capacité à rédiger des plaidoyers techniques sur les dossiers pêche et aquaculture entrant dans le cadre des principes et des objectifs de l’EB
• Capacité à la lecture rapide des rapports économiques et notes techniques et à engager un processus de vulgarisation
• Capacité et forte motivation pour le travail en équipe et aux échanges avec les Organisations Socio professionnelles et société civile
• Autonomie fonctionnelle pour prise de rendez-vous, préparation de rencontres à caractère institutionnel ou partenaires du secteur privé, à l’organisation de mobilité sur le territoire national.
POSTE 3: Spécialiste national en Tourisme et Eco-Tourisme
Cadre organisationnel
Dans le cadre de son assistance technique qui vise à contribuer à la réduction de la pauvreté et des inégalités sociales y compris les inégalités de genre par la promotion d’une économie bleue, la FAO appuie le Gouvernement ivoirien dans la préparation d’un cadre de réformes et d’investissements pour faire participer davantage le potentiel en ressources océaniques, côtières et des eaux intérieures de la Côte d’Ivoire à la transformation de l’économie nationale et à la diversification des piliers de la croissance, à la création de richesses et à l’émergence d’emplois dans des conditions de réduction des dégradations et des risques environnementaux et à l’amélioration du partage des richesses.
A cet effet, il est convenu de mener de façon spécifique une étude qui vise à : (i) identifier les principaux moteurs de l’économie bleue et élaborer un plan national d’investissement pour sa promotion et à (ii) réaliser l’étude de faisabilité détaillée d’un programme prioritaire de promotion de l’économie bleue y compris le renforcement des capacités nationales publiques et privées.
Position hiérarchique
Le Spécialiste national en Tourisme et Eco-Tourisme sera placé(e) sous la responsabilité générale du Représentant de la FAO en Côte d’Ivoire, la supervision de l’Assistant du Représentant Chargé de Programme et sous la supervision technique du Coordinateur FAO du programme en lien avec la Coordination nationale du projet.
Domaine de spécialisation
Dans le cadre du Programme d’Assistance technique de la BAD mis en œuvre par la FAO en appui au gouvernement de Côte d’Ivoire, le spécialiste en tourisme et écotourisme devra contribuer à la préparation du Cadre stratégique unifié pour l’Economie Bleue (CaSUEB), à la préparation d’un Plan d’Investissement pour l’EB (PNIEB). Sous la supervision technique du Coordinateur du programme, il travaillera en étroite coopération avec l’Unité de Coordination Nationale du projet et l’ensemble des consultants coordonné par la FAO dans le cadre de la conduite des Etudes relatives à ces trois outputs.
A cette fin, travaillera, sous la supervision technique du Coordinateur FAO du projet en étroite coopération avec les parties prenantes du secteur du tourisme, des pêches et de la protection de l’environnement (privées et publiques) afin de développer les liens et niches d’opportunités susceptibles d’être soutenue en renforcement des communautés de pêcheurs et vendeuses de poisson et afin de contribuer au développement d’affaires et opportunités de revenus contributifs à une réduction des impacts sur les ressources halieutiques, amélioration de la qualité des produits, renforcement des moyens d’existence et sécurisation des positions des femmes et pêcheurs dans les chaine de valeur. Il devra par ailleurs identifier les potentiels et contraintes qui se pose face au développement des secteurs du tourisme littoral et maritime (balnéaire) afin de proposer dans le cadre de la Stratégie Économie Bleue les axes de priorité à inscrire dans le CaSUEB et les projets d’investissement les plus adaptés à la mise en œuvre de ses opportunités. Ceci en considérant les actions en faveur de l’adaptation aux risques et changement climatique et actions en faveur de la transition énergétique et protection des écosystèmes océaniques et littoraux.
Tâches et responsabilités
• Dresser un inventaire détaillé des opportunités liées aux secteurs du tourisme balnéaire et de l’écotourisme en lien avec les écosystèmes et ressources océaniques et littorales. Si possible appuyé par des éléments cartographiés et géo-référencés.
• Etablir une revue détaillée des stratégies, programmes et plan de développement du tourisme balnéaire, littorale et maritime mettant en exergue les potentialités et contraintes y afférant.
• Dresser un bilan des emplois décents et capacités de prise en compte des intérêts ou personnes issues des communautés littorales, par le jeu de l’amélioration de leur revenu dans leur secteur propre (alimentaire, pêche, aquaculture, transport maritime, écotourisme, nautisme…) ou par le jeu de formation adaptées pour la prise en compte des plus jeunes membres de ces communautés littorales formés aux métiers du tourisme ou écotourisme.
• Aider à la définition des axes de stratégie bleue en rapport avec ces deux secteurs sous les différents volets d’occupation, de métiers, d’opportunité de création de valeur et d’emplois.
• Analyser les voies et moyens de renforcer les liens dans les situations contextuelles entre les activités de ces communautés de pêche artisanales, femmes vendeuses de poisson et activités du tourisme ou écotourisme pouvant donner lieu à un arrimage gagnant / gagnant selon les critères et attendus de l’économie bleue ;
• Participer aux échanges avec les parties prenantes de ces différents secteurs et institutions liées à ces secteurs à l’échelle locale et nationale en évaluant en leur sein les besoins d’investissement physique et immatériels nécessaires pour une économie bleue inclusive.
• Formaliser sous forme de projets les rapprochements et expériences pilotes associées selon plusieurs cadres d’actions spécifiques à interactions positives et articulées entre pêche/tourisme, pêche/écotourisme, pêche/marchés des collectivités locales ou territoriales.
• Identifier et chiffrer les éléments à prendre en considération dans le Plan National d’Investissement pour l’économie bleue qui participent du rapprochement avec l’économie du tourisme et de l’écotourisme.
• Contribuer aux ateliers et plateformes intersectorielles et multi-acteurs
Ces activités permettront par ailleurs l’élaboration d’un cadre de consolidation des liens économiques, sociaux et d’affaires en appui au secteur du tourisme ainsi que des axes de travail quant aux moyens de financement des activités traditionnelles, de leur mise en conformité avec les bonnes pratiques agissant sur la réduction des pertes de ressources naturelles et sur la minimisation des impacts environnementaux. Le Spécialiste devra contribuer à :
• Proposer des axes de renforcement des liens entre le marché des produits des pêches artisanales et les chaines hôtelières pour la valorisation des produits locaux des pêches artisanales (adoption de certaines formes de valorisation transformation), en vue de contribuer à réduction des volumes de produits importés et au développement de circuits courts avec un impact énergétique réduit, une contribution positive au bilan CO2, une chaine de valeur améliorée en qualité (label pêche responsable), une capacité d’investissement des activités artisanales sécurisée et mutualisée entre secteurs sous forme contractuelle, un accès aux ressources amélioré, des impacts positifs en termes de bénéfices pour les femmes et les communautés de pêche;
• Préparer un cadre de renforcement des communautés de pêche par le développement de projets coopératifs au sein des organisations professionnelles pour l’obtention de moyens de reconversion de la pêche professionnelle vers la pêche récréative ou sportive par des investissements pilotes mutualisés, de nature à renforcer les revenus et moyens des organisations professionnelles, leur implication dans le développement du tourisme et écotourisme. Les emplois ainsi que sur les conditions d’exercice des métiers de la mer (sécurité en mer, assurance, évolution du statut de pêcheur et des femmes transformatrices ou commerçantes) seront améliorés dans un cadre d’investissement coopératif susceptible d’évoluer ensuite vers un renforcement des capacités individuelles de financement pour l’accès à de nouveaux métiers d’interface pêche/tourisme/écotourisme.
• Identifier les possibilités et proposer un cadre de rapprochement entre les activités liées à l’écotourisme et le développement des opportunités d’emplois pour les jeunes diplômés nationaux (dans les actions de conservation et protection en lien avec le tourisme bleue, espèces protégées d’intérêt touristique, zones littorales protégées ou aires marines protégées, salines…
Le travail devra tirer profit des autres programmes mis en œuvre par la FAO ou par l’ensemble des Partenaires Techniques et Financiers en appui au gouvernement de la Côte d’Ivoire et en lien avec les secteurs visés (tourisme, pêche, aquaculture, environnement, énergies renouvelables, changement climatique…).
LES CANDIDATURES SERONT EXAMINÉES EN REGARD DES CRITÈRES SUIVANTS :
Conditions minimales à remplir
• Formation diplômante reconnue.
• Expérience professionnelle de plus de 5 dans les secteurs tourisme et écotourisme ou appui aux communautés et disposant d’une connaissance du contexte propre à la Côte d’Ivoire avec une forte sensibilité environnementale.
• Connaissance courante du français avec forte qualité rédactionnelle.
• Nationalité ivoirienne ou être résident dans le pays avec un permis de travail régulier.
Compétences de base exigées par la FAO
• Attention portée aux résultats
• Avoir l’esprit d’équipe
• Sens de la communication
• Établissement de relations constructives
• Partage des connaissances et amélioration continue
Aptitudes techniques/fonctionnelles
• Maitrise et autonomie en informatique sur les outils de communication et de diffusion
• Forte autonomie organisationnelle et de réseautage
• Capacité au travail en équipe et forte capacité à rédiger des plaidoyers techniques sur les dossiers pêche et aquaculture entrant dans le cadre des principes et des objectifs de l’EB
• Capacité à la lecture rapide des rapports économiques et notes techniques et à engager un processus de vulgarisation
• Capacité et forte motivation pour le travail en équipe et aux échanges avec les Organisations Socio professionnelles et société civile
• Autonomie fonctionnelle pour prise de rendez-vous, préparation de rencontres à caractère institutionnel ou partenaires du secteur privé, à l’organisation de mobilité sur le territoire national.
Retrouvez des opportunités sur notre chaîne Telegram en cliquant ici.